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Personnage - Perceval

Perceval apparaît dans :


Répliques de Perceval (22)

- Donc, pour résumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout, euh, non… Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considère en tant que tel.
- Bon ben je vais voir ce que je peux faire.

9.15 (179 votes)

- Aller on commence !
- Bah il y a pas tout le monde…
- Comment ça il y a pas tout le monde ? Vous voyez bien que si !
- Mais il y a pas Lancelot…
- Vous voyez un fauteuil vide ?
- Non.
- Donc qu’est ce que vous en déduisez ?
- Bah qu’en plus de l’attendre il faut lui trouver un fauteuil.

9.14 (130 votes)

Arthur : Mais c’est pas compliqué, bon Dieu ! Y a Calogrenant à droite, Léodagan à gauche, et nous on arrive par le milieu !
Lancelot : C’est bon jusque là ?
Perceval : Attendez, moi, si je me souviens bien du coin, il y a la rivière qui passe en travers !
Arthur : Ah, mais merde avec votre rivière !
Perceval : C’est un point de repère comme un autre !
Lancelot : Mais bon Dieu, il y a pas besoin de point de repère puisque les envahisseurs vont nous attaquer de face !
Perceval : De face, ça va ! C’est le reste qui va pas !
Arthur : Mais quoi, nom d’un chien !?
Perceval : Ben la gauche, la droite, là ! Moi j’aime pas ces trucs !
Lancelot : Mais qu’est ce que vous aimez pas ?
Perceval : Ces conneries de gauche et de droite ! Ça veut rien dire ces machins ! Selon comme on est tourné ça change tout !
Arthur : Mais qu’est ce que vous nous chantez ?
Perceval : Moi j’estime que quand on parle tactique militaire, il faut employer des termes précis !
Lancelot : Ben oui, effectivement, ça peut prêter à confusion…
Arthur : Non mais attendez, nous c’est pour vous qu’on dit gauche et droite ! C’est pour pas vous embrouiller !
Perceval : Si, ça m’embrouille !
Lancelot : Ah bon ? On peut parler normalement alors ?
Perceval : Professionnel !
Arthur : Bon, ben alors, OK, on reprend depuis le début ; donc, Calogrenant est posté depuis hier soir au Nord-Est de la zone d’attaque…
Lancelot : … Léodagan, Sud-Sud-Est, un peu plus en retrait avec ses cavaliers…
Perceval : Moi j’aime pas ces histoires de Sud-Est, Nord-Ouest, et tous ces machins !
Arthur : Quoi, qu’est ce qu’il y a qui va pas encore ?!
Perceval : C’est un coup à se planter ça ! De toutes façons, on dit le Nord ! Selon comme on est tourné ça change tout !

9.1 (178 votes)

De toute façon, les réunions de la Table Ronde c’est deux fois par mois. Donc si le mec il dit après-demain à partir de dans deux jours, suivant s’il le dit à la fin du mois, ça reporte.

8.98 (137 votes)

Vous pouvez être sûr que si Joseph d’Arimathie a pas été trop con, le graal, c’est un bocal à anchois !

8.96 (202 votes)

PAYS DE GALLE INDÉPENDAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANT.

8.94 (84 votes)

C’est pas moi qui explique mal, c’est les autres qui sont cons.

8.54 (38 votes)

La patience est un plat qui se mange sans sauce.

8.15 (17 votes)

- Vous pensez la même chose que moi ?
- Non, j’pense à rien mais vous faites les gros yeux alors j’fais pareil !

7.88 (23 votes)

Arthur : Donc, voici une catapulte. Comme vous pouvez le constater, et à la différence de certaines autres armes de jet, celle ci est munie de roulettes, ce qui la classe dans la catégorie des armes []
Perceval : À ROULETTES ! Houlaa… Je l’ai un peut trop gueulé ça, non ? À roulettes.
Arthur : … La classe dans la catégorie des armes mobiles.
Perceval : À roulettes mobiles ?
Yvain : Mon oncle, doit-on en conclure que la catapulte n’appartient pas à la catégorie des armes de jet à roulettes fixes ?
Gauvain : Ouais, c’est comme le poney par rapport au cheval.
Yvain : Ah non attention non, là je suis pas sûr…
Perceval : Mais c’est de là que ça vient quand on dit euh « ça va comme sur des roulettes ». En fait ça veut dire que le mec il peut balancer un morceau de rocher comme une catapulte, et il continu quand même d’avancer de façon mobile.
Arthur : Le prochain qui l’ouvre, je l’envoie aux galères pendant trois ans. Sans déconner, je le fais.

7.87 (51 votes)

Si la mémoire est à la tête ce que le passé, peut-on y accéder à six ?

