Série - Mentalist

Il y a : légal ou illégal ; heureux ou malheureux ; riche ou pauvre ; vivant ou mort. Mais le bien et le mal ça n’existe pas.

Vous avez raison j’ai oublié ce que c’était de se comporter comme un être humain normal. Je passe mon temps à élaborer des ruses, à mentir et à manipuler tout le monde pour éviter de faire face à mes sentiments. Et l’idée de me rapprocher à nouveau de quelqu’un me terrifie pour des raisons évidentes mais la vérité Teresa… la vérité c’est que je ne conçois pas me réveiller le matin en me disant que je vous verrai pas. La vérité c’est que… C’est que je vous aime.

Les femmes bordéliques sont douées au lit.

Vous parlez de vous-même à la troisième personne, Marc. Avouez quand même que c’est cucul la praline.

Sésame, ouvre-toi ! [La porte s’ouvre] Oups, c’était pas prévu ça !

- Hey ! Vous ne pouvez pas vous garer là !
- Mais si !… Regardez !

- Et toi, tu paierais pour coucher ?
- Non.
- Ouais, c’est vraiment trop bizarre.
- Non, c’est surtout trop cher.

- Onze ans dans une école catholique et je ne me suis jamais retrouvée dans le bureau du directeur.
- C’est parce que vous êtes une horrible petite fille modèle.
- Je ne dis pas que je n’ai jamais fait de bêtises. Je ne me suis juste jamais fait prendre.

- Où est Jane ?
- Il continue d’enquêter sur la plage…

- You’re right, I have forgotten how to act like a normal human being. And I play games, I lie and I trick people to avoid the truth of how I feel. And the idea of letting anyone close to me is terrifying for obvious reasons. The truth, Teresa, is that… I can’t imagine waking up knowing that I won’t see you. The truth is… I love you.
- It’s too late.

It’s better to regret something you did that something you didn’t.

- M. Jane, vous dépassez les bornes.
- C’est vous qui dépassez les bornes, c’est vous qui dépassez les bornes ! Ce procès dépasse les bornes !… Avouez que sur ce coup là, vous n’avez pas marché, vous avez couru !

- C’est un triangle dans un cercle.
- Non.
- [Surpris] Ah non ?
- Non, je voyais un octogone dans un rectangle.
- [Après l’avoir observée, il est sceptique] Menteuse.
- Bon d’accord, vous m’avez eu.

- Vous n’avez aucune raison d’avoir peur.
- C’est vrai, la voiture a des airbags.

Vous avez un gros problème. Vous savez lequel ? Vous prenez trop votre pied au boulot. Vous êtes une goule. Si le gore ça vous fait pas bander, moi je suis Britney Spears.

Le cœur a ses raisons que la raison ignore. On ne peut pas l’ignorer, il nous fait faire des bêtises.

C’est soit un menteur professionnel qui dit la vérité ou un homme honnête qui ment.

Patrick Jane : J’ai désormais accès à vos pensées les plus intimes.
Teresa Lisbon : Oui, c’est ça.
Patrick Jane : Sérieux.
Teresa Lisbon : Je pense quoi ?
Patrick Jane : Vous vous dites : « Heureusement que Jane fait l’idiot et qu’il ne sait pas lire dans mes pensées ».
Teresa Lisbon : [Prise au dépourvu] Non. En fait oui ! Mais pas pour les raisons que vous croyez.
Patrick Jane : Lesquelles ?
Teresa Lisbon : [Embarrassée] Peu importe.
[Rigsby arrive]
Patrick Jane : Vous rougissez !
[Lisbon est gênée]
Wayne Rigsby : C’est vrai, vous rougissez !

- Vous connaissez Miles Torson ?
- Non. C’est qui ?
- J’en sais rien.

- Je récapitule monsieur le roupilleur ?
- Christine Marley, assistante d’une sénatrice et supposée maîtresse du mari de la sénatrice en question.
- Excellent !
- Bah, je dois admettre que je m’entraîne à entendre et à assimiler les données pendant mon sommeil.
- Les autres vous l’ont dit.
- Vous avez deviné !