Les imbéciles, ils devraient pourtant savoir que seuls les Chevaliers peuvent quitter le Sanctuaire vivants alors que les autres malheureusement peuvent le quitter les pieds devant et je me demande ce qui est advenu de Marine si jamais j’aurais la chance de la revoir ici.
Algol : Erreur, il est déjà trop tard ! Aïolia : Comment, c’est toi Algol mais qu’est-ce que tu fais là ? Algol : Mais dis-moi, tu soutiens les déserteurs maintenant ? Aïolia : Ils sont jeunes ! Shaina : Jeunes ou pas, ils méritent la mort !
Algol : Vous voilà tous les trois réduits à l’état de pierre, ceci devrait dissuader j’imagine d’éventuels fuyards ! Aïolia : Quelle cruauté ! Shaina : Ha, ha, ha, ha, ha, ha, félicitations tu as du génie ! Écoute, je voudrais que tu me secondes dans la tâche qui m’a été confiée : je dois supprimer les Chevaliers de Bronze. Algol : Oh que oui j’accepte et avec le plus grand plaisir même ! Depuis toujours, j’ai toujours rêvé de les transformer tous en statue. Shaina : Ha, ha ! Et quant à Marine, je lui propose de lui faire subir le même sort afin de lui faire payer très cher sa trahison, tu ne dis rien ? Ha, ha, ha, ha, ha ! Aïolia : Mon Dieu, faites qu’ils leur échappent !
Je sais que les coups d’un Chevalier de Bronze peuvent atteindre la vitesse de Mach un, celle des Chevaliers d’Argent peut aller jusqu’à cinq fois cette vitesse mais les Chevaliers d’Or peuvent atteindre la vitesse de 300 millions par seconde autrement dit la vitesse de la lumière. Voilà ce qui fait l’énorme différence entre la vitesse du son d’un Chevalier de Bronze et la vitesse de la lumière d’un Chevalier d’Or.
- Non, je t’en prie attends ! - Laisse-moi passer ! - Qu’est-ce que tu veux faire ? Aller au Sanctuaire ? - Oui, je les déteste tous, les Chevaliers d’Or, le Grand Pope et moi-même, il faut en finir avec ce massacre. - Tu ne sais plus ce que tu dis, je ne vais pas te laisser faire une folie pareille, si tu dois détester quelqu’un, déteste-moi ! - Laisse-moi passer, j’irai au Sanctuaire même si je dois me battre contre toi. - Je ne peux pas te laisser commettre un suicide, Cassios ne me le pardonnerait jamais. - C’est pour lui que je dois y aller ! Mais enfin, pourquoi ? - C’est pour ton bien ! Voilà ta dernière demeure Cassios, d’ici tu pourras veiller sur ta bien-aimée pour l’éternité.
Si j’étais à votre place, je m’enfuirai, vous n’êtes vraiment pas de taille à lutter contre un Chevalier à l’armure dorée !
Non seulement tu as essayé de tuer Athéna, mais tu as fait exécuter mon frère Aïolos et tu as osé faire de moi un de tes pantins obéissant à tes ordres.