7.83 (50 votes)

- En ce moment je m’endors tout le temps, je peux rien y faire et je fais des rêves. Je vais vous en raconter un. Je suis dans l’espace, avec un vieux… Je vous raconte pas ça au hasard. Quand je me suis réveillé j’ai tout de suite pensé à vous. L’espace… ça a toujours été votre truc ça l’espace. Et les vieux, y en a toujours dans vos histoires à vous. Bref, je flotte dans l’espace… avec les étoiles tout. Et y a un vieux à côté. Alors je sais si c’est moi vieux où euh… parce que les rêves c’est toujours le bordel pour ça. Et le vieux me fait : « Vous êtes prêt à voir le Graal ? » Alors moi je réponds : « Oui. » Alors on se dirige vers une… une grande boule, mais en fait c’est notre Terre à nous. Sauf qu’au lieu d’être bien plate, ben elle est en boule quoi ! Comme je disais les rêves c’est toujours le bordel. On descend, on descend. On atterrit sur un sentier, dans une forêt, sur le territoire du Seigneur Dagonet. Alors me demandez pas pourquoi. D’autant qu’il est même pas dans le rêve ce con-là mais, je sais pas comment vous dire, je sais qu’on est chez Dagonet. Le vieux se retourne et il me fait : « J’espère que vous avez pas peur de la marche. Parce que je vous préviens c’est pas la porte à côté. » Moi je lui réponds : « Je comprends pas pourquoi on n’a pas atterri directement plus près alors ? » Et il me répond pas il part devant. Je le suis. Je le suis, je le suis pis au bout d’un moment je me dis : « Merde… c’est le chemin de Kaamelott ici ! Oh », que je lui fais au vieux, « c’est pas le chemin de Kaamelott ça ? Si pourquoi ? Comment pourquoi », je lui fais, « le Graal il est pas à Kaamelott quand même ? Si », il me fait. Alors je m’arrête : « Vous vous foutez de moi ? » Il se retourne il me dit : « Vous voulez le voir le Graal où vous voulez pas le voir ? Bon bah bouclez-là et suivez. » Et il repart. Bon. On arrive à Kaamelott, la baraque vide. Pas un garde à l’entré, pas un loufiat dans les couloirs, on passe devant la salle de la Table Ronde, pas de Table Ronde, la pièce vide. On continue, on continue et on arrive devant la porte de ma salle de bain : « Voilà, ouvrez c’est la derrière. », « Mais… là derrière ou ça ? Dans la salle de bain ? », « Oui, dans la salle de bain. » Alors je le regarde, j’essaie de voir s’il est pas beurré ou quoi, pis je rentre. Là y a la baignoire vide… enfin vide… y’a de l’eau mais y’a personne dedans. Et y’a du sang partout. Partout, partout… Il me fait : « Voilà ! C’est le Graal ! », « Quoi quel Graal ? La salle de bain ? », « Non pas la salle de bain, la baignoire ! », « La baignoire c’est le Graal ? », « Ouais, c’est le récipient qui a reçu le sang du Christ. » Alors là dans le rêve je lui mets une tarte au vieux… mais la bonne tartine attention, avec la tête qui part sur le côté, les cheveux de travers tout. « Tu te payes ma gueule ? », que je lui fais. Pis là mon vieux c’est lui qui se retourne, qui vient, il me fout une avoine. J’ai l’impression que le plafond me tombe sur la gueule. Je me ressaisis. Et il me dit : « Qu’est-ce que c’est que quelqu’un qui souffre ? Et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal. Et vous savez qu’on s’est toujours demandé si y avait pas une inscription gravée au fond du Graal ! Eh ben oui y’en a une. Allez voir. » qu’il me fait. Alors j’y vais. Et au fond de la baignoire y a marqué : « Vous m’avez bien cassé les couilles. » Et boum je me réveille.
- C’est vraiment chouette comme rêve. Moi l’autre nuit, j’ai rêvé que Karadoc avait des pinces.
- C’est à dire ?
- Comme un crabe.
- Ah. Et qu’est ce qu’il faisait avec ses pinces ?
- Il me pinçait le ménisque.
- Le ménisque ?
- Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves ou pas ?
- Les rêves, ça se compare pas.

7.74 (21 votes)

Faut faire comme avec les scorpions qui se suicident quand ils sont entourés par le feu. Faut faire un feu en forme de cercle autour d’eux. Comme ça ils se suicident, pendant que nous on fait le tour et on lance de la caillasse de l’autre côté pour brouiller… non ?

7.6 (15 votes)

Après demain, à partir d’aujourd’hui ?

7.33 (20 votes)

Et toc, remonte ton slibar, Lothar !

7.31 (16 votes)

- Est-ce qu’ils sont vindicatifs ?
- Vous voulez dire comme les panneaux ?

7.14 (11 votes)

Moi avant j’avais deux ennemis ; les épinards et la grammaire. Aujourd’hui je bouffe plus d’épinards et pour la grammaire j’ai la botte secrète.

6.9 (19 votes)

On en a gros… Sire.

6.88 (6 votes)

Au trot mocheté!

6.57 (25 votes)

Mais le code, c’est pas « le code » ?

6.45 (21 votes)

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