Kaakook

Film - Hell

Affiche de Hell
Titre
Hell
Réalisé par
Bruno Chiche
Année de sortie
2006
Nombre de citations
53
Note moyenne des citations
8.57
Publication

Dernière mise à jour

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Répliques du film (53)

- La traite pas de pute !
- Comment t’appelles une fille qui baise avec tout le monde ?

Hell.
9.1 (202 votes)

- Vous m’avez pris en flagrant délit de stupéfiant !
- Y a aucun délit !
- Y a aucun délit ? Vous m’embraquez d’accord ?!
- Mais vous avez commis aucun délit.
- Ah ouais ? Conard ! Sale keuf ! Nike la police ! NIKE LA POLICE ! À bas SARKOZY ! C’est pas de l’outrage à agent ça ? Allez oust au poste !
- …

9.08 (131 votes)

Je n’ai pas besoin de me donner bonne conscience, j’en ai pas.

Hell.
9.07 (97 votes)

Caricature ; c’est ce que tu es, la caricature du pauvre mec qui a tout, mais qui n’est rien.

Hell, Hell à Andrea.
9.06 (214 votes)

On cherche l’amour, on croit le trouver. Puis on retombe. De haut. Mieux vaut tomber que ne jamais s’élever ?

Hell.
9.04 (126 votes)

On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur.

Hell.
9.03 (114 votes)

Je suis un artiste et mon œuvre c’est moi.

Hell.
9.02 (225 votes)

À 200 à l’heure dans les rues de Paris où il ne fait pas bon trainer lorsque nous sommes au volant, nous mêlons l’alcool à la beuh, la beuh à la coke, la coke au extas. Des mecs baisent des putes sans capotes et jouissent ensuite dans les copines de leur petites sœurs qui se font, de toute manière, partouzer du soir au matin.

Hell.
8.9 (300 votes)

Je suis un produit de la « think pink generation », mon credo : « sois belle et consomme ».

Hell.
8.87 (176 votes)

On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l’amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu’on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l’accident, on prend trop de coke, on frôle l’overdose. Ça fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d’hommes d’affaires, qui dégénèrent à ce point là, c’est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d’autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui ne disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du moi. Et on les déteste, parce qu’ils donnent tant et si peu. Tant pour qu’on puisse se foutre en l’air, et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s’estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu’on ne va en cours, on a plus de maisons qu’on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu’on n’appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on n’a pas le droit de s’en plaindre, parce qu’il paraît qu’on a tout pour être heureux. Et on crève, dans nos appartements trop grands, des moulures à la place du ciel, repus, bourrés de coke et d’antidépresseurs, et le sourire aux lèvres.

Hell.
8.85 (51 votes)

Je l’aime, toujours, tout le temps, à en crever. Je l’aime endormie ou déprimée, je l’aime même cokée, abrutie, dégradée. Elle réussissait, je ne sais pas comment, à rester si pure dans les situations les plus dégradantes que j’avais envie de me mettre à genoux devant elle.

Hell.
8.73 (45 votes)

Que dire du bonheur ? Rien. Ça emmerde le monde. Le bonheur des uns fait le malheur des autres.

8.67 (35 votes)

T’en a pas marre de baiser avec un con différent tous les soirs ?

Hell.
8.65 (198 votes)

Je roule à 150, je ne sais pas ce que je fuis, ni ce après quoi je cours. La vitesse me grise. Demain tout va changer. J’en ai marre, j’en peux plus. Poursuivre chaque jour une finalité qui n’existe pas ; m’étourdir, taper, jouer, baiser, sortir, je veux rompre cet engrenage infernal. Demain, j’arrête la coke, je me résigne à faire quelque chose. Je veux avoir une raison de me lever le matin. Demain je bazarde ma fierté qui ne sert à rien, et je lui avoue la vérité, je lui dit à quel point je l’aime, que je n’ai jamais cessé de l’aimer.

8.64 (34 votes)

J’étais venue lui dire je t’aime, juste je t’aime et reviens ? Je l’ai vu, j’ai voulu courir vers lui… Mais son dos qui s’éloignait avait quelque chose de fatal. Je suis resté clouée sur place, avec ma coupe de champagne qui tremblait dans ma main, et j’ai laissé partir un rêve en me disant que c’était mieux pour lui… Je suis hantée par notre dernière entrevue. L’impression d’avoir commis quelque chose d’irréparable.

8.61 (26 votes)

Parce que la vérité, c’est que je suis dingue de cette fille, j’y peux rien c’est comme ça, et je suis dingue d’elle.

Hell.
8.6 (40 votes)

Désillusionnée avant l’âge, je dégueule sur la facilité des sentiment.
Ce qu’on nomme l’amour n’est que l’alibi rassurant de l’union d’un pervers et d’une pute, que le voile rose qui couvre la face effrayante de l’inéluctable solitude.
L’amour, c’est tout ce qu’on a trouvé pour aliéner la déprime post-coïtum pour justifier le fornicateur de l’orgasme. C’est la quintessence du beau. Du bien, du vrai, qui refaçonne votre sale gueule, qui sublime votre existence mesquine.
Et bien moi je refuse.
Je pratique et je prône l’hédonisme mondain il m’épargne, il m’épargne les euphories grotesque du premier baiser, du premier coup de fil, écouter douze fois un simple message, prendre un café, un verre : les amis communs, les vacances sur la côte, puis un dîner : les auteurs préférés, le mal de vivre, pourquoi sortir tous les soirs, la première nuit, suivie de beaucoup d’autres, ne plus rien avoir à se dire, baiser pour combler les blancs, ne même plus avoir envie de baiser, se détacher, rester ensemble quand même, s’engueuler, se réconcilier tout en sachant que c’est mort au fond, aller baiser ailleurs, et puis plus rien.
Souffrir…

Hell.
8.54 (38 votes)

Vivre d’amour, d’Evian et de Marlboro light.

Hell.
8.5 (50 votes)

- Tu fais quoi dans ta vie à part pleurer dans la rue et vider les bars ?
- Je pleure aussi dans les bars.

8.25 (53 votes)

On vit… comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore… chaque jour est l’inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu’un d’autre, on sort ailleurs. Mais c’est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. Gosses. On se défonce à les réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustré pour l’éternité, soit on y parvient et on se rend compte qu’on s’en fout. Et puis on crève. Et la boucle est bouclée. Quand on se rend compte de ça, on a singulièrement envie de boucler la boucle immédiatement, pour ne pas lutter en vain, pour déjouer la fatalité, pour sortir du piège. Mais on a peur. De l’inconnu. Du pire. Et puis qu’on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon, on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs, on appuierait sur la lame de rasoir jusqu’à ce que le sang gicle…

Hell.
8.21 (29 votes)

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Personnages du film

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