Garde 1 : Reviens ici, Bohémienne ! Phoebus : Achille, assis ! [Achille s’assoit sur le garde] Oh, excusez-le, je suis désolé. C’est honteux cheval, honteux ! Il est impossible, c’est vrai il n’a aucun savoir-vivre. Garde 1 : Dites-lui de se lever ! Garde 1 : Je vais te donner une bonne leçon, paysan ! Phoebus : Vous disiez, Lieutenant ? Garde 1 : Cap, Capitaine Phoebus, à votre service, Monsieur !
Citoyens de Paris, Frollo a persécuté notre peuple, saccagé notre cité et maintenant, il ose déclarer la guerre à Notre-Dame, allons-nous le laisser faire ?
- On m’aurait fait revenir de vingt années de guerre pour capturer des diseuses de bonne aventure ? - Mon cher Capitaine, une véritable guerre se déroule ici devant vous. Pendant vingt ans j’ai pris grand soin de ces Bohémiens, un par un. Et aujourd’hui vous voyez le résultat : ils se sont multipliés. Je suppose qu’ils ont une cachette secrète derrière le mur au cœur de la cité, un nid devrais-je dire, qu’ils appellent… la Cour des Miracles. - Et qu’allons-nous faire pour y remédier monsieur ? [Frollo rabat violemment la pierre] On ne peut être plus explicite monsieur.
- Brûlez-moi ça ! - Quoi ? - Ces gens sont des traîtres qu’il faut châtier pour l’exemple ! - Avec tout mon respect, mon rôle de soldat n’est pas de massacrer des innocents ! - Mais votre rôle est d’obéir aux ordres ! Insolent, quoi ? La sentence pour insubordination est la mort ! Quel dommage de gâcher une si prometteuse carrière ! - Je considère ça comme un honneur, Monsieur ! - Tuez-le mais ne blessez pas mon cheval ! Épargnez vos flèches que son âme soit purifiée par le fleuve ! Trouvez la fille même si pour cela vous devez mettre Paris à feu et à sang, trouvez-la !
- Vous ! - Du calme, je me suis déjà rasé ce matin. - Non sans rire ? Mais pas d’assez près ! - D’accord, mais calme-toi, donne-moi au moins une chance de m’expliquer. - Pourquoi ? - Pour ça par exemple. - Vous… sale enfant de… - Ha, ha, ha ! Attention, tu es dans une église.