- Grâce à toi je me sens très bien, je suis heureuse. - Je le suis plus que toi. - Non, moi je le suis beaucoup plus ! - Moi d’ici à Barcelone ! - Moi d’ici jusqu’au ciel ! - Moi encore beaucoup plus ! - Combien ? - Trois mètres au dessus du ciel.
- Babi, BABI ! [Il la prend par le bras] - Me touche pas ! - Babi, écoute moi s’il te plait ! - J’en peux plus, t’as une vie de merde ! Pleine de morts et pleine de sang, ça t’es complètement égal de m’entrainer avec toi ! - Ça m’est pas égal, je te jure Babi ! - Ne me jure rien du tout ! Personne ne compte pour toi, ni moi, ni ta famille, ni ton meilleur ami ! - Non j’suis pas responsable ! - Bien sur que tu l’es ! - Non c’est pas de ma faute ! - Si c’est toi le responsable. C’est toi qui a tué poulet ! C’est toi qui l’a tué ! [Il lui met une baffe] - BABI… [Elle part]
- Je ne sais pas ce qu’il m’a pris je t’assure. Je ne voulais pas lui faire du mal. Elle m’a dit que tu étais allé chez elle et que… - Babi, Babi… Je ne veux ni te tromper, ni te faire du mal… Je suis avec toi maintenant. Je suis avec la fille qui file une bonne correction à ceux qui insultent son amoureux. Est ce que tu sais ce que font les guerriers après une première victoire sur le champs de bataille ?
- J’ai vu une siamoise très courageuse. Tu vas me dénoncer ? - Oui. - Oui, c’est sur, tu le jures ? - […] - Hin Babi, Babi aïe aïe je suis un porc, un mec odieux, une brute épaisse, un sauvage mais tu me laisserais t’embrasser, t’es une fille incohérente. - Et toi une petite ordure. - Qu’est ce que tu faisais la bouche ouverte comme un petit cœur à me supplier de te bécoter. Je veux que tu me rendes mon blouson immédiatement compris. […] Oh bah petit cœur tu me souhaites pas bonne nuit en me faisant un petit bisous ? - Va te faire foutre !
Rafaela : Babi… tu vas pas me dire que tu es rentrée sur cette moto ? Babi : Non maman c’est… Hugo : Simplement qu’elle n’a pas vraiment eu le choix madame… c’est vrai… Babi : Non tais toi. Hugo : Celui qui l’a emmenée en voiture l’a laissée en plan, alors elle a été obligée de venir avec moi hein ?
Hugo : Ça alors mais c’est qu’elle est là notre féroce petite panthère. T’es venu me voir courir ou quoi ? Babi : C’est parce qu’elle ignorait qu’elle te trouverai ici. Hugo : Alors pourquoi t’es rouge comme une tomate fillette ? Babi : C’est juste parce que tu me fais rire c’est tout. Hugo : Ah ouais ? Babi : Oui. On verra si tu la ramènes encore quand tu recevras la plainte, parce que ce soir j’ai dit que c’était toi qui avait cassé le nez de monsieur Santamaria. Poulet : Ah la sale petite garce. Hugo : Héhéhé reste tranquille. Poulet : Mais H une plainte de plus et tu vas en prison. Hugo : Non il y a aucune chance, d’accord ? Quand on m’appellera à comparaître cette gentille fille dira que j’ai rien fait, et tu sais pourquoi ? Babi : Pourquoi ? Hugo : Parce que tu seras tellement folle de moi que tu feras n’importe quoi pour me protéger…
- C’est toi ? - J’ai envie de te voir. - Je suis punie, je me suis fait attraper en rentrant chez moi. - Ah, alors c’est vrai, c’est pas une légende urbaine, à notre époque on punit encore les gentilles filles qui se conduisent mal. - [rires] - Qu’est ce tu veux qu’on fasse demain ? - On prend la fuite… Passe me prendre devant le lycée et emmène moi loin. - Wouhaa ça fait plus d’un an que je ne me suis pas levé aussi tôt que ça, il y a de grandes chances que je dorme. - Je te fais confiance H, bonne nuit. - Au revoir Babi.
- T’es le dernier des abrutis. Je porte une robe de couturier. Elle est glacée… - Je sais mais c’est bon pour la circulation, comme ça ton sang arrive plus vite à ton cerveau et tu comprends mieux que les milk-shake à la fraise on les offre, on les jette pas à la figure. Et tu diras à ton couturier que cette robe te va mille fois mieux mouillée. Tu veux que je t’apporte une serviette ? Tu vas quand même pas attraper la crève. - Tu peux aller te faire foutre ! - Rappelle-moi la prochaine fois qu’on se baigne ensemble, de bien te frotter la bouche avec un tampon à récurer avec du savon.
- Je pense que je ne mentirai plus jamais pour toi, tu m’entends ? Si tu continues à faire n’importe quoi on rompra je te le jure. - Très bien, je vais changer…