Top - Citations de films de l'année 1962

C’est pas l’alcool qui me manque, c’est l’ivresse !

Si je buvais moins, je serais un autre homme, et j’y tiens pas !

Arrière les Esquimaux ! Je rentre seul. Un matador rentre toujours seul ! Plus il est grand, plus il est seul. Je vous laisse à vos banquises, à vos igloos, à vos pingouins. ¡ Por favor Señora ! À quelle heure le train pour Madrid ?

- Oh oui. Dallas, pour demain, ne mettez surtout pas la chemise rouge que vous portiez à votre arrivée.
- Pourquoi ?
- Je ne crois pas, quoiqu’on en dise que les animaux soient daltoniens.
- Un jour un taureau m’a couru après.
- Ah oui ? Vous ne croyez pas que c’était le contraire ?

Vous vous en souviendrez, vous vous rappellerez chaque petit détail, car nous sommes à la veille du jour dont on parlera longtemps encore après que nous ayons nous même disparu.

C’est bon la goutte !

Tuer les gens sans raison, c’est une mauvaise habitude. Vous êtes un sabre sans fourreau… Certes, vous maniez très bien l’épée, mais les meilleures épées doivent rester dans leur fourreau.

This is the West, sir, when the legend becomes fact, you print the legend.

Quand on a un enfant, y a des choses qu’on a pas le droit de faire !

Il n’y a pas de bonnes habitudes. L’habitude, c’est une façon de mourir sur place…

Tu m’emmerdes gentiment, affectueusement, avec amour… mais tu m’emmerdes !

- À partir de maintenant on ne paye plus, on ne connait plus, on ne salut plus…
- On méprise !! [Il claque la porte et fait tomber le panneau « picon »]

Attention aux roches, et surtout, attention aux mirages ! Le Yang-tsé-Kiang n’est pas un fleuve, c’est une avenue. Une avenue de 5000 km qui dégringole du Tibet pour finir dans la mer Jaune, avec des jonques et puis des sampans de chaque côté. Puis au milieu, il y a des… des tourbillons d’îles flottantes avec des orchidées hautes comme des arbres. Le Yang-tsé-Kiang, camarade, c’est des millions de mètres cubes d’or et de fleurs qui descendent vers Nankin, puis avec tout le long des villes ponton où on peut tout acheter, l’alcool de riz, les religions… les garces et l’opium…

Sous prétexte de nous empêcher de boire, elles ne pensent qu’à nous mettre en bouteille.

Oh ! Là là ! Le véhicule, je le connais : je l’ai déjà pris. Et ce n’était pas un train de banlieue, vous pouvez me croire. M. Fouquet, moi aussi, il m’est arrivé de boire. Et ça m’envoyait un peu plus loin que l’Espagne. Le Yang-tsé-Kiang, vous en avez entendu parler du Yang-tsé-Kiang ? Cela tient de la place dans une chambre, moi je vous le dis…

Je crains malheureusement qu’on ne s’attache pas à une femme avec des vertus culinaires. Avec des vertus d’aucune sorte d’ailleurs.

- Nous vous attendions depuis 30 ans.
- Qui ça ?
- Lui et moi (le pull).
- Vous ne croyez pas si bien dire, il a appartenu à une naine, Pouppy Schneider…
- … des choses insoupçonnables !

Le Picon-bière, ça pardonne pas. C’est de ça que mon pauvre papa est mort. Il n’y a rien de plus traître !

- En Chine, quand les grands froids arrivent, dans toutes les rues des villes, on trouve des tas de petits singes égarés sans père ni mère. On sait pas s’ils sont venus là par curiosité ou bien par peur de l’hiver, mais comme tous les gens là-bas croient que même les singes ont une âme, ils donnent tout ce qu’ils ont pour qu’on les ramène dans leur forêt, pour qu’ils trouvent leurs habitudes, leurs amis. C’est pour ça qu’on trouve des trains pleins de petits singes qui remontent vers la jungle.
- Dis p’pa, tu crois qu’il en a vu des singes en hiver ?
- Je pense qu’il en a vu au moins un.

Que ce soit la révolution ou la paella, dis-toi bien que rien de ce qui est espagnol n’est simple.