Kaakook

Personnage - Arthur

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Répliques de Arthur (39)

Caius : Hé les connards ! Vous pouvez faire griller un porcelet s’il vous plaît ?
Arthur : Les connards ?
Léodagan : S’il vous plaît ?

9.42 (367 votes)

- Nouvelle technique : on passe pour des cons, les autres se marrent, et on frappe. C’est nouveau.
- Et les autres font ça aussi ?
- Ah non, ça c’est que nous. Parce qu’il faut être capable de passer pour des cons en un temps record. Ah non, là-dessus on a une avance considérable.

9.32 (418 votes)

- C’est vrai que vous êtes le fils d’un démon et d’une pucelle ?
- Oui pourquoi ?
- Vous avez plus pris de la pucelle…

9.31 (350 votes)

- Et ils avaient des éléphants ?
- Des éléphants ?! Non non, mais ils avaient des chevaux tout gris, tout chelous avec la queue au milieu du visage !
- Ah oui, des éléphants…

9.31 (296 votes)

Vous croyez vraiment que vous avez les moyens de me convoquer ? Je suis là parce j’veux bien et si vous m’avez fait venir pour rien, j’vous balance 15 jours dans une geôle sans boire ni bouffer et j’me démerde pour que vous chopiez le typhus !

9.21 (104 votes)

- Donc, pour résumer, je suis souvent victime des colibris, sous-entendu des types qu’oublient toujours tout, euh, non… Bref, tout ça pour dire, que je voudrais bien qu’on me considère en tant que tel.
- Bon ben je vais voir ce que je peux faire.

9.15 (179 votes)

- Aller on commence !
- Bah il y a pas tout le monde…
- Comment ça il y a pas tout le monde ? Vous voyez bien que si !
- Mais il y a pas Lancelot…
- Vous voyez un fauteuil vide ?
- Non.
- Donc qu’est ce que vous en déduisez ?
- Bah qu’en plus de l’attendre il faut lui trouver un fauteuil.

9.14 (130 votes)

Eh bien, c’est l’histoire d’un petit ourson qui s’appelle… Arthur. Et y’a une fée, un jour, qui vient voir le petit ourson et qui lui dit : « Arthur tu vas partir à la recherche du Vase Magique ». Et elle lui donne une épée hmm… magique (ouais, parce qu’y a plein de trucs magiques dans l’histoire, bref) alors le petit ourson il se dit : « Heu, chercher le Vase Magique ça doit être drôlement difficile, alors il faut que je parte dans la forêt pour trouver des amis pour m’aider ». Alors il va voir son ami Lancelot… le cerf (parce que le cerf c’est majestueux comme ça), heu, Bohort le faisan et puis Léodagan… heu… l’ours, ouais c’est un ours aussi, c’est pas tout à fait le même ours mais bon. Donc Léodagan qui est le père de la femme du petit ourson, qui s’appelle Guenièvre la truite… non, non, parce que c’est la fille de… non c’est un ours aussi puisque c’est la fille de l’autre ours, non parce qu’après ça fait des machins mixtes, en fait un ours et une truite… non en fait ça va pas. Bref, sinon y’a Gauvain le neveu du petit ourson qui est le fils de sa sœur Anna, qui est restée à Tintagel avec sa mère Igerne la… bah non, ouais du coup je suis obligé de foutre des ours de partout sinon on pige plus rien dans la famille… Donc c’est des ours, en gros, enfin bref… Ils sont tous là et donc Petit Ourson il part avec sa troupe à la recherche du Vase Magique. Mais il le trouve pas, il le trouve pas parce qu’en fait pour la plupart d’entre eux c’est… c’est des nazes : ils sont hyper mous, ils sont bêtes, en plus y’en a qu’ont la trouille. Donc il décide de les faire bruler dans une grange pour s’en débarrasser… Donc la fée revient pour lui dire : « Attention petit ourson, il faut être gentil avec ses amis de la forêt » quand même c’est vrai, et du coup Petit Ourson il lui met un taquet dans la tête à la fée, comme ça : « BAH ! ». Alors la fée elle est comme ça et elle s’en va… et voilà et en fait il trouve pas le vase. En fait il est… il trouve pas… et Petit Ourson il fait de la dépression et tout les jours il se demande s’il va se tuer ou… pas…

9.13 (553 votes)

