Acteur / Actrice - Pierre Guillermo

Rigel : Vénusia. Ah, tu es sauvée. Actarus, je te dois plus que ma vie. Tu es mon sauveur, tu es mon Dieu.
Actarus : C’est vraiment très amusant de me comparer à un Dieu.
Alcor : Je me demande vraiment ce qu’on aurait fait sans toi. Ce qui est curieux, c’est que ton sang puisse se mélanger au notre.

- Eh, Mizar !
- Mais qu’est-ce qu’il lui prend ?
- Bah, c’est à cause de toi !
- Hum ?
- Tu ne comprends donc pas ? Tu t’es laissé insulter et humilier par Banta devant Mizar. Pourquoi as-tu adopté cette attitude devant Banta ? Comment veux-tu que Mizar puisse comprendre ton attitude ? Ce n’est qu’un enfant et tu représentes l’homme qu’il voudrait devenir. Tu sais très bien qu’il t’a placé sur un piédestal. Il a confiance en toi, il te respecte et il ne peut pas comprendre que tu te laisses menacer par Banta sans réagir. C’est normal. Il voit son idole s’effondrer.
- Alcor ! Tu continues d’ignorer ce que se battre veut dire.
- Hein ?
- Oui, il est facile de vaincre physiquement mais si tu infliges une défaite morale à quelqu’un, si tu l’humilies, tu lui feras un mal qui ne guérira jamais. Et c’est pour cela que j’évite de me battre.

Je n’ai pas rêvé ? Cette fois j’ai bien vu ! C’était Actarus ! Comment a-t-il pu faire ça ? Qui est-il ?

- Alcor, pourquoi me suis-tu ?
- Je veux connaître la vérité sur toi !
- Tu te méfies de moi ? Je suis le fils de Procyon et je m’appelle Actarus !
- Tu peux tromper les autres mais pas moi, je veux savoir qui tu es et je te jure que je le saurai !
- Je ne suis qu’un être humain qui aime passionnément le pays dans lequel il vit.
- Ce que tu dis ! J’ai comme dans l’idée qu’il y a autre chose !
- Laisse-moi partir ! Je me moque de ce que tu crois !
- Tu ferais aussi mieux de me dire la vérité !
- Ne reste pas là ! Ah, l’idiot ! Alcor tu es blessé ? Pourquoi tu as fait ça ?
- Maintenant, tu vas me dire qui tu es !
- Alors, je suppose que tu es content de toi !
- Ne t’inquiète pas ! Je finirai par savoir qui tu es !

- Je te remercie Alcor car sans toi je ne serais plus de ce monde !
- Actarus, je sais que tu aimes cette Terre plus que tout, tu l’aimes plus que n’importe lequel d’entre nous, tu es mon frère !
- Merci Alcor ! Je ne laisserai jamais personne envahir ce pays !

- Maintenant, nous sommes vraiment les Frères de l’Espace !
- Dis donc, on s’en souviendra longtemps du premier raid d’Alcorak !
- J’aime beaucoup ce nom là !

- Appuie-toi à moi Actarus ! Qu’est-ce que tu veux voir ?
- Je veux voir la ville !
- La ville mais tu ne peux pas la voir d’ici !
- L’important c’est de voir qu’elle tient toujours là et qu’il y a des gens dont le cœur bat contre ceux qui voulaient la détruire !
- Je te comprends ! Moi aussi, je sens vivre la ville !

Je suis amoureux de Vénusia mais Vénusia est amoureuse d’Actarus !

Professeur, vous avez un fils ! Maintenant, vous aurez une fille !

Plus on en descend, plus il y en a.

Vénusia : Actarus !
Alcor : Prince !
Phénicia : Nous avons gagné !
Actarus : Oui, oui nous avons gagné, nous avons détruit le diable !

Tu m’as trop souvent sauvé pour qu’on t’abandonne mais tu es devenu dangereux pour nous et le sort qu’on te réserve est bien trop cruel, les Frères de l’Espace c’est nous.

- Do you speak Martien ? Vous avoir l’air presque normal pour arriver du cosmos. Allons, on s’amuse à se déguiser en Terrien ?
- Mais non, ne vous inquiétez pas ! Je suis un ami !
- Ça y est, il parle notre langue sans accent c’est un martien très cultivé !
- Je suis tombé sur des dingues !

Phénicia : Elle est plus forte que nous tous !
Alcor : J’avoue que j’étais complètement perdu, je ne savais pas qui était le vrai Rigel !
Rigel : Moi aussi j’avoue que j’étais complètement perdu parce que quand je me regardais dans le visage de l’autre, je me demande si ce n’est pas moi qui me regardais moi-même.

Alcor : Il ne faut pas que Goldorak se jette dans la gueule du loup, il ne faut pas qu’il vienne ! Actarus, tu m’entends ? La base à 400 mètres est un piège, ne viens pas ! La véritable base est Aie, la vraie base est à 1000 mètres de profondeur ouille !
Le professeur Procyon : Alcor, Alcor, Alcor !
Minos : À présent, ils savent où ils peuvent nous trouver !
Horos : Ne t’en fais pas, ils sont incapables de descendre à une pareille profondeur surtout Goldorak !

Alcorak, Go ! Mortanium, Missiles Alpha ! Victorang !

- Actarus ? Actarus c’est toi qui était là-haut ?
- Là-haut ! De quoi est-ce que tu parles ?
- Je croyais t’avoir reconnu !
- Tu passes ton temps à rêver, Alcor !
- J’aurais juré que c’était lui ! J’en aurais le cœur net !
- Le palefrenier retourne s’occuper de ses chevaux !

- On dit que les Golgoths de la Division Ruine sont les plus redoutables. Aucun OVT ne peut leur résister et je ne sais même pas si Goldorak le peut.
- C’est pour ça qu’il veut être seul !
- Oui, il ne voulait pas t’envoyer à une mort certaine !

Alcor : Actarus, pourquoi as-tu abandonné la Terre ? Cette Terre que tu aimes tant ?
Actarus : Ne parle pas sans savoir Alcor, je n’ai pas encore dit mon dernier mot !
Hydargos : Veux-tu dire tes dernières volontés, Acatarus ?
Actarus : Écoute, Hydargos ! Ne crie pas victoire trop vite ! Tu n’as pas encore gagné !
Hydargos : Ha, ha, ha ! Cette fois, je ne vois vraiment pas comment tu vas t’en sortir Actarus. Attachez-les aux croix !

Actarus : Horos et Minos doivent se frotter les mains après cette victoire.
Le professeur Procyon : La lutte n’en sera que plus difficile mais gardez le moral, on ne baissera pas les bras !
Alcor : Bien sûr !
Actarus : Père, si on orbitait Lynx deux au plus vite !
Alcor : Pour une fois, ton idée me plait Actarus !