Top - Citations de films et séries des années 1930

Je vous aime Scarlett. En dépit de vous, de moi et de ce stupide monde qui s’écroule, je vous aime.

T’as de beaux yeux tu sais.

Demain est un autre jour.

Je jure devant Dieu, je jure devant Dieu que je ne me laisserai pas abattre ! J’aurais le dernier mot et lorsque ce cauchemar sera terminé, je jure devant Dieu que je ne connaitrais jamais plus la faim. Non ! Ni moi-même, ni les miens ! Dussé-je mentir, voler, tricher ou tuer, je jure devant Dieu que je ne connaitrai jamais plus la faim.

Taratata !

Tout condamné à mort aura la tête tranchée.

Atmosphère, atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ?

Franchement, ma chère, c’est le cadet de mes soucis !

Je suis le Schpountz ! Vous comprenez ce que je veux dire ?

Idiot ! Tu n’aurais pas dénoncé un couple d’amoureux tout de même !

- J’ai un talent caché.
- Alors il est bien caché ton talent.

Malade ? Peut-être. Hannibal était fou, César également et Napoléon l’était certainement encore plus qu’eux. Depuis les temps les plus anciens, tous les grands capitaines ont été considérés comme fous. Malade ? Vous allez bientôt voir quelle sagesse dissimulait ma folie.

Ma patrie est l’Italie !

Vous êtes un homme brave !

- Ton frère Magon a débarqué en Ligurie à la tête de douze mille fantassins, de deux mille cavaliers et de plus de quarante éléphants.
- Où en est mon ravitaillement ?
- Soixante navires chargés de froment sont prêts à appareiller.

Il y a dix ans aujourd’hui que le général Gordon a été assassiné à Khartoum. L’armée britannique a été obligée de se replier et le crime est resté impuni. Soldats du Royal North Surrey Regiment, nous avons l’honneur d’avoir été désignés pour rejoindre lord Kitchener en Egypte. Nous allons reconquérir le Soudan !

- Alors, Feversham ?
- Je vous apporte ceci, mon colonel.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Mon colonel, c’est ma démission.
- Comment, c’est vous qui démissionnez ? Que me racontez-vous ?
- Je n’ai pas autre chose à dire.
- Qu’est-ce que c’est que cette histoire, Feversham ?
- J’aurais dû prendre cette décision depuis un an. Je ne suis dans l’armée que parce que mon père le désirait. Seul garçon de la famille, je devais être soldat. Sa mort m’a délié, j’ai rempli mes devoirs envers lui.
- Envers lui, c’est très possible. Mais vous n’en n’avez pas envers l’Angleterre ? Allons, rentrez donc, rentrez chez vous mon ami… Demain, vous serez mieux, allez…
- Navré de ne pas vous obéir.
- Feversham, si vous vous entêtez, vous regretterez ce geste irrémédiable.
- Mon colonel, mon parti est bien pris.
- Retirez-vous d’ici ! Quelle honte, lieutenant ! Je refuse d’accepter une telle chose !
- Je suis dans mon droit, je sais que je n’encours pas de refus.
- Je n’aurais pas cru qu’il soit possible qu’un Feversham puisse être un lâche…

Je ne vous fais pas mes compliments, monsieur Feversham, un vrai Sangali ne serait pas entré ici avec l’assurance d’un Britannique…

Venez, venez… Laissez votre tête s’appuyer sur la seule chose qui soit restée fraîche dans cette fournaise…

Il y a des cas souvent où le lion préfère se transformer en souris pour fuir les regards !