Film - Harry Potter et les reliques de la mort - 1re partie

N’aie pas pitié des morts Harry, aie pitié des vivants et en particulier de tous ceux qui vivent sans amour.

J’ai toujours été fier du talent que je possède pour tourner des phrases. Et les mots sont à mon avis, qui n’est pas si humble, notre plus inépuisable source de magie. Ils peuvent à la fois infliger des blessures et y porter remède.

- Professeur, est-ce que tout ceci est réel ou ça se passe dans ma tête ?
- Bien sûr que ça se passe dans ta tête, Harry. Mais pourquoi faudrait-il en conclure que ce n’est pas réel ?

Tu es un parfait crétin Ronald Weasley ! Tu débarques ici après des semaines ? Et tu dis salut !

Not my daughter you bitch!

- Tu as essayé de tuer tes maîtres !
- Non Dobby n’a pas de maître, c’est un elfe LIBRE ! Non, Dobby ne voulait pas tuer ! Blesser très gravement, mutiler… Mais pas tuer !

C’est ma copine, bande d’abrutis !

[Un mangemort a infligé une blessure à l’oreille de George]
- Comment tu te sens, Georgy ?
- Comme un saint.
- Comment ?
- Comme un saint, j’ai une auréole. Une auréole, Fred. Tu saisis ?
- Tout un monde de blagues sur les oreilles s’ouvraient à toi. Et toi, tout ce que tu trouves, c’est auréole ? C’est affligeant.
- Je reste quand-même plus beau que toi.

- Pourquoi tu-vis ?
- Parce que pour moi la vie a un sens.

Sachez le, vous n’avez rien à craindre si vous n’avez rien à cacher.

- You’ll stay with me?
- Until the very end.

J’ai lu dans ton cœur, et ton cœur est mien.

- Mais je fais tout ce que je peux !
- Tout ce que tu peux c’est pas suffisant.

C’est un endroit fantastique, pour être avec des amis.

Of course it is happening inside your head, Harry, but why on earth should that mean that it is not real?

Do not pity the dead, Harry. Pity the living, and, above all those who live without love.

La baguette de sureau, la plus puissante baguette jamais fabriquée. La Pierre de résurrection, la cape d’invisibilité, ensembles elles forment les reliques de la mort. Ensemble elles font de vous, le maître de la mort.

Nous vivons des heures sombres c’est indéniable…

Ron : Dès que j’ai transplané, j’ai voulu revenir. Mais je savais pas comment vous retrouver.
Harry : Oui, comment tu nous as retrouvé ?
Ron : Avec ça [Il sort l’absorbeur de lumières]. Il ne fait pas qu’éteindre des lumières. Je sais pas comment il fonctionne, mais le matin de Noël, je m’étais endormi dans un pub. Je me cachais d’une bande de raffleurs et je l’ai entendu.
Harry : Quoi ?
Ron : Une voix. Ta voix, Hermione. Elle venait de là.
Hermione : Et qu’est-ce que je disais si je suis pas indiscrète ?
Ron : Mon nom, seulement mon nom comme un murmure. Alors je l’ai prit, je l’ai actionné. Une petite boule lumineuse est apparu et j’ai su. Et c’est vrai, la boule de lumière a flotté vers moi droit sur ma poitrine et elle est entrée en moi. Juste là [Il indique sa poitrine gauche] et j’ai su qu’elle m’emmènerait là où j’avais besoin d’aller. Alors j’ai transplané et je me suis trouvé dans cette forêt. Il faisait nuit et je ne savais pas où j’étais. Tout ce que j’espérais, c’est que l’un de vous se montrerait et c’est arrivé.

Touche pas à ma Genny ! Pétasse !