Top - Citations de films de l'année 1960

Nous reviendrons ! Nous reviendrons et nous serons des millions !

- Tous les hommes perdent quelque chose en mourant et nous mourons tous mais un esclave et un homme libre ne perdent pas la même chose.
- Ils perdent la vie tous les deux.
- Lorsqu’un homme libre meurt, il perd les plaisirs de la vie. Un esclave, lui, perd sa misère. D’ailleurs, la mort est la seule liberté pour un esclave, c’est pourquoi il ne la craint pas. Et c’est pourquoi nous vaincrons.

Tel était donc le destin des Elois. Être élevés comme du bétail par les Morlocks qui avaient dégénéré jusqu’à l’ultime bassesse humaine : le cannibalisme !

Ne comptez pas me voir entrer en transe parce que la vie d’un enfant juif est en jeu, et vous, pas de crise de nerfs surtout. Vous êtes en retard, en retard d’une dizaine d’années. Environ deux millions d’enfants juifs ont été à l’abattoir comme des bêtes parce que personne n’en voulait. Aucun pays ne voulait d’eux, ni le vôtre, ni aucun autre. Et personne ne veut non plus des survivants. La viande juive n’est pas chère, elle l’est moins que le boeuf, elle l’est même moins que le hareng !

Merci mes amis d’être sortis pour nous accueillir. Merci de nous laisser voir vos superbes visages. Merci, tas de poulets ! À vous voir courir, on dirait des poulets !

- Tu n’arrives pas à t’enlaidir même par jeu.
- Étranger, tu sais dire des mots qui plaisent aux femmes.

- La vie, bah mon vieux, on peut dire qu’ elle a mis le paquet. La taule et la chtouille en même temps. C’est beaucoup pour un seul homme, moi j’vous le dis.
- Jamais de femme, petit, jamais de femme. C’est ça le secret.
- À chacun ses goûts, hein l’infirmier.
- Jamais d’homme non plus.
- Il est bath lui, alors tu te débrouilles tout seul ?
- Dis donc mon frère, tu veux une baffe ?

- Une Romaine qui sauve un Carthaginois ?
- Non, une femme qui sauve un homme !

- Qu’y a t-il à vendre de beau là-haut ?
- Des broches fort solides pour rôtir les hommes gras à souhaits !
- Tu es un niais, mais as-tu des amphores ?
- Oui, mais pleines de serpents ! Si tu veux les amphores, tu prends les serpents. Si tu veux des serpents, achète des amphores, je les vends sans les séparer, héhéhé !
- Ah, va-t’en aux enfers !

- C’était Hiram ?
- Hiram ? Quel est cet Hiram ? Un homme ou une bête ? Il a dû passer sous la porte, sans aucun doute !

Tu viens d’accomplir un geste généreux. Un geste généreux. L’unique de toute ta vie, grâce aux dieux.

Regarde ! Ils veulent nous empêcher de passer ! Prends la hache et montons au mât !

Allez dire au chef des rameurs qui si nous n’atteignons pas l’Emolia, il sera fouetté jusqu’au sang !

Faut ralentir et se préparer au combat. Allez va, Hiram ! Faut pas fatiguer les hommes ! Allons !

Phégor : [À un officier] Parez à l’abordage ! Faut absolument les dépasser puis virer et les couper en deux !
Hiram : [À Sidon] Quelle manœuvre font-ils ?
Sidon : [À Hiram] Oui, j’m’attendais à ça, ils veulent nous couper en deux !

- Est-ce vrai que de nouvelles légions ont débarqué, semant partout la mort ?
- Oui, oui, elles se dirigent vers la citadelle de Byrsa !

Je dois vous dire que le situation, quoique dramatique, n’est pas désespérée !

Pour Carthage, en avant !

- Hasdrubal a été battu. La cavalerie sous la Byrsa était commandée par Scipion en personne.
- La citadelle a-t’elle été envahie ?
- Non, ils se sont retirés sans doute pour demander du renfort et revenir à l’attaque.
- Et Hasdrubal ?
- Il s’est réfugié dans le temple avec le peuple, tous les blessés et sa famille.

Phégor ! Tu es prisonnier, tu vas mourir ! Je te hais toujours, Phégor ! Je veux te dire une dernière fois qu’Hiram a été mon seul amour, mon seul amour, mon seul amour ! Tu mourras avec moi, Phégor ! Tu mourras avec moi, Phégor !