Arthur : Mais c’est pas compliqué, bon Dieu ! Y a Calogrenant à droite, Léodagan à gauche, et nous on arrive par le milieu !
Lancelot : C’est bon jusque là ?
Perceval : Attendez, moi, si je me souviens bien du coin, il y a la rivière qui passe en travers !
Arthur : Ah, mais merde avec votre rivière !
Perceval : C’est un point de repère comme un autre !
Lancelot : Mais bon Dieu, il y a pas besoin de point de repère puisque les envahisseurs vont nous attaquer de face !
Perceval : De face, ça va ! C’est le reste qui va pas !
Arthur : Mais quoi, nom d’un chien !?
Perceval : Ben la gauche, la droite, là ! Moi j’aime pas ces trucs !
Lancelot : Mais qu’est ce que vous aimez pas ?
Perceval : Ces conneries de gauche et de droite ! Ça veut rien dire ces machins ! Selon comme on est tourné ça change tout !
Arthur : Mais qu’est ce que vous nous chantez ?
Perceval : Moi j’estime que quand on parle tactique militaire, il faut employer des termes précis !
Lancelot : Ben oui, effectivement, ça peut prêter à confusion…
Arthur : Non mais attendez, nous c’est pour vous qu’on dit gauche et droite ! C’est pour pas vous embrouiller !
Perceval : Si, ça m’embrouille !
Lancelot : Ah bon ? On peut parler normalement alors ?
Perceval : Professionnel !
Arthur : Bon, ben alors, OK, on reprend depuis le début ; donc, Calogrenant est posté depuis hier soir au Nord-Est de la zone d’attaque…
Lancelot : … Léodagan, Sud-Sud-Est, un peu plus en retrait avec ses cavaliers…
Perceval : Moi j’aime pas ces histoires de Sud-Est, Nord-Ouest, et tous ces machins !
Arthur : Quoi, qu’est ce qu’il y a qui va pas encore ?!
Perceval : C’est un coup à se planter ça ! De toutes façons, on dit le Nord ! Selon comme on est tourné ça change tout !

9.1 (178 votes)

- Et va falloir vous y faire parce qu’à partir de maintenant, on va s’appeler « Les Chevaliers de la Table Ronde » !
- Ben heureusement qu’on s’est pas fait construire un buffet à vaisselle !

9.02 (174 votes)

- Des chefs de guerre, y en a de toutes sortes : des bons, des mauvais. Des pleines cagettes, il y en a. Mais une fois de temps en temps, il en sort un exceptionnel. Un héro, une légende… Des chefs comme ça, il y en a presque jamais. Mais tu sais ce qu’ils ont tous en commun, tu sais ce que s’est leur pouvoir secret ?
- Non.
- Ils ne se battent que pour la dignité des faibles.

9.01 (71 votes)

- Mais je vous en prie, éclairez-moi de vos lumières, puisque vous êtes soudainement devenu un expert en beau langage…
- Pas besoin de devenir un expert, s’il vous plaît ! « Le vent, pareil à l’enfance, se joue de l’arbre moqueur… » ?
- Oui, et ben ?
- Eh ben c’est nul. Nul, nul, nul, zéro. « L’arbre moqueur », déjà ; ils peuvent pas s’empêcher de foutre des épithètes à tout ce qui bouge, ces poètes, même à ce qui bouge pas ! « La fleur goguenarde », « L’abeille malicieuse », « Le roseau pliable », « L’ourson rabat-joie ». Et même, des fois, ils le mettent avant le mot, comme ça, ça fait genre : « Le gai souriceau », « Le prompt madrigal », « La frisottée moustache ». [Il lève les yeux au ciel]
- Je trouve révoltant de votre part de mettre systématiquement tout en œuvre pour me décourager !
- Non, mais enfin vous allez pas me dire que c’est pas des conneries ! Est-ce que je vous dis, moi, « Passez-moi la blanche sauce » ? Non ! Est-ce que je vous dis : « Tiens c’est bon, ça, qu’est-ce qu’il y a dedans ? De la hachée viande et des secs raisins ? » ?
- Mais vous ne comprenez rien à rien… C’est une licence poétique !
- Non, non, non, non, je suis désolé, il y a trop de clampins qui se disent poètes qui sortent la licence poétique dès qu’ils pondent trois merdes que personne comprend !

8.96 (153 votes)

- Alors le chevalier il crie au romain : « Hey ! Vous vous prenez pour le Colisée ! »
- Oh la vache mais c’est nul !

