Top - Citations de films de l'année 1979

Plus de chatouilles, plus de papouilles !

Le monde entier va voir le grand Apollo Creed, vif comme l’éclair, un courant d’air, non plus de chatouilles plus de papouilles du concret ! Ça c’est un tueur…

Ouais la rencontre aura lieu au Spectrum Stadium de Philadelphie parce que je veux que sa ville natale me voie en train d’écraser ce tocard, je veux que sa ville, que l’Amérique toute entière et que le monde entier me voit écraser cet amateur au bout de deux rounds.

Parce que après ce combat, il n’aura plus qu’à donner son corps à la médecine ou plutôt ce qu’il en restera mais comptez sur moi pour qu’il en reste pas lourd.

Si tu arrives à attraper ce bestiaux alors je te le jure tu attrapes l’éclair.

Je me sens le dindon de la farce, ouais !

- J’ai réussi Mickey, je l’ai eu !
- Bravo, ça c’est de la vitesse !

Eh Balboa, tu as eu une chance inouïe, je te dis bien inouïe, car personne avant toi n’avait jamais réussi à tenir la distance face à moi, tu as eu une veine de cocu, tu me dois une revanche, je t’ai donné ta chance, ne te débine pas Balboa, je te prends quand tu veux et où tu veux et la prochaine fois, je te mettrai au tapis au deuxième round.

Oui bien sûr que j’ai gagné c’est vrai mais je ne l’ai pas battu.

Vos yeux sont merveilleux. Ils ont les reflets bleus des harengs du Mexique quand ils sont amoureux. Et je devine ici votre poitrine douce, plus ferme et plus sucrée que deux petits pamplemousses.

Je ne crois pas aux frasques extra-maritales. D’après moi, on devrait s’accoupler pour la vie. Comme les pigeons… ou les catholiques.

Je suppose qu’en faisant ce que vous avez fait, vous n’avez fait que précipiter la chose qui vous a poussé à le faire.

Warriors, come out to play!

Qui c’est celui là ? Al Capone ?

Au mois de Novembre, je t’abats !

Avant je croyais que, si je mourrais dans un endroit maudit, mon âme n’irait pas au paradis. Mais aujourd’hui, putain, elle peut aller où elle veut, pourvu que ce soit ailleurs qu’ici.

- Dans le cas d’un génocide, par exemple… Quand un tyran décide de tuer froidement cinq, six millions d’hommes, de femmes, d’enfants, il lui faut au moins un million de complices, de tueurs, d’exécuteurs. Comment arrive-t-il à se faire obéir ?
- En morcelant les responsabilités. Un tyran a besoin avant tout d’un état tyran alors il va recruter un million de petits tyrans fonctionnaires qui auront chacun une tâche banale à exécuter. Et chacun va exécuter cette tâche avec compétence, et sans remords, car personne ne se rendra compte qu’il est le millionième maillon de l’acte final. Les uns vont arrêter les victimes, ils n’auront commis que de simples arrestations, d’autres vont conduire ces victimes dans des camps, ils n’auront fait que leur métier de mécaniciens de locomotives, et l’administrateur du camp, en ouvrant ses portes, n’aura fait que son devoir de directeur de prison. Bien entendu, on utilise les individus les plus cruels dans la violence, mais à tous les maillons de la chaîne, on a rendu l’obéissance confortable.

C est le fils de Kane.

Assez goûtu. Ça a du retour.

- Mon Capitaine, vous donnez notre gazole pour une playmette du mois ?
- Non, la playmette de l’année mon vieux !
[Pendant ce temps, Chef, Lance et Clean s’empressent d’amener les bidons de gazoles à la tente des playboy]
- Mon capitaine, si ça chauffe de nouveau et qu’on tombe en panne de gazole, vous me direz si elles en valaient la peine…
- Le marché est pour nous tous, vous savez. Ça vous tente ?
- Y a même des petites doudous dans le tas ?