Kaakook

Acteur / Actrice - Michel Serrault

Michel Serrault joue dans :


Répliques de Michel Serrault (27)

- Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
- À ton avis…
- T’as pas d’argent ?
- Non.
- T’as pas de relations ?
- Non.
- Tu sais rien faire ?
- Presque rien.
- Alors, deviens conseiller !

7.62 (11 votes)

- J’ai le sens des affaires, j’en suis sûr, je l’sais, c’est là, là, là…
- Qu’est-ce que c’est le sens des affaires ? Tu peux m’expliquer ?
- C’est… c’est un mystère !

7.62 (11 votes)

- C’est qui, Mathivet ?
- C’est, c’est… Ses parents vendaient des légumes sous l’Occupation. Ils ont fait fortune.

7.62 (11 votes)

- C’est une combine ?
- Non… J’connais pas c’mot-là !

7.62 (11 votes)

- Tu lui dis non ?
- Oui.

7.62 (11 votes)

- Monsieur Caron, comment voyez-vous votre avenir ?
- Depuis hier, je l’ai perdu de vue…

7.39 (13 votes)

Ton œil pue ! Tu sens mauvais de l’œil !

7.06 (7 votes)

- Dieu merci, y’a des gens qui ont des choses à dire, qui font des films profonds.
- Eh bien, ma chère, je ne connais qu’un seul metteur en scène qui soit vraiment très profond, c’est Cousteau !

7.06 (7 votes)

- Oh merde, Gaëtan, vous êtes chiant ! Vous tournez tout en dérision ! Vraiment, vous, vous contribuez à l’abrutissement de la masse populaire ! Au nivellement par le bas !
- Demain, j’enlève le haut !

7.06 (7 votes)

- Merde ! Bordel ! Putain de connerie ! Mais bordel à queue ! T’as les yeux en trou de pine ! Enculé ! Pisse, crotte, caca-boudin !
- Mais Gaëtan ?
- Bah c’est un sketch !
- Mais enfin, vous n’allez pas dire tous ces gros mots à la télévision ? Y’a des enfants qui regardent votre émission !
- Mais justement, ma chère amie, mais c’est un sketch écrit uniquement avec des mots d’enfants !

7.06 (7 votes)

Je me permets de vous dire que ce que vous avez fait, c’est du caca ! Vous êtes un mauvais comique ! C’est… après, c’est fini… Les pouet pouet, c’est terminé ! Nous n’en voulons plus des pouet pouet et des grimaces !

7.06 (7 votes)

- Ce matin, sire, au conseil des ministres…
- Ecoutez, Necker, je n’assiste pas au conseil des ministres parce que ça m’emmerde mais si vous venez me raconter ce qu’on y a dit, c’est encore pire.
- Excusez-moi, sire. À vrai dire, il ne s’y est pas dit grand chose. Les ministres sont un petit peu affolés par la prise de la Bastille.
- Oh, pfff, une petite manifestation de quartier organisée par un groupuscule, ce n’est pas bien grave.
- Si, c’est grave, sire. C’est toujours grave quand le peuple se fâche. On commence par prendre la Bastille, on enchaîne sur Versailles et on finit par s’en prendre au souverain lui-même.
- Hum, mon petit Necker, vous savez, les Français ont des grandes gueules mais ils ne sont pas capables de faire la révolution. Et puis, et puis, qu’est-ce qu’ils veulent ?
- Du travail ou du pain, sire.
- Mais du travail, y’en a pas ! Y’en a pas du travail, j’y peux rien, c’est comme ça, y’en a pas ! Y’en a pas. Du travail, y’en a qu’après les guerres, on ne va tout de même pas déclarer une guerre exprès ! Ils n’ont qu’à faire comme moi, bricoler chez eux !
- Ils ont faim, sire.
- Et bien, tant mieux ! Alors là, je dis tant mieux ! S’ils ont faim, tant mieux, c’est bon signe. D’ailleurs, moi aussi j’ai faim. Allons voir si la reine est prête pour le déjeuner…

7.06 (7 votes)

Le Dernier Homme, c’est moi ! C’est moi seul, le Dernier Homme ! Oh oh ! La caméra vers moi ! Vers moi, la caméra ! Les projecteurs sur moi ! La caméra sur moi, vers moi, là oui ! Ô, Création ! Moment privilégié ! Regarde-moi, ô, mon gros cailloux ! C’est moi, Wellson ! Le seul et unique metteur en scène du monde ! C’est moi qui est là ! C’est lui qui est là ! C’est lui, Wellson ! Mais oui, madame ! Mais oui, mon gros cailloux !

7.06 (7 votes)

Cher monsieur, je prenais déjà mes responsabilités, vous n’étiez encore qu’un espoir dans les couilles de votre père.

6.15 (16 votes)

Les gentils ne connaissent pas le bonheur d’être méchant.

6.15 (3 votes)

- Qu’est ce que vous foutez la ?
- Ben voila, j’ai un couteau dans le ventre…
- Oh merde, mais c’est le mien !
- Évidemment, quand les idées sont dans l’air…
- Mais quel est le salopard qui vous a fait ça ?
- Un jeune ! Avec un manteau !
- Dans mon genre ?
- Oui. A votre place, je me débinerais.
- Mais c’est pas moi ! Ça peut pas être moi, j’arrive, j’étais pas là !
- J’ai pas dit que c’était vous !
- Alors c’est qui ?!
- J’en sais rien, j’ai pas fait tellement attention…
- Vous pourriez ouvrir les yeux dans des cas pareils.
- Est-ce que vous allez finir par me foutre la paix ? Je meurs, barrez-vous !
- Je peux pas vous laisser comme ça…
- Mais si, j’en ai vu d’autres.
- Mais là, vous risquez de plus voir grand chose.
- C’est juste un mauvais moment à passer.
- Vous souffrez ?
- Bizarrement non. Mais je me sens pas dans mon assiette.
- Quel effet ça fait ?
- Un peu comme un lavabo qui se vide… Hé vous prenez pas mon pognon ?
- Vous devez pas en avoir bien lourd…
- Ben non, attendez (il sort son portefeuille et lui tend quelques billets) Tenez. Vous boirez un coup à ma santé.
- Bon ben d’accord. Alors bon voyage.
- Merci. On va essayer… Hé ! Vous récupérez pas votre couteau ?
- Vous croyez ?
- Je vous signale que vos empreintes sont sur le manche, pour la police ce sera du gâteau. Sans parler que vous serez peut-être amené à en avoir encore besoin… Il est efficace.

5.83 (2 votes)

L’argent est une drogue dure.

5.56 (8 votes)

Tiens voilà Tintin !

5 (8 votes)

- Ça serait gentil de lui laisser un petit mot non ?
- Mais absolument, bravo… bravo, tu veux que je te dicte ?
- Si ça t’amuse.
- Comment tu l’appelles ?
- Robert.
- « Mon cher Robert… » non attends, tu étais censée être quoi ?
- Sous directrice du contentieux à l’UAP, Elisabeth Desroulèdes.
- Desroulèdes, t’as pas honte ?… Tu prends bien une écriture de femme d’affaire, juste un peu sensuelle… » Mon cher Robert, je suis désolée pour ce contre temps… Peut-être n’est-ce que partie remise… Reposez-vous bien, Elisabeth… » Tu rajoutes : « je suis obligée de regagner Paris. »

5 (0 vote)

Je ne me souviens plus qui a dit : « on cesse d’être en sécurité dès qu’on passe la porte d’un commissariat ». Avec vous, composer le numéro de la police donne déjà la chair de poule.

5 (6 votes)

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