8.87 (131 votes)

- De quoi je vous avais traité l’autre jour prés de la rivière ?
- D’un gros connard.
- Voilà, d’un gros connard, et vous êtes toujours là !

8.67 (95 votes)

Dieu ! Depuis qu’vous êtes arrivé - ça fait quoi, ça fait deux-trois ans à peu près, enfin j’veux dire deux-trois ans que le truc a bien pris, quoi, qu’les gens en parlent, tout ça - moi j’fais tout c’que j’peux pour mettre les gars au pas. La quête du Graal, le côté symbolique, la lumière, la salvation tout ça j’crois qu’c’est bien rentré. Parce que c’était pas gagné quand même. Moi les mectons d’la Table Ronde c’est pas des flèches, vous êtes au courant d’ça. Quand j’leur parle du Graal, eux ils cherchent un vase, et c’est marre. Si j’commence à m’lancer dans des explications comme quoi c’est pas l’objet qui est important mais le côté symbolique, le sang d’vot’fils, la vie éternelle alors là, les gars y me regardent avec des billes comme ça et puis y décrochent, ah hein, rideau ! Alors j’crois que c’qu’y s’rait pas mal, si on veut faire un peu avancer l’histoire, voyez, ça s’rait de faire péter un signe, mais un truc commak, hein. Parce que la Dame du Lac c’est bien gentil, mais euh, comme y a que moi qui peux la voir c’est pas très encourageant pour les autres. Non au contraire, quand y m’voient causer tout seul, y s’demandent si j’ai pas carrément tourné la carte. Alors voilà, faites c’que vous pouvez, quoi. J’compte sur vous. Donc euh… amen… enfin euh… deo gratias j’sais pu quoi… j’suis désolé j’ai pas eu le temps de potasser les formules.

8.41 (72 votes)

Arthur : Des pommes, toujours des pommes, c’est à se demander…
Léodagan : Il en tombe quinze à terre chaque fois que quelqu’un tousse.
Ygerne : Quel est ce culte étrange qu’aux pommiers vous vouez ?
Guethenoc : Mais, est-ce ma faute à moi, s’il n’y a que ça qui pousse ?

8.03 (66 votes)

- Qu’est ce que vous glandez là hein ?!
- Nan sir faites pas le con.
- Nan mais je fais pas le con ! Je dératise, je désinfecte !
- J’peux plus respirer.
- Ah c’est bien possible j’peux pas vous dire de là ou je suis j’me rend pas compte.
- Mais qu’est ce que j’ai fait ?!
- Qu’est ce que vous avez fait ? Bah c’est compliqué… Parce que surtout c’est un tout… Vous êtes né… déjà ! Alors ça c’est pas bien jojo ! Et puis moi c’est plus possible parce que ça fait 70 fois que j’vous dis d’vous barrer du château et vous êtes toujours là.
- Nan c’est pas vrai, c’est pas vrai des fois j’suis pas là.
- Mais quand j’vous vire d’une piaule vous aller dans une autre, quand j’vous vire de l’autre vous revenez dans la première et quand j’vous vire des deux vous trouvez le moyen de pirater un cagibis.

7.92 (38 votes)

Ah, le printemps ! La nature se réveille, les oiseaux reviennent, on crame des mecs.

7.87 (37 votes)

Arthur : Donc, voici une catapulte. Comme vous pouvez le constater, et à la différence de certaines autres armes de jet, celle ci est munie de roulettes, ce qui la classe dans la catégorie des armes []
Perceval : À ROULETTES ! Houlaa… Je l’ai un peut trop gueulé ça, non ? À roulettes.
Arthur : … La classe dans la catégorie des armes mobiles.
Perceval : À roulettes mobiles ?
Yvain : Mon oncle, doit-on en conclure que la catapulte n’appartient pas à la catégorie des armes de jet à roulettes fixes ?
Gauvain : Ouais, c’est comme le poney par rapport au cheval.
Yvain : Ah non attention non, là je suis pas sûr…
Perceval : Mais c’est de là que ça vient quand on dit euh « ça va comme sur des roulettes ». En fait ça veut dire que le mec il peut balancer un morceau de rocher comme une catapulte, et il continu quand même d’avancer de façon mobile.
Arthur : Le prochain qui l’ouvre, je l’envoie aux galères pendant trois ans. Sans déconner, je le fais.

