Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1967

- Il m’a parlé le cheval, hein ! Vous savez qu’il m’a parlé !
- Mais oui, mais oui ! Reposez-vous !
- Au fait, où est-il ?
- Qui donc ?
- Le cheval !
- Oh ! On est en train de l’interroger.

#1 7.5 (22 votes)

- Nous avons essayé de trouver un mot de passe que vous ne risquez pas d’oublier.
- Ah oui ?
- C’est : « je vous adore ». Répétez-le bien pour vous en rappeler.
- Soyez sans crainte, je m’en rappellerai.

#2 7.33 (20 votes)

- Y a un pendu dans ma chambre !
- Dans ma chambre ?
- Non, dans la mienne !
- Dans la mienne ? Ah, quelle horreur !

#3 7.22 (8 votes)

On m’a dépendu mon pendu ! Il était pendu là ! Il s’est pas dépendu tout seul !

#4 7.22 (8 votes)

Nos anciennes batailles sont finies. Elles sont finies tu entends ? Des trains, de l’acier, des canons qui tuent les hommes pas milliers. C’est fini les chevaux. C’est terminé. De l’acier, rien que de l’acier. Y’a plus de guerriers. Les combats héroïques, c’est le passé. Aujourd’hui, tout ça, c’est terminé !

#5
7.22 (8 votes)

Oh, y’a c’qui y’a !

#6
7.22 (8 votes)

Il ne faut pas que tu m’en veuilles
Où je vais me mettre à pleurer
Mon maquillage va couler
Et j’ai déjà la larme à l’œil !

#7
7.06 (7 votes)

Dans votre belle société, je mets les truands et les privilégiés dans le même sac. Et dans toute société qui se respecte, chacun doit payer ses impôts !

#8 7.06 (7 votes)

Après tout, faites ce que vous voulez avec moi !

#9
7.06 (7 votes)

- L’un d’eux a commis un meurtre.
- Un seulement ? Mais le meurtre est l’occupation de tous les généraux.
- Alors disons que ce qui est admirable sur une grande échelle est monstrueux sur une petite. Comme il faut que les meurtriers de masse soient décorés, essayons d’appliquer la justice aux petits entrepreneurs.
- Très joliment dit !

#10
7.06 (7 votes)

- [découvrant un portrait au mur] Mais c’est moi !
- Oui ma vie… Tu ne m’avais pas dit que tu posais pour les militaires !
- Les militaires ? Qu’est ce que c’est que cette histoire ? Qui a fait ce portrait ?
- Je viens de te le dire : un militaire ! Il se dit peintre et poète, tu vois le genre… Tu le connais ?
- C’est troublant cette ressemblance, tu ne trouves pas ?
- Simple coïncidence !
- Mais c’est tout à fait moi !
- Pas du tout : c’est platement figuratif. Toi tu es spirituelle mon âme !… non, c’est un portrait sans valeur, une œuvre d’imagination. Et il l’appelle « idéal féminin » en toute simplicité !
- « idéal féminin »… Comme ce type doit m’aimer puisqu’il m’a inventée ! Comment est-il ?
- Lui ? Fade, insignifiant… Ce n’est absolument pas le genre de type qu’il te faut !

#11
6.88 (6 votes)

Bill : Elles n’en foutent pas lourd !
Yvonne Garnier : Vous n’êtes pas très galants avec vos dames…
Etienne : Ce ne sont pas nos dames. Enfin, presque pas…
Yvonne Garnier : Ce sont des artistes ?
Etienne : La petite blonde fait le numéro du chabavanais indien, et la rousse le numéro du chabavanais chinois.
Bill : … C’est plus difficile !
Yvonne Garnier : [D’un ton pas convaincant] Hum… c’est intéressant…

#12
6.67 (5 votes)

- On m’avait dit que vous aviez été assassiné à Hong-Kong.
- Oui, c’est ma seconde vie.
- On ne vit que deux fois, monsieur Bond.

#13 6.54 (16 votes)

Je vais en perm’à Nantes !

#14
6.49 (27 votes)

Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot. C’est te dire si, dans ma vie, j’en ai entendu des conneries. Mais des comme ça, jamais !

#15
6.43 (4 votes)

- Qu’est ce qu’on prend pour se réveiller quand on rêve qu’on ne dort pas ?
- Je sais pas…
- Un somnifère monsieur le commissaire.

#16 6.3 (17 votes)

Ce que je ne ferais pas pour l’Angleterre…

#17 6.25 (14 votes)

Les tourmenteurs d’anciens, je les étrille, je les pilonne, je les émascule.

#18
6.15 (3 votes)

- Nous fûmes toutes deux élevées par maman,
qui pour nous se priva, travailla vaillamment.
- Elle voulait de nous faire des érudites
et pour cela vendit toute sa vie des frites !

#19
6 (5 votes)

Madame Robinson, ne seriez-vous pas en train de me séduire ?

#20
6 (5 votes)

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