Kaakook

Acteur / Actrice - Richard Crenna

Richard Crenna joue dans :


Répliques de Richard Crenna (10)

- Où est-ce que les missiles sont localisés ?
- Tout près…
- Où ça ?
- Dans ton cul !

8.81 (175 votes)

- Qu’est ce qui a pris à dieu de faire un type comme Rambo !
- Dieu n’a pas fait Rambo ! C’est moi qui l’ai fait !

8.73 (69 votes)

Ce que vous appelez l’enfer, il appelle ça chez lui.

8.49 (136 votes)

Je ne viens pas sauver Rambo de la police, je viens sauver la police de Rambo !


- Ça va ?
- Tu m’as appris à oublier la douleur…
- Ça marche ?
- Pas vraiment. Mais je vous en veux pas.

8.23 (69 votes)

- John comment tu te sens ?
- Bien cuit !

7.89 (47 votes)

- Vous voulez me faire croire que 200 hommes contre votre poulain, c’est une situation perdue d’avance ?
- Si vous lancez vos hommes, n’oubliez pas une chose.
- Quoi ?
- Réservez-leur une place à la morgue.

7.22 (26 votes)

- C’est terminé, Johnny. C’est terminé !
- Rien n’est terminé ! Rien ! Tout continue à cause de vous. C’était pas ma guerre. C’est vous qui m’avez appelé, pas moi. Et j’ai fait ce qu’il fallait pour gagner, mais on n’a pas voulu nous laisser gagner. Et je suis revenu dans le monde, et j’ai vu ces larves m’attendre à l’aéroport, me conspuer comme un criminel. Ils m’ont traité de toutes les saloperies, ils m’ont appelé « le boucher ». Mais qui sont-ils pour me faire des reproches, hein ? Qui sont-ils ? Est-ce qu’ils étaient à ma place, en pleine jungle ? Ils nous jugent sans savoir de quoi ils parlent.
- C’était un moment dur pour tout le monde, Rambo. Tout ça c’est du passé, maintenant.
- Pour vous ! Pour moi la vie civile c’est rien. Au combat on avait un code d’honneur : tu couvres mes arrières, je couvre les tiens. Mais ici, il y a plus rien.
- Tu es le dernier d’un groupe d’élite. Ne finis pas comme ça.
- Là-bas je pilotais un avion de chasse, je pouvais conduire un tank, j’avais en charge un million de dollars de matériel. Mais ici, j’arrive pas à avoir un boulot de gardien de parking !

7.14 (32 votes)

What you choose to call hell, he calls home.

5.56 (8 votes)

On a un meurtrier en cavale ! Alors écoutez-moi bien : l’homme doit courir, il est à pied. L’homme est fatigué, probablement blessé, il doit faire des foulées de 127 cm 3/4, à condition qu’il porte un caleçon ; 120 tout rond, s’il s’agit d’un slip. Ce qui signifie qu’il parcourt 6 200 mètres à l’heure. Il a une avance de 1 h 3/4 sur nous. Il va gagner la route la plus proche et s’emparer d’une voiture ou sauter sur un camion. Or, l’altitude moyenne de cette région est de 621 m 40 cm et 3 mm ; enfin j’arrondis. Il est prêt à tout. Il prendra tous les risques pour rester libre : escalade, varappe, rappel, chute libre, s’il le faut. La contrée est sauvage, ce citadin raffiné a intérêt à faire gaffe : il est au cœur du territoire des ours. Ce pauvre violoneux va crever de faim… Il y a 12 heures qu’il n’a rien avalé. C’est un fugitif, il va chercher à gagner une ville, une grande ville, où il essaiera de se noyer dans la foule mais où qu’il aille, il sentira des milliers de regards braqués sur lui. Quoi qu’il fasse, où qu’il aille, il se sentira traqué, et celui qui le traque, mes enfants, c’est moi.

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