7.87 (51 votes)

- En ce moment je m’endors tout le temps, je peux rien y faire et je fais des rêves. Je vais vous en raconter un. Je suis dans l’espace, avec un vieux… Je vous raconte pas ça au hasard. Quand je me suis réveillé j’ai tout de suite pensé à vous. L’espace… ça a toujours été votre truc ça l’espace. Et les vieux, y en a toujours dans vos histoires à vous. Bref, je flotte dans l’espace… avec les étoiles tout. Et y a un vieux à côté. Alors je sais si c’est moi vieux où euh… parce que les rêves c’est toujours le bordel pour ça. Et le vieux me fait : « Vous êtes prêt à voir le Graal ? » Alors moi je réponds : « Oui. » Alors on se dirige vers une… une grande boule, mais en fait c’est notre Terre à nous. Sauf qu’au lieu d’être bien plate, ben elle est en boule quoi ! Comme je disais les rêves c’est toujours le bordel. On descend, on descend. On atterrit sur un sentier, dans une forêt, sur le territoire du Seigneur Dagonet. Alors me demandez pas pourquoi. D’autant qu’il est même pas dans le rêve ce con-là mais, je sais pas comment vous dire, je sais qu’on est chez Dagonet. Le vieux se retourne et il me fait : « J’espère que vous avez pas peur de la marche. Parce que je vous préviens c’est pas la porte à côté. » Moi je lui réponds : « Je comprends pas pourquoi on n’a pas atterri directement plus près alors ? » Et il me répond pas il part devant. Je le suis. Je le suis, je le suis pis au bout d’un moment je me dis : « Merde… c’est le chemin de Kaamelott ici ! Oh », que je lui fais au vieux, « c’est pas le chemin de Kaamelott ça ? Si pourquoi ? Comment pourquoi », je lui fais, « le Graal il est pas à Kaamelott quand même ? Si », il me fait. Alors je m’arrête : « Vous vous foutez de moi ? » Il se retourne il me dit : « Vous voulez le voir le Graal où vous voulez pas le voir ? Bon bah bouclez-là et suivez. » Et il repart. Bon. On arrive à Kaamelott, la baraque vide. Pas un garde à l’entré, pas un loufiat dans les couloirs, on passe devant la salle de la Table Ronde, pas de Table Ronde, la pièce vide. On continue, on continue et on arrive devant la porte de ma salle de bain : « Voilà, ouvrez c’est la derrière. », « Mais… là derrière ou ça ? Dans la salle de bain ? », « Oui, dans la salle de bain. » Alors je le regarde, j’essaie de voir s’il est pas beurré ou quoi, pis je rentre. Là y a la baignoire vide… enfin vide… y’a de l’eau mais y’a personne dedans. Et y’a du sang partout. Partout, partout… Il me fait : « Voilà ! C’est le Graal ! », « Quoi quel Graal ? La salle de bain ? », « Non pas la salle de bain, la baignoire ! », « La baignoire c’est le Graal ? », « Ouais, c’est le récipient qui a reçu le sang du Christ. » Alors là dans le rêve je lui mets une tarte au vieux… mais la bonne tartine attention, avec la tête qui part sur le côté, les cheveux de travers tout. « Tu te payes ma gueule ? », que je lui fais. Pis là mon vieux c’est lui qui se retourne, qui vient, il me fout une avoine. J’ai l’impression que le plafond me tombe sur la gueule. Je me ressaisis. Et il me dit : « Qu’est-ce que c’est que quelqu’un qui souffre ? Et qui fait couler son sang par terre pour que tout le monde soit coupable ? Tous les suicidés sont le Christ. Toutes les baignoires sont le Graal. Et vous savez qu’on s’est toujours demandé si y avait pas une inscription gravée au fond du Graal ! Eh ben oui y’en a une. Allez voir. » qu’il me fait. Alors j’y vais. Et au fond de la baignoire y a marqué : « Vous m’avez bien cassé les couilles. » Et boum je me réveille.
- C’est vraiment chouette comme rêve. Moi l’autre nuit, j’ai rêvé que Karadoc avait des pinces.
- C’est à dire ?
- Comme un crabe.
- Ah. Et qu’est ce qu’il faisait avec ses pinces ?
- Il me pinçait le ménisque.
- Le ménisque ?
- Comparés aux vôtres, ils sont pourris mes rêves ou pas ?
- Les rêves, ça se compare pas.

7.74 (21 votes)

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