- Vous n’êtes qu’une petite sotte, voilà ! - Mieux vaut être une petite sotte avec une fleur qu’un petit sot avec un cheval et un bâton, Sir Ulrich ! - On appelle ça une lance ! HellOoo !
William : Alors, qu’en penses-tu ? Maintenant que tu sais qui je suis… Lady Jocelyn : Oh pour savoir qui tu es William, ce serait une vie entière qu’il faudrait. Je suis tout prête à te l’accorder mais pour l’instant tu dois t’enfuir. Tu n’as pas d’autres choix enfuis-toi et je m’enfuirai avec toi. William : Jocelyn je ne peux pas m’enfuir ! Je suis un chevalier ! Et je suis prêt à prendre tous les risques ! Roland : Un chevalier de cœur mais pas sur le papier, et le papier tu sais très bien que rien d’autre ne compte pour eux. Lady Jocelyn : William je t’aime, oui je t’aime, toi. Et pardonne moi mais je ne veux pas te voir conduire au piloris. William : Tu veux me voir fuir ? NON ! Lady Jocelyn : Maudite soit ta fierté William ! C’est elle et uniquement elle qui dicte ta conduite et te retient ici. William : Ma fierté est la seule chose qui leur est impossible de me prendre ! Lady Jocelyn : Mais bien sûr qu’ils peuvent la prendre, ils le peuvent et ils le feront ! Oh il le feront… mais l’amour ils ne peuvent pas le prendre.