Top - Citations de films de l'année 1965

Ah bah maintenant, elle va marcher beaucoup moins bien forcément !

- Le monde est petit.
- Oui, il est également mauvais… Ça na te tente pas de frotter une allumette aujourd’hui ?
- Moi habituellement je ne fume qu’après les repas, pourquoi ne viendrais-tu pas dans dix minutes ?
- Dans dix minutes amigo tu fumeras dans le fond de l’enfer ! Allez debout !

Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire ! Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire ! Qu’est ce que je peux faire ? J’sais pas quoi faire !

Après tout, je suis idiot, moi. Merde, merde !

Il y avait la civilisation athénienne, il y a eu la renaissance, et maintenant on entre dans la civilisation du cul.

Ta gueule, écrase et barre-toi !

- Méfiez-vous des apparences et contrôlez toujours qui est qui.
- Qui est qui ?
- Oui, enfin, contrôlez qui est qui. Qui est qui !
- Quoi, qui est qui ?
- Ben quoi, qui est qui ? Qui est qui, quoi !

- Un poète qui s’appelle revolver…
- Robert Browning.
- Pour échapper.
- Jamais.
- Bien aimé.
- Tant que je serais moi.
- Et que tu seras toi.
- Aussi longtemps que nous vivrons tous les deux.
- Moi qui t’aime.
- Et toi qui me repousses.
- Tant que l’un voudra fuir.
- Cela ressemble trop à la fatalité.

- Pourquoi ce chantage ? Pourquoi tout ce mal ?
- Où est le mal ? Où est le bien ? Pour moi, le bien, c’est ce que je veux, ce que je désire…

Les hommes bons, ils peuvent crever !

Toi, ma petite, tu es une putain !

Je n’aime pas ce que tu dis mais c’est insuffisant pour essayer de te tuer.

Non, toi pas été en Russie. Tu connais rien de Russie. Nous si. Tant pis, nous retourner. Nous avoir rêvé toutes ces belles journées. Avec beaucoup braves gens. Tous nos projets, adieu. Aller à Gênes ou chez ton ami, ton prêtre important. Travailler et nous gagner argent pour embarquer, et plus rien. Trop beau. Rêve évanoui. Retourner là-bas nous. Manger chauve-souris et rat rôti.

Adaptez-vous, et vite !

Tu disais pourtant tout à l’heure : « ces deux types, au lieu de les avoir derrière moi, j’aimerais les avoir devant, à l’horizontal et complètement refroidis. »

Ils sont prêts à mourir pour vous, qu’est-ce que vous voulez de plus ?

Alors, quand est-ce qu’on va se battre ?

- Pourquoi est-ce que j’irais te buter ?
- Parce que tu es un carnassier, un sauvage, un vindicatif, un haineux.

Messieurs, à la veille d’une grande bataille, Jules César a dit : « Je brûlerais mon manteau si mon manteau connaissait mon plan ». Suivons l’exemple de Jules César…

Tu es né esclave et tu mourras esclave !