Top - Citations de films de l'année 1979

- Je ne vous met pas mon point sur la gueule, je pense que ce n’est pas nécessaire ?
- N…n…non.

- Mais t’en as pas marre qu’on s’intéresse à toi que pour ton fric ?
- Tu sais mon fric j’me suis donné du mal pour le gagner. Moi ce que j’trouve humiliant, c’est d’être aimé pour ce qu’on est, quand on est beau ou intelligent… on n’a pas de mérite ; on n’y est pour rien ; tandis que mon fric j’me l’suis gagné tout seul, parce que j’l’ai décidé !
- Tu veux que j’te dise François, des fois t’es un vrai philosophe !

I love the smell of napalm in the morning.

J’ai pas touché la porte je l’ai ripée. On ne parle pas de ce qu’on ne connait pas. Mais qu’elle est conne aussi celle là !

- Bah écoutez j’suis pas fou, tenez, y a écrit Saint-Lazare. C’est mes yeux ou quoi ?
- J’crois que ça doit être vos yeux.
- Ah ouais, c’est mes yeux, ouais.

- Bah dis donc ça c’est pas de la baguette.
- C’est moi qui la fait.
- Eh bien félicitation, elles sont bien rondes vos miches !

On va tous crever là parce que t’es qu’un con et t’es cocu. T’es cocu et t’en redemande.

On ne dit jamais d’une nourriture qu’elle est bonne ! Quand elle est bonne, on en mange beaucoup. Quand on en mange beaucoup, on grossit. Quand on grossit, on n’est pas beau. Quand on n’est pas beau, on baise pas… Et quand on baise pas, on est con !

Le capitaine Dallas : Ils ont de l’acide moléculaire.
Brett : Ils doivent avoir ça à la place du sang.
Le capitaine Dallas : C’est un mécanisme de défense formidable. On n’ose pas les tuer !

- Y’en a bien pour 17 heures, dis-lui.
- Y’en a au moins pour 25 heures !

- Je n’ai pas confiance en lui.
- Moi, je n’ai confiance en personne.

Mais ce qui est fou c’est que tu ne puisses pas comprendre que ton pote ai pu faire une erreur en te chronométrant. Alors ça, ça te passe au dessus du cigare ! Mais tu ne peux pas faire moins de 40 secondes au slalom : t’es mauvais, t’es mauvais !!

- Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
- À ton avis…
- T’as pas d’argent ?
- Non.
- T’as pas de relations ?
- Non.
- Tu sais rien faire ?
- Presque rien.
- Alors, deviens conseiller !

- J’ai le sens des affaires, j’en suis sûr, je l’sais, c’est là, là, là…
- Qu’est-ce que c’est le sens des affaires ? Tu peux m’expliquer ?
- C’est… c’est un mystère !

- C’est qui, Mathivet ?
- C’est, c’est… Ses parents vendaient des légumes sous l’Occupation. Ils ont fait fortune.

- C’est une combine ?
- Non… J’connais pas c’mot-là !

Vous voyez, Julien, c’est une forêt. D’abord, nous coupons les arbres puis nous vendons la terre. Les gens en achètent beaucoup, surtout en Allemagne. Alors nous faisons un grand trou. Nous le louons à des usines pour y enfouir des déchets dangereux. Quand le trou est plein, nous recouvrons et par-dessus nous lotissons. C’est enfantin !

- Tu lui dis non ?
- Oui.

Et pour finir, je lègue à mon neveu Julien Pardot mon bureau en acajou avec mon fauteuil Voltaire, « L’histoire des Girondins » d’Alphonse de Lamartine dans la reliure en maroquin rouge et une somme de cent quatre vingt mille francs.

Mais c’est un coup énorme ! Mais nous avons tout à apprendre de cet homme-là ! Nous sommes des enfants, parfaitement, mais vous et moi. Génial, cet homme-là, absolument génial ! Il faisait des affaires même quand il était mort !