Personnage - Erin Silver

- J’m’appelle Silver.
- Silver ?
- Ouais. Tu peux m’appeler Erin, mais j’te répondrais pas.

Ca me rend folle tout ces trucs qu’on ressent quand on est amoureuse.

Comment connaître quelqu’un ? Il faut aller en arrière pour pouvoir aller en avant. (…) Tous ces moments, et tous les moments qui mènent à ces moments, parce qu’ils sont tous reliés. Chaque moment est connecté à un million d’autres moments.

Ça c’est pas moi, tout ce système sur la popularité, le conformiste, c’est vraiment tout ce que je déteste. Ces derniers temps j’ai voulu rentrer dans le moule, j’ai fait de gros efforts. Regardez moi ! (…) Et si vous saviez comment ces chaussures me font mal aux pieds, je sens plus mes orteils. Mais moi je veux sentir mes orteils. Je peux paraître folle mais c’est toujours mieux que d’être une sorte de mouton obsédé par sa tenue de bal. Je ne sais pas vraiment qui je suis mais je sais ce que je ne suis pas, et je ne suis pas une reine de bal.

Chéri aime le pain de seigle ? Qui appelerait son cheval Chéri aime le pain de seigle ?

Salut les guenons, surtout vous laissez pas abattre.

- C’est trop. Te voir ici avec une fille !
- C’est juste une amie !
- Peut-être. Mais un jour, ce ne sera pas le cas, et je vais avoir besoin de toi, et je ne peux pas le supporter ! Et alors quoi ? Ce truc d’être amoureuse me rend dingue.

L’amour, sa beauté incendie comme la nuit, des climats limpides et des cieux étoilés. Et tout ce qu’il y a de mieux dans l’obscurité est la lumière. Habite son corps et ses yeux, adouci par la tendre lumière que le ciel refuse au jour vulgaire. Une ombre en plus, un rayon de moins aurait gâché l’indicible grâce qui ondoie dans chaque boucle brune où doucement brille sur son visage où les pensées de douce sérénité s’expriment, pure et chère c’est leur demeure.

- Ma mère a eu un cancer je me souviens comment c’était… Une fois j’ai carrément piqué une crise contre un serveur parce qu’il se plaignait et je lui ai balancé mon thé glacé en pleine figure.
- Le truc c’est qu’en regardant autour de moi tout ce que je vois ce sont des gens qui ont une vie agréable et qui ne s’en rendent pas compte, ils ne savent même pas apprécier ce qu’ils ont pendant qu’il en est temps… Et je sais pas ça me donne une furieuse envie de…
- … de frapper quelqu’un ?… Le bon coté dans ton histoire avec Raj c’est que quand il ne sera plus malade, quand il ira mieux, et il ira mieux, tu prendras plus jamais rien pour acquis.
- Ouais et ben ce que j’aimerais c’est avoir un bouton d’avance rapide pour y être tout de suite.
- J’aimerais bien en avoir un aussi… mais en attendant je suis là et je serai toujours là si t’en as besoin.

Je veux que le père de mon bébé soit quelqu’un qui fasse toujours partie de ma vie ! Et toi je sais que tu seras toujours là à mes cotés.

- Je crois pas qu’on soit seulement ami.
- Ethan, non.
- Et je veux pas être seulement ton ami, c’est au dessus de mes forces. Je veux être bien plus qu’un ami, ou ne plus faire partie de ta vie… À toi de voir maintenant, mais pose toi juste une question : pourquoi tu es ici en train de parler avec moi, au lieu d’être à l’intérieur avec ton petit ami !

En fait, se retrouver devant ces personnes que je n’avais jamais rencontrées et qui sont toutes là à m’embrasser et à me dire qu’elles sont navrées, que c’est une perte terrible mais… d’abord ça veut dire quoi une perte terrible, enfin c’était une personne, pas un bijou que j’ai égaré.

En vérité je n’sais pas qui je suis, mais je sais qui je n’suis pas.

- Pourquoi t’as fait ça ?
- Je voulais que tu sois heureuse, c’est tout… Alors dis-moi, t’es heureuse ?
- Oui, je le suis !
- T’es sûre de ça ? [Il l’embrasse]
- Non, arrête, Liam ! On ne peut pas faire ça !
- Ouais, je sais. Mais viens pas me dire que tu ressens rien pour moi. Je t’interdis de faire semblant, ou de me dire le contraire. Parce qu’on sait tous les deux que c’est pas vrai.