Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1965

Ton ventre est un cimetière.

#61
5.71 (4 votes)

Je te crois menteuse.

#62
5.71 (4 votes)

Y a des jours comme ça, on rencontre que des abrutis. Alors, on commence à se regarder soi-même dans une glace et à douter de soi.

#63
5.33 (5 votes)

- Toutes les filles barbotent dans l’eau. Vous, vous nagez comme un homme.
- Vous aussi !
- Mais moi j’ai ce qu’il faut pour ça.

#64 5.26 (28 votes)

- Et notre association ?
- Hum… une autre fois !

#65
5 (0 vote)

- Fougasse, venez voir.
- Oui, chef ?
- Je vous hais !
- Oui, chef !
- Mais vous ne le dites à personne.
- Non, non, chef.
- Merci vous êtes gentil.

#66
5 (0 vote)

Vous êtes une bande de cocus, vous l’avez toujours été d’ailleurs et puis vous le serez encore ! Sans le savoir, bien sûr, comme tout le monde. Vous avez payé la taille et la gabelle, les impôts du clergé ; maintenant, c’est la surtaxe progressive et le tiers provisionnel ! Et puis la vignette, la vignette pour un an pour les petits vieux. Vous avez été faire la guerre de Cent ans, les guerres de religion ; vous avez endossé la cuirasse pour prendre Jérusalem ; vous vous êtes saignés pour les fourriers de l’Empire ; on vous a filé des bandes molletières à Verdun, vous les aviez encore à Dunkerque et ça fait deux mille ans que ça dure, bande de patates ! Non, croyez un homme qui a fait ses Humanités, un homme qui parle le grec et le latin, vous êtes tous des cons. Moi aussi, d’ailleurs.

#67
5 (0 vote)

- Écoute-moi, vieux fourneau. Ta gueule bouffie, ici, on n’en veut plus. Tu marines dans le pinard comme des cerises dans l’eau-de-vie. Ton sang a plus de globule. C’est du 11,5°. Tu causes pas, tu dégueules.
- Tu vas te taire ? La grande injure, c’est un art. Et pour ça, t’es trop bête. Note bien, t’as des excuses. Tu fais le dernier des métiers et ta mère était le plus beau cas de vérole tertiaire du département. Quant à ton père qui t’a même pas reconnu, je me suis laissé dire qu’il avait fini à Cayenne. Ça te fait un drôle de pedigree, hein ?!

#68
5 (0 vote)

- Alors, toujours fâché avec le bon Dieu ?
- Oh ! Pour croire en Dieu, curé, il faut croire aux hommes. Et quand vous me parlez de la charité des hommes, moi ça me fout le voile rouge. Je préfère mes chiens. Pourriez-vous me dire pourquoi vous parlez toujours de paix quand on nous prépare la grosse bombe pour Noël ? Parce qu’ils la veulent tous, la grosse bombe. Y compris ceux qui vont à la messe, les bien-pensants. Moi, je vais vous dire : dans la crèche, je vois les trente-cinq millions de morts de la dernière guerre et les deux-cent millions de la prochaine. C’est pas une colombe blanche qui est sortie de l’Arche, c’est un vol de corbeau.
- Vous n’êtes pas optimiste, mon fils.
- Primo, je ne suis pas votre fils, mon père. Et secundo, un optimiste, c’est un homme sans imagination. Or moi, j’en ai de l’imagination, surtout quand je suis rond comme aujourd’hui.
- Mais oui, mon cher Brassac, l’alcool développe beaucoup l’inquiétude métaphysique, comme dirait Daniel-Rops. Encore quelques bonnes cuites et vous croirez en Dieu. Pour moi, c’est déjà fait, alors je vais m’arrêter là.

#69
5 (0 vote)

James Bond, l’homme qui n’a qu’à faire l’amour à une femme pour qu’elle entende chanter tout à coup le chœur des anges. Elle se repend et sans plus attendre elle revient sur la route du bien et de la vertu.

#70 4.55 (1 vote)

- Vous dansez bien… Mais ce n’est pas ça qui me plait à vous.
- Qu’est-ce que ça peut bien être ? Pas mes cheveux, non ?
- Devinez…
- Mes yeux, peut-être… Ma mère les trouve beaux… mais c’est ma mère.
- Ce n’est pas physique…
- Mon intelligence, peut-être… Mon père me trouve très intelligent… mais c’est mon père.
- Ce qui me plaît à vous, c’est votre simplicité…
- Ben, il manquerait plus ça, que je ne sois pas simple…

#71
3.75 (6 votes)

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