Kaakook

Personnage - Horace Slughorn

Horace Slughorn apparaît dans :


Répliques de Horace Slughorn (7)

Horace Slughorn : Comment avez vous fait pour la tuer ?
Hagrid : La tuer ? mais c’était mon meilleur ami !… Ah ne vous en faites pas, vous n’êtes pas seul. Ce sont des créatures incomprises les araignées. Les yeux je pense, il y a des gens que ça perturbe…
Harry : Sans parler des pinces… tchac, tachac…
Hagrid : … Oui, ça aussi sans doute…

9.13 (312 votes)

- Harry !!
- Monsieur !!

8.95 (276 votes)

Horace Slughorn : [Par rapport à la mort d’Aragog] Voulez-vous que je prononce quelques-mots ?
Hagrid : Oui !
Horace Slughorn : Il avait une famille, j’imagine ?
Harry : Oooh oui !

8.21 (29 votes)

- Harry ! Je me dois d’insister, retournez avec moi au château, immédiatement !
- Ah, ce serait contre-productif monsieur.
- Mais qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Aucune idée !

7.78 (17 votes)

- C’est une élève qui m’avait offert Francis. Un jour de printemps, j’ai trouvé un bocal sur mon bureau avec juste quelques centimètres d’eau dedans et flottant, à la surface, un pétale de fleur. Tandis que je le regardais, il s’est enfoncé. Juste avant qu’il ne touche le fond, il s’est transformé en un minuscule poisson. C’était de la belle magie, magnifique à voir. Ce pétale venait d’un lys ou d’une Lily, votre mère. Le jour où je suis descendu, où j’ai trouvé le bocal vide, c’était le jour où votre mère… je sais pourquoi vous êtes là, mais je ne peux rien pour vous. Cela causerait ma perte.
- Vous savez pourquoi j’ai survécu, monsieur ? La nuit où j’ai eu ça [Il montre sa cicatrice] ? Parce-qu’elle était là. Parce-qu’elle a donné sa vie pour me sauver. Parce-qu’elle a refusé de s’écarter. Parce-que son amour était plus fort que Voldemort.
- Pas ce nom s’il vous plaît !
- Je n’ai pas peur de ce nom, professeur. Je vais vous dire quelque-chose, quelque-chose que les autres n’ont fait que deviner. C’est vrai, je suis l’élu. Moi seul peut le détruire. Mais pour y arriver, j’ai besoin de savoir ce que Tom Jedusor vous a demandé il y a des années dans votre bureau et ce que vous lui avez dit. Soyez courageux, professeur ! Soyez courageux comme ma mère ! Sinon, vous ne lui faîtes pas honneur. Sinon, elle est morte pour rien. Sinon, le bocal restera vide à jamais.

7.78 (26 votes)

- J’étais dans la bibliothèque, l’autre soir. Dans la réserve, en fait. Et j’ai lu une chose assez étrange sur une forme de magie très rare. Ça s’appelle, si j’ai bien comprit, un horcruxe.
- Je vous demande pardon ?
- Un horcruxe. Je suis tombé sur ce mot dans un texte et je ne l’ai pas totalement comprit.
- Je ne sais pas ce que vous lisiez, Tom, mais c’est de la magie très noire. Vraiment très noire.
- C’est pourquoi c’est vous que je suis venu voir.
- Un horcruxe est un objet dans lequel une personne a caché une partie de son âme.
- Monsieur, je ne vois pas très bien comment ça fonctionne.
- On sépare son âme en deux, on cache une partie dans un objet. En faisant cela, on est protégé si on est attaqué et que son corps est détruit.
- Protégé ?
- La partie de l’âme qui est cachée continue de vivre. Autrement-dit, on ne peut pas mourir.
- Et comment fait-on pour séparer son âme en deux, monsieur ?
- Je pense que vous connaissez déjà la réponse, Tom.
- Un meurtre.
- Oui, tuer déchire votre âme. C’est un acte contre-nature.
- On ne peut diviser l’âme qu’une seule fois ? Par exemple, est-ce que sept…
- Sept fois ? Par la barbe de Merlin, c’est suffisamment horrible de penser qu’on peut tuer une seule personne ! Alors diviser son âme en sept morceaux ? Tout cela est purement théorique, n’est-ce pas, Tom ? Ce n’est qu’une hypothèse ?
- Bien-sûr, monsieur. Ce sera notre petit secret.

7.5 (18 votes)

- Par la barbe de Merlin, il s’agit d’une vraie acromantule ?
- D’une acromantule morte, monsieur…

7.2 (15 votes)

Haut de page