Film - (500) jours ensemble

Pénis !

J’étais bloquée au stade anal. Dans le terme Freudien, j’étais une névrosée du ménage.

I guess I just got lucky. Hm, we met in elementary school, in seventh grade we had the same class schedule, and, uh, we just clicked, you know?… I think technically the « girl of my dreams » would probably have, like, a really bodacious rack, you know. Maybe different hair. Probably, you know, she’d probably be a little more into sports. But um, truthfully… Robyn’s… Robyn’s better than the girl of my dreams. She’s real.

Tom, pars pas, t’es toujours mon meilleur ami !

J’aime pas être quoi que ce soit pour quiconque.

Note de l’auteur : Ceci est une fiction. Toute ressemblance avec quiconque est purement fortuite. Surtout avec toi, Jenny Beckman. Connasse.

Mensonges, on est des menteurs. Si on se demande pourquoi les gens achètent des cartes, c’est pas pour dire ce qu’ils ressentent, ils les achètent parce que il ne savent pas, ou ils ont peur d’exprimer leurs sentiments. Et nous ce qu’ont fait, on leur retire une épine du pied. Non, j’vais vous dire, arrêtons ces conneries, respectons nos concitoyen, ou laissons les au moins s’exprimer par eux-mêmes. Parce que regardez, elle dit quoi celle la ? « nos félicitation pour le bébé » super, et pourquoi pas « félicitations pour le bébé, adieu les soirées entre potes on se voit dans quinze piges » ? Et celle la là, avec les jolis petits cœurs, attendez, attendez, j’vois d’ici le message, ouais. « très bonne saint valentin, mon cœur, je t’aime mon amour ». C’est pas mignon ça ? C’est pas beaucoup l’amour ? C’est exactement là ou je voulais en venir. Qu’est-ce que sa signifie, l’amour ? Vous le savez ? Et vous ? Quelqu’un le sait ? Si on m’offrait cette carte, je la boufferais. Ce sont ces cartes, les films et les tubes de l’été qui sont à blâmer pour ces mensonges. Ces chagrins et tout le reste. Et c’est nous les responsables. C’est moi le responsable. J’crois que c’est pas bien ce qu’on fait. Les gens devraient pouvoir exprimer se qu’il ressentent. Avec leurs propres mots. Et pas avec des mots que des inconnus leur soufflent à l’oreille. Des mots comme « Amour ». Des mots qui n’ont pas se sens.

- I’ve never told anybody that before.
- I guess I’m not just anybody.

Il n’existe que deux type de gens dans le monde : les femmes et les hommes.

Mourir à tes côtés et la plus belle façon de mourir…

- C’est fini.
- De quoi ?
- Avec Summer.
- Parce que ça avait commencé ?
- Non, mais ça aurait pu… Dans un monde où il m’arrive des trucs sympas.
- C’est à dire pas vraiment sur cette planète.
- Voilà.

On est en couple bordel de merde !

Je nous aime.

Cette nana… je l’aimais bien. Je l’aimais tout court. Et qu’est-ce qu’elle a fait ? Elle m’a tout simplement chié en pleine figure, littéralement.

Any resemblance to people living or dead is purely coincidental… Especially you, Jenny Beckman… Bitch.

- Oui oui c’est là que je vous ai vu.
- Je ne vous ai jamais vu.
- Parce que vous n’avez pas regardé !

Soit c’est un être totalement diabolique totalement insensible, allié de l’Humanité. Soit c’est un robot.

Je propose : « Je nous aime ».

Eh bien Tom, c’est elle qui t’a brisé le cœur ou c’est toi ?

Elle n’avait aimé que deux choses. La première, sa longue chevelure brune. La seconde, la facilité qu’elle avait à la couper sans rien ressentir.