Top - Citations de films de l'année 1960

Phégor ! Tu es prisonnier, tu vas mourir ! Je te hais toujours, Phégor ! Je veux te dire une dernière fois qu’Hiram a été mon seul amour, mon seul amour, mon seul amour ! Tu mourras avec moi, Phégor ! Tu mourras avec moi, Phégor !

Rome refuse de traiter, ignorant aujourd’hui son pacte et ses promesses. Elle exige l’abandon et aussi la destruction de notre grande cité. Carthage, ne cessent de dire les Romains, devra être reconstruite à l’intérieur des terres, à quinze miles de la mer. Ce sont des conditions que tout peuple qui est conscient de sa dignité et de son honneur repousserait, dut-il y perdre sa vie.

Il faut tuer mes fils, je ne veux pas qu’ils deviennent esclaves des Romains !

Je veux montrer aux Romains, au moment crucial, comment sait mourir une Carthaginoise lorsqu’elle a perdu tout espoir !

- Je ne veux pas partir, on n’a rien à craindre, le Conseil l’a dit !
- Le Conseil parle à tort et à travers. Mon père nous a dit que cette nuit, une patrouille a attaqué nos sentinelles sur les remparts du port.
- Ton père raconte des histoires. Je crois ce qu’a dit le Conseil, jamais ils n’oseront attaquer Carthage, jamais ! Moi, je ne bouge pas !

Tu es un traître ! Tu dérobes l’argent de la république !

Ton héros est sain et sauf !

Je t’aime, Spartacus, je t’aime ! Interdis-moi de te quitter jamais !

Dis donc, toi qui parle allemand, dis-lui donc merde !

Le temps change l’espace !

- Mais qu’est-ce que vous faites ? Pourquoi avez-vous mis la main dans le feu ?
- Je n’en avais jamais vu.

H. George Wells : Quel genre de gouvernement possédez-vous ?
Un Eloi : Nous n’avons pas de gouvernement.
H. George Wells : Oui mais, vous devez avoir un groupe de personnes qui… qui fait respecter les lois ?
Un autre Eloi : Les lois ? Il n’y a aucune loi.
H. George Wells : Votre nourriture et vos vêtements ? Est-ce que personne ne travaille ?
Un Eloi : Non.
H. George Wells : Mais alors, d’où vient tout ceci ?
Un autre Eloi : Ça pousse. Y’en a toujours.

- Écoutez. Weena, vous entendez ça ?
- Oui.
- Des machines !
- Non, les Morlocks !

La guerre entre l’Est et l’Ouest qui était entrée dans sa 326ème année est enfin terminée. Il ne reste plus rien qui puisse servir à tuer et presque personne pour se battre. L’atmosphère est tellement polluée de germes mortels qu’il est devenu impossible de la purifier. Il n’est pas un coin de la planète qui soit à l’abri. La dernière usine qui fabriquait encore de l’oxygène vient d’être atomisée. Les stocks diminuent à vue d’œil. Lorsqu’ils seront épuisés, nous mourrons.

- Qui êtes-vous monsieur ?
- Je ne suis qu’un étranger qui a connu votre père.
- Est-ce que vous venez du front ?
- Du front ? Quel front ?
- Mais, nous sommes en guerre, monsieur…
- Quelle guerre ?
- C’est incroyable ! Est-ce que vous ignorez que nous sommes en guerre avec l’Allemagne depuis 1914 ?

Sauve-le, Phégor ! Je suis là, je t’appartiendrai. Tu as ma promesse. Sauve-le, je t’en prie !

Tu es moins bête que j’croyais. Tu es même peut-être intelligent. C’est dangereux pour un esclave.

Deux intellectuels assis vont moins loin qu’un con qui marche.

Voilà l’Élu du Seigneur !

Samuel est mort. Israël le pleure. Il est maintenant enseveli à Rabbah, sa ville natale. Et les maudits Philistins se préparent à l’attaque en grande hâte. Ils sont une multitude. David, je les crains. Et mon âme est troublée devant ce péril redoutable. Mais Dieu ne m’a pas éclairé. Il n’a répondu ni par ses prophètes ni par le truchement d’un songe. Et pourtant le cruel Ashrod n’hésitera pas à faire la guerre. Au milieu de ses hommes se trouve un géant nommé Goliath. Goliath de Gath. Un monstre sans âme doué d’une force prodigieuse. Sa taille fait plus de six coudées et un empan et il porte une armure de bronze. Une armure qui pèse à ce qu’on dit cinq mille sicles d’airain. Le bois de sa terrible lance est comme une ensouple de tisserand. Et la pointe de cette lance gigantesque pèse six cents sicles de fer.