- Ne t’inquiète pas, le docteur a dit qu’il ferait l’impossible pour sauver l’enfant. Voyons, Alcor, qu’est-ce qui te prend ? Tu n’es pas responsable de ce qui est arrivé. - Si je suis responsable, j’aurais dû attaquer et descendre ce missile beaucoup plus tôt et j’ai agi inconsidérément en quittant la patrouille, rien ne serait arrivé avec vous à mes côtés.
Actarus : Et quand sera-t-il opérationnel ? Le professeur Procyon : Bientôt, je l’espère et en attendant je vous interdis à tous de prendre l’air avec vos appareils habituels c’est bien compris ? Actarus, Phénicia, Alcor et Vénusia : Quoi ?
- Ça fait des heures qu’on tourne sans rien. Tiens, regarde ! - Des émanations de lasernium ! Qu’est-ce qu’on fait Alcor ? - On va jeter un coup d’œil ! Un Golgoth, Oooh ! - Alcor ! - Ne viens pas ! Fiche le camp ! - Tiens bon Alcor, je vais chercher les autres !
Le professeur Procyon : Dans ce secteur, il n’y a que cette fosse qui soit aussi profonde. Actarus : C’est là qu’ils ont emmené Alcor ? Le professeur Procyon : Oui, très probablement mais ça n’a pas d’importance, Aquarak a été conçu pour pouvoir plonger jusqu’à plus de 3000 mètres. Faites vite pour avoir une chance de sauver Alcor ! Actarus, Vénusia et Phénicia : Oui !
- Pour un jour de congé, c’est réussi, tu ne trouves pas ? On rentre. - Mais tu es sûr qu’ils n’ont plus besoin de nous ? - Non, tout est arrangé. Laissons-les tranquille maintenant. - D’accord.
- Écoute Alcor. - Je t’écoute. - On me traite souvent comme une enfant. C’est vrai non ? - Je ne crois pas que Vénusia te traite comme une enfant. Plutôt comme une sœur et elle prend soin de toi. - Oh, je ne pensais pas à Vénusia en te disant cela. Je pensais à toi. Tu te moques de moi continuellement. - Je ne le fais pas méchamment. Je n’oublie pas que tu appartiens à la Patrouille des Aigles. - Merci Alcor. C’est gentil. - Eh, Phénicia. J’en ai assez que tu m’appelles Alcor tout court. - Ah bon ? - Tu pourrais dire Alcor chéri ? - Ah et pourquoi pas Alcor mon amour ? Pourquoi aussi mon Alcor adoré ? - Je ne te le fais pas dire. - Ah c’est bien ça. Je t’appellerai Cher Alcor tandis que toi tu m’appelleras Phénicia tout court. Est-ce que tu me prends pour une idiote, Alcor ? - Exactement, poison tout court.
- Je n’ai rien vu non plus. - Eh, moi j’ai vu des tas de rats. - Des rats ? - Oui, j’ai crié quand j’ai vu des rats escalader la tour. - Tu parles, tu as failli nous casser les oreilles, oui. - Ah, ce n’est pas ma faute, je ne supporte pas les rats.
Rigel : Hop, regardez hop ! Mizar : Ah, elle remarche ! Rigel : Oui, Tornade remarche et c’est moi tout seul qui l’ai guérie. Mizar : Je suis fier de toi, papa ! Alcor : Bravo, ta nuit blanche a finalement porté ses fruits ! Phénicia : Tu dois être soulagé oncle Rigel !
Actarus : Beau travail. J’espère que tu es fière de ce que tu as fait ! Phénicia : Pardon ! Actarus : C’est amusant. Il est un peu tard pour pleurnicher. Alcor est dans de beaux draps maintenant. Vénusia : Assez, Actarus. Ce qu’ils ont fait, c’était pour arrêter l’attaque des missiles. Phénicia : Elle a raison.