Personnage - le roi Leonidas

Vieux malade mystique.

- soldats, quelle est votre profession ?
- HAAOOOU HAAOOU HAAOOU !

Give them nothing, but take from them everything!

Toi là-bas. Puisses-tu vivre éternellement.

Du nerf soldats ! Empilez haut ces Perses ! Car à moins que je ne me trompe, une nuit de fureur nous attends…

Ne leur abandonnez rien ! Mais prenez tout à ses fils de chienne !

Une nouvelle ère est arrivée… une ère ou nous sommes libres. Et tous sauront que trois cents braves grecs ont rendu leur dernier soupir en la défendant !!

Ma Reine ! Ma Femme !… Mon Amour…

Leonidas : Soumission… ça me cause un tout petit problème. Il y a une rumeur qui veut que les Athéniens aient déjà refusé votre offre. Alors si une bande de philosophes qui aiment copuler avec des petits garçons ont été assez courageux pour le faire…
Theron : Nous devons faire preuve de diplomatie !
Leonidas : … Il est évident que les Spartiates, quant à leur réputation à préserver…
Un émissaire Perse : Attention aux mots que tu prononceras Léonidas, ils pourraient être tes derniers en tant que roi.

- Aucun homme, Perse ou Grec, aucun homme ne menace un messager !
- Tu apportes les couronnes et les crânes de rois vaincus dans ma cité de Spartes ! Tu insultes ma reine ! Tu menaces mon peuple de mort et d’esclavage ! J’ai choisi mes mots soigneusement, Perse ! Tu aurais dû en faire de même !
- C’est un blasphème ! C’est de la folie !
- De la folie ? NOUS SOMMES DES SPARTIATES !!

- Dilios, j’espère que cette éraflure ne t’a pas rendu inapte.
- Nullement, mon roi. C’est juste un œil. Les dieux ont jugé bon de m’en donner un deuxième.

- Un tremblement de terre !
- Non capitaine, ce sont les bataillons de l’armée Perse qui arrivent.

C’est ici que nous arrêtons les Perses, c’est ici que nous nous battons… et c’est ici qu’ils vont mourir !!

- J’ai vécu ma vie entière sans un regret jusqu’à aujourd’hui ! Ce n’est pas le fait que mon fils ait donné sa vie pour son pays, c’est le regret de ne lui avoir jamais dit à quel point je l’aimais ! Qu’il s’est tenu à mes côtés avec honneur, qu’il était ce qu’il avait de meilleur en moi !
- La perte de ton fils me brise le cœur.
- Le cœur ? Ce soir, le mien est plein de rage et de haine !

Un Spartiate ne bat jamais en retraite ! Un Spartiate n’accepte jamais de se rendre ! Cours en informer le monde.