Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1961

Ça devrait te prendre exactement quatre secondes d’atteindre cette porte. Je t’en donne deux.


- J’t’enverrai un gonze dans la semaine. Un beau brun avec des petites bacchantes. Grand. L’air con.
- Ça court les rues les grands cons.
- Oui mais celui là, c’est un gabarit exceptionnel ! Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon ! Y serait à Sèvres !

#2
8.68 (43 votes)

- Vous voulez dire avoir le cafard ?
- Non ça c’est quand on grossit ou qu’il pleut des journées entières. Là on est triste c’est tout. Non… broyer du noir c’est affreux. On a peur mais on ne sait pas pourquoi on a peur…

#3
8.64 (34 votes)

Vous savez ce que vous êtes Mlle Je-ne-sais-pas-qui ? Une poule mouillée. Vous n’avez pas de cran. Vous avez peur de dire « D’accord, c’est la vie ». Les gens tombent amoureux. Les gens s’appartiennent l’un l’autre, parce que c’est la seule chance de trouver le bonheur. Vous vous dites libre, sauvage. Vous êtes terrifiée à l’idée qu’on vous mette en cage. Eh bien, mon cœur, vous y êtes déjà. Vous vous y êtes mise toute seule. Et elle n’est pas limitée à Tulip, au Texas, ou à la Somalie. Elle est partout où vous allez. Qu’importe où vous courez, vous finissez par tomber sur vous-même.

#4
8.29 (25 votes)

Dites-vous bien que dans la vie ne pas reconnaître son talent, c’est faciliter la réussite des médiocres !

#5
8.15 (17 votes)

Dis-toi bien qu’en matière de monnaie, les états ont tous les droits et les particuliers aucun !

#6
8.08 (16 votes)

- Chère petite madame, rendez-moi un service.
- Oh, tout c’que vous voudrez.
- Monsieur Lucas, mon banquier, a horreur de la solitude. Allez donc lui tenir compagnie.
- Ah, parce qu’il est banquier ? Je l’croyais dans les affaires.
- Ah parce que pour vous, la banque, c’est pas une affaire ? Vous êtes charmante.

#7
8.08 (16 votes)

Avec vos rendez-vous à la con, j’ai pas trouvé de taxi, moi !

#8
8 (15 votes)

Tiens, môme, pour tes cigarettes !

#9
8 (15 votes)

- Il est aux billes, Mandarès ! Moi, j’ai peut-être pas d’boulot, on vit peut-être mal mais au moins j’dors dans mon lit !
- Mais vas-y dans ton lit, puisque tu t’y plais. Mais sans moi !

#10
8 (15 votes)

- Y’aurait quand même pu y avoir quelqu’un pour m’aider à charger !
- Vous vous croyez aux Galeries Lafayette ?

#11
8 (15 votes)

- Avez-vous prévu un endroit pour le tirage ?
- Bah j’crois qu’nulle part on s’rait mieux qu’ici. J’avais pensé à la cave. On pourrait débarrasser un coin.
- Tiens donc ! Pourquoi pas sur l’trottoir ? T’as déjà entendu rouler une bécane d’imprimerie ?

#12
8 (15 votes)

Depuis Adam s’laissant enlever une côte jusqu’à Napoléon attendant Grouchy, toutes les grandes affaires qui ont foiré étaient basés sur la confiance !

#13
8 (15 votes)

- J’ai un autre tube. Un manouche…
- Oh…
- Attends, attends… dont le beau-frère connaît un Arménien qui travaille dans une papeterie de Saint-Ouen…
- Comme quoi ? Comme balayeur ?

#14
8 (15 votes)

Il faut plus que du courage pour faire un roi !

#15
7.92 (14 votes)

- Sais-tu comment ils finissent tes poissons ? Ils se débattent, étouffent et meurent.
- On se débat et on étouffe. Tu as dit là une bonne chose ! Pauvres poissons… Moi aussi, je me débats et j’étouffe.
- Et tu meurs !
- Et je meurs… Je meurs afin de revivre ! C’est là que l’homme a l’avantage sur le poisson.

#16
7.92 (14 votes)

Parce que j’aime autant vous dire que, pour moi, monsieur Éric, avec ses costards tissés en Écosse à Roubaix, ses boutons de manchette en simili et ses pompes à l’italienne fabriquées à Grenoble, eh bien, c’est rien qu’un demi-sel. Et là, j’parle juste question présentation, parce que si j’voulais me lancer dans la psychanalyse, j’ajouterais que c’est le roi des cons. Et encore les rois ils arrivent à l’heure. Parce que j’en ai connu, moi, mon cher maître, des rois. Et puis pas des petits. Des Hanovre, des Hohenzollern…

#17
7.86 (18 votes)

Va et ne pèche plus !

#18
7.83 (13 votes)

Voilà une vie pour moi !

#19
7.83 (13 votes)

Vous vivez de la même manière que moi. Quand quelqu’un est contre nous, qu’il nous gêne, nous le supprimons. Mon couteau a peut-être tranché quelques gorges, mais que dire de vos armes ! Elles massacrent les gens par milliers ! Il se peut bien que j’ai abusé d’une femme à l’occasion mais vos armées, combien en ont-elles violées aux quatre coins de la Terre. Et par leurs pillages, elles ont gagné la gloire !

#20
7.83 (13 votes)

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