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Personnage - Derek Vinyard

Derek Vinyard apparaît dans :


Répliques de Derek Vinyard (7)

- Qu’est ce que tu fais Derek voyons c’est ta famille !
- Ouais, c’est ma famille, c’est ma famille. Et tu sais quoi ? j’en ai vraiment rien à branler de toi, de ce que tu penses ou de qui que ce soit, tu ne fais pas partie de cette famille et t’en feras jamais partie.
- Mais ça n’a absolument rien avoir avec ça…
- Ah vraiment tu crois que j’ai pas vu ce que t’étais venu faire ici, tu crois que je vais rester assis en train de sourire pendant qu’un youpin essaie gentiment de se farcir ma mère ? T’y arriveras jamais Murray, tu peux aller te rhabiller, pas tant que je serais là, pas tant que je serais dans cette famille. Je découperai ton sale nez de juif shylop, et je te l’enfoncerai bien profond dans le cul avant que ça arrive. Ça vient ici pour empoisonner ma famille pendant le repas avec toutes sa juiverie et ses conneries libérales hippie pro nègre. Va te faire foutre ! Va te faire foutre ! C’est ça tire toi, connard, putain de cabaliste d’enculé de rabbin tu fous le camp de chez moi sale feuj. Tu vois ça [Il montre sa croix gammée sur son torse], ça veut dire t’es pas le bienvenu.

8.89 (207 votes)

Bon écoutez, il faut regarder la réalité en face : y’a plus de deux millions d’immigrés clandestins qui dorment peinard dans cet état ce soir. Cet état a dépensé trois milliards de dollars l’année dernière sur les fonds publiques pour ces gens qui n’ont absolument aucun droit d’être dans ce pays. Trois milliards de dollars ! Au moins 400 millions de dollars rien que pour foutre en prison toute une flopée d’immigrés, de criminels ! Qui sont seulement entrés dans ce pays parce que ces enfoirés de l’immigration ont décidé que c’était pas la peine de se fatiguer à filtrer tous les condamnés qui allaient en taule ! Tout le monde s’en fout, notre gouvernement n’en a rien à secouer… Notre politique des frontières c’est du flan… Et y’en a qui s’étonnent qu’au sud de la frontière ils continuent à se foutre de nous ? Qu’y se foutent de nos lois ! Chaque nuit c’est par milliers que ces parasites sont en train de pulluler à la frontière comme si on avait shooté dans une fourmilière ! [rires] Y’a pas de quoi rire ! C’est pas drôle ce qui est en train de se jouer ici ! J’vous parle de votre avenir et du mien ! Je vous parle d’honnêtes, d’authentiques travailleurs américains qui ne trouvent aucun travail et qui sont à la dérive parce que le gouvernement se préoccupe d’avantage des droits constitutionnels d’un ramassis d’individus même pas citoyens de ce pays ! Sur la statue de la liberté on lit « à moi les réprouvés, les affamés, les pauvres » Mais c’est les américains qui sont réprouvés, affamés et pauvres ! Et je dis tant que tout ça n’est pas réglé, il faut leur fermer le robinet ! Parce que c’est nous les perdants ! On perd notre droit à accomplir notre destinée… C’est notre liberté qu’on perd ! Pour qu’une bande d’enfoirés d’étrangers viennent parasiter et exploiter notre pays ! Et ce n’est pas quelque chose qui est en train de se passer loin d’ici nan ! C’est pas en train de se passer dans un endroit où nous ne pouvons rien ! Ça se passe chez nous ici ! En plein dans notre quartier juste dans le bâtiment derrière vous ! Archie Miller tenait cette épicerie quand on était encore gosses. Dave y a travaillé, Mike y a travaillé. Il a coulé et un enfoiré de coréen a tout racheté et il a viré tous nos gars ! Et il a fait un carton parce qu’il a engagé quarante enfoirés d’immigrés clandestins ! Chaque jour on s’enfonce un peu plus dans la merde et personne ne fait rien pour empêcher ça et ça commence sérieusement à me gonfler ! Alors regardez autour de vous… C’est plus notre quartier c’est un champs de bataille ! On est au cœur d’un champ de bataille ce soir ! Décidez-vous ! Vous allez rester à glander sur la ligne de touche ? Sagement à attendre en regardant notre patrie se faire violer ? Est-ce qu’on va relever le défi et se décider à agir ? Alors en avant c’est parti !

8.87 (105 votes)

Derek Vinyard : Tout ça, c’est typique.
Le journaliste : Comment ça, typique ?
Derek Vinyard : Ce pays est en train de devenir un refuge pour les criminels. Alors, faut pas s’étonner… Je veux dire que les honnêtes travailleurs comme mon père se font tous éliminer par des parasites sociaux…
Le journaliste : Des parasites ?
Derek Vinyard : Les noirs, les basanés, les jaunes, enfin tout ça quoi…
Le journaliste : Je ne comprends pas, tu dis que le meurtre est d’origine raciste ?
Derek Vinyard : Bien sûr, tous les problèmes de ce pays sont d’origine raciste. Pas seulement les meurtres : l’immigration, le sida, les dépenses sociales sont des problèmes de la communauté noire, hispanique, asiatique. C’est pas un problème blanc.
Le journaliste : Ce n’est pas quelque chose qui a un rapport avec la pauvreté ?
Derek Vinyard : Non ! Ils ne sont pas le produit de la société. C’est des conneries tout ça ! Les minorités en ont rien à foutre de ce pays. Ils s’amènent ici pour l’exploiter et pas pour s’intégrer. Ils y a des milliers d’européens blancs qui sont venu ici et qui ont bien réussi en l’espace d’une génération alors pourquoi est-ce qu’on s’emmerde avec ces parasites qui viennent juste tirer… [Sanglots] sur des pompiers !
Le journaliste : Mais quel rapport cela a à voir avec le meurtre de ton père ?
Derek Vinyard : Parce que mon père s’est fait buter en faisant son travail pour éteindre un incendie dans leur putain de quartier de nègre. Il aurait dû s’en foutre, qu’est ce qu’il en avait à branler !
Doris Vinyard : Allez, ça suffit…
Derek Vinyard : Il s’est fait sûrement allonger par un enculé de dealer qui continue a toucher ses allocations.

8.65 (153 votes)

Mets ta bouche sur le bord du trottoir…

6.67 (5 votes)

- Il y a une époque où j’en voulais à la terre entière où j’avais la haine pour toutes les misères, les vexations, les souffrances que j’endurais continuellement, que je voyais infligé à mon peuple. J’en voulais à tout le monde, j’en voulais aux blancs, j’en voulais à la société, j’en voulais à Dieu. Mais je n’avais aucune réponse parce que je posais les mauvaises questions. Tu dois te poser les bonnes questions.
- Comme quoi ?
- Est-ce que ce que tu as fais t’a donné une vie meilleure ?
- Non.

5.45 (1 vote)

Écrase moi ce joint, c’est pour les nègres !

5 (2 votes)

Je ne vais pas te dire ce que tu dois faire, mais je veux que tu comprennes.

5 (0 vote)

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