Personnage - Phénicia

Vénusia : Actarus !
Alcor : Prince !
Phénicia : Nous avons gagné !
Actarus : Oui, oui nous avons gagné, nous avons détruit le diable !

Phénicia : Elle est plus forte que nous tous !
Alcor : J’avoue que j’étais complètement perdu, je ne savais pas qui était le vrai Rigel !
Rigel : Moi aussi j’avoue que j’étais complètement perdu parce que quand je me regardais dans le visage de l’autre, je me demande si ce n’est pas moi qui me regardais moi-même.

Fossoirak, Go ! Tarrièropulseurs ! Missiles Sigma ! Pyrobombes !

- Enfin, voici les Alpes !
- Sur Euphor aussi, nous avions des belles montagnes !

Aquarak, Go !

Le professeur Procyon : Si Actarus a sombré dans la démence, il est un danger pour tout le monde. On ne peut pas empêcher les hommes de le bannir de la planète bleue.
Phénicia : Il faut les en empêcher. Ce serait trop affreux. Véga l’enverra dans les bagnes d’Akereb la Rouge. S’il est fou, il faut le soigner.
Alcor : Actarus, tu m’as trop souvent sauvé pour que je t’abandonne. Tu es devenu dangereux mais le sort qu’on te réserve est beaucoup trop cruel après tout ce que tu as fait pour nous. Les Frères de l’Espace, c’était nous.

Quand je pense que mon frère est devenu un monstre. Que tout le monde admirait. La Famille Royale d’Euphor est déshonorée.

Actarus : Oh, Alcor !
Alcor : Actarus, Phénicia, que Dieu vous protège !
Phénicia : Oh, Alcor !

- Regarde, Phénicia ! Euphor est en vue !
- Oui, maintenant, nous allons pouvoir tout recommencer !

Vénusia : Je crois que pour une fois, papa avait raison. C’est ma mère qui nous a tous protégé au cours de cette mission.
Alcor : Tu as eu affaire à un drôle de client. Qui c’était ?
Actarus : Le fils du Général Horos. Il a donné sa vie pour sauver celle de son père.
Phénicia : Ah, je plains beaucoup le Général Horos.
Alcor : Il aurait pu être notre ami.
Actarus : Oui, malheureusement, tel père, tel fils.

- Père ! Papa !
- Ne pleure pas, petite sœur. Notre père n’est pas mort. Il est toujours vivant dans nos cœurs. Le souvenir de notre père et de notre mère est gravé à jamais dans notre mémoire.
- Actarus !
- Oui, après tout, pleure, cela ne peut que te soulager.
- Papa ! Maman !

- Les rêves et les prémonitions de Phénicia faut-il en tenir compte ? Je sais que quelque fois ils s’avèrent exacts mais pourquoi notre père lui serait-il apparu ?
- Ma chambre était envahie par les éclairs. Ils ont pris le cerveau de mon père et l’ont mis dans un Golgoth.
- Oui, je sais qu’ils en sont capables mais notre père est mort quand elle était encore enfant. Il faut que j’en ai le cœur net. Oh.

- Phénicia !
- Actarus, pourquoi ? Combien de temps allons-nous encore combattre ? Oh, j’en peux plus. Il faut que cette guerre s’arrête.
- Oui, tu as raison. Il faudrait que cette guerre s’arrête.

Alcor : Où est-elle ?
Phénicia : Alcor !
Horos : Bienvenue, Monsieur Alcor ! Sois le bienvenu dans ta tombe ! Golgoth Scaravageur, commence le travail que je t’ai ordonné !

Nous avons été très longtemps séparés l’un de l’autre. La division Ruine du Grand Stratéguerre a mis notre planète à feu et à sang. Ce démon a fait tuer toute notre famille. Il s’amuse à détruire l’amour qui lie frère et sœur. Il en est jaloux.

- Arrête de tourner comme un ours en cage !
- J’ai des raisons d’être nerveux, Véga nous attaque et nous sommes interdits de vol. J’en ai assez de rester les bras croisés !
- Non, reste et n’oublie pas les ordres de Procyon !
- Mais je vais prendre une douche c’est tout ! Il faut absolument que je trouve leur maudite base sous-marine, Phénicia !
- Je sais ce que tu as dans le crâne, tu croyais peut-être pouvoir me laisser tomber ?

Vénusia : Mais qu’allez-vous faire de lui ?
Horos : Je vous donne une heure, passé ce délai il sera exécuté !
Phénicia : Non, Actarus il faut y’aller, tu ne vas pas laisser ces brutes exécuter Alcor ?
Le professeur Procyon : Ça y’est, Aquarak est au point et prêt à entrer en action !
Actarus : Je vais le prendre pour aller sauver Alcor !
Le professeur Procyon : Oui tu peux partir quand tu veux, les deux Golgoths qui t’attendent en profondeur vont avoir une petite surprise.

- Eh, Phénicia, tu pourrais ralentir un peu quand même !
- Hum, je veux avoir pouvoir le temps de visiter la capitale !
- Toi, tu es vraiment une provinciale !
- Et toi tu es vraiment lent !
- C’est un vrai garçon manque, elle va voir si je suis vraiment lent.

- Phénicia, on ne visitera rien du tout si tu continues longtemps à lécher les vitrines. Ah, tu crois que tes achats te seront utiles dans Fossoirak ?
- Oh regarde, quelle merveille. Je sens que je vais me l’offrir.
- Oh là là. Oh, elle n’a pas vu le prix ! Bon maintenant, ça suffit, je veux profiter de mon jour de congé. Tu t’amènes ? Moi je refuse de perdre tout mon temps à continuer de courir les magasins.
- Ah, tu as peur de dépenser tout ton argent au cas où je te demanderai de me l’offrir. Allez, avoue-le !
- Oui, tu as raison. Euh, enfin, oh et puis et puis fais ce que tu veux.
- Tu n’es qu’un radin.
- Crois ce que tu veux, moi je fiche le camp.
- Attends-moi, ne me laisse pas toute seule.