Film - Twilight : chapitre 4 - Révélation, 1ère partie

L’attachement personnel est le luxe que nous ne pouvons nous permettre qu’après avoir éliminé tous nos ennemis. Avant cela, tous ceux que nous aimons sont des otages qui sapent notre courage et corrompent notre jugement.

Aucune personne normale n’y survivrait. Tu n’est pas assez forte.

You kill her, you kill me !

Je n’arrive pas à l’envisager. Je ne l’imagine pas. Pour moi… Je ne regarde personne de la même manière. Je ne remarque plus les autres. Je ne vois pas leurs visages.

- Mêle toi de tes affaires le chien !
- Rosalie !

Je ne savais pas encore ce que j’allais faire, le seul truc que je savais c’est que je lui casserai son Austin…

Il est très rare de rencontrer une personne à qui l’on peut dévoiler son âme, et qui vous acceptera tel que vous êtes. J’attends depuis ce qui me parait des siècles la chance d’aller au-delà de moi-même. Jamais le temps à ses côtés ne me paraîtra assez long, commençons par l’éternité.

- voila le souvenir que je garderai de toi : des joues roses, deux pieds gauche, un cœur qui bat…
- Pourquoi je vais bientôt être morte à tes yeux ?
- Désolé j’essaye juste de profiter de ta dernière soirée entant qu’humaine.
- Ce n’est pas ma dernière soirée.
- Quoi tu veux dire que…
- Je ne veux pas passer ma lune de miel à souffrir le martyr…
- Bella c’est une mauvaise blague. Ne me dis pas que tu es aussi stupide !

Alice : C’est ce fœtus qui est en train d’la tuer.
Rosalie : Appel le comme il faut Alice. Le bébé ! Ce n’est rien qu’un petit bébé !
Jasper : Peut-être pas…

Rosalie : Bella dit à Jacob ta décision.
Jacob : Quoi, quelle décision ?
Edward : Rosalie n’est pas d’accord avec les prénom que Bella a choisi pour le bébé.
Jacob : Allons Bella tu sais que je serai toujours d’accord avec toi.
Bella : Bon si c’est un garçon Ijake ou Edjacob.
Rosalie : Ouais ça sa passe mais maintenant dit lui le prénom de fille.
Bella : J’ai voulu m’inspirer de nos Renée et Esmée et j’ai trouvé Renésmée.
Jacob : Re… Renésmée.
Bella : C’est trop bizarre ?
Edward : Non c’est pas trop bizarre. Il est unique et te correspond très bien. J’aime Renésmée.

Mais nous avons toute notre éternité ?

Plus que ma propre vie… c’est comme ça que je t’aime.

Cela fait un siècle que j’attends de pouvoir vous épouser mademoiselle Swan…

- Un Mississippi… deux Mississippi…
- Et l’inondation, espèce de cabot ?
- Tu sais comment on noie une blonde, Rosalie ? En collant un miroir au fond d’une piscine.

- Tu sais tout de moi, et personne au monde n’a jamais aimé comme je t’aime.
- À une exception près. Tu me refais voir ?
- Nous avons tout le temps tu crois pas ?
- L’éternité.
- L’éternité.

- Il faut que ton cœur batte !
- Non, il est en train de suffoquer !

N’oublie jamais qui tu es vraiment.

L’enfance est l’époque qui va jusqu’à un certain âge, et à cet âge certain, l’enfant abandonne ces occupations infantiles. L’enfance est le royaume ou personne ne meurt.

Lui et moi nous étions contemplé mutuellement, fixant ce sans quoi nous étions incapables de vivre : l’autre…

Pour une humaine, je crois qu’il n’existe rien de plus délicieux.