Série - Teen Wolf

Scott : Ee que je t’ai fait ça va te changer.
Stiles : À moins que ça ne te tue… j’aurais peut-être pas dû dire ça.
Liam Dunbar : Quoi ? [Il pleure]
Stiles : Est-ce qu’il pleure ?
Scott : Liam tu vas pas mourir.
Stiles : Peut-être pas.

On appelle ça le chagrin, je pense qu’il y a 2 milliards de chansons écrites sur le sujet.

- Tu veux danser ?
- Oublie.
- Laisse-moi essayer encore. Lydia… lève ton joli petit cul et viens danser avec moi.
- Tactique intéressante mais je vais rester sur le non.
- Quoi ? Lydia tu vas te lever. Tu vas danser avec moi. Je m’en fous complètement que t’aies embrassé mon meilleur pote, simplement pour des histoires de pouvoir. Je craque pour toi depuis l’école primaire et je sais que quelque part derrière cette apparence froide et insensible qu’il y a une vraie humanité. Et je suis persuadé que je suis le seul à savoir que t’es super intelligente, hein ! Je suis sûr qu’une fois que t’as fini de jouer les idiotes tu t’enfermes dans ta chambre et tu te mets à bosser sur un théorème de maths complètement dingue qui te fera gagner le prix Nobel.
- La médaille Fields.
- Quoi ?
- Il n’y a pas de prix Nobel pour les mathématiques, c’est la médaille Fields que je gagnerai.
- Yes !

- Retournez à l’école.
- En fait, nous ne pouvons pas. Boyl et moi sommes incroyablement malades.
- De quoi ? Dommages cérébraux ?
- J’ai une migraine et Boyl a… une diarrhée explosive.

- Son login, c’est « Allison » ?
- …
- Son mot de passe, c’est aussi « Allison » ?
- Vous le voulez toujours dans votre meute ?

- Vous saviez que pendant une noyade on retient notre respiration jusqu’à en perdre connaissance ? Ça s’appelle l’apnée volontaire. Ça veut dire que vous avez beau être terrorisé, votre instinct de survie est tellement fort que vous gardez la bouche fermée jusqu’à ce que vous ayez l’impression que votre tête va exploser. C’est quand vous laissez l’eau rentrer que vous arrêtez de souffrir, c’est là que la peur s’arrête et que tous devient paisible…
- Et si tu retiens ta respiration jusqu’au tout dernier moment qu’est ce qui se passerait si tu décidais de ne pas ouvrir la bouche ? De ne pas laisser entrer l’eau ?
- On est obligé de laisser entrer l’eau, c’est un réflexe…
- Mais si tu retiens ta respiration un peu plus longtemps jusqu’à ce que ce réflexe se déclenche ça peut te faire gagner du temps, ça peut être suffisant pour te permettre de remonter à la surface ou pour qu’on puisse de porter secours.
- Mais…
- Si c’est ta survie qui est en jeu peut être que ça vaut la peine de souffrir ?
- Mais qui vous dis que ça va s’arranger ? Qui vous dis que la souffrance ne va pas faire place à l’enfer ?
- Dans ce cas souviens-toi ce que Winston Churchill a dit un jour : « Si vous traversez l’enfer, continuez d’avancer ! ».

Seules trois choses ne peuvent être dissimulées : le soleil, la lune, la vérité. La vérité pour moi, est que nous, mon espèce, sommes de violentes créatures.

- Tu surveillais en dernier…
- Qu’est-ce que tu racontes ? Tu surveillais en dernier.
- Non, tu surveillais en dernier.
- Je surveillais peut-être en dernier.

Mais vous avez tous une batte de baseball dans cette famille ! Et déjà, est-ce que vous jouez au baseball ?

- T’es sûr de vouloir faire ça ?
- T’es le premier à te plaindre qu’il ne se passe jamais rien dans cette ville.
- Je voulais passer une bonne nuit avant l’entrainement de demain.
- Ouais, t’as raison parce que rester assis sur le banc de touche c’est épuisant.
- Nan, parce que cette année je vais être sélectionné. Je serais titulaire et je jouerais dans l’équipe.
- Ça c’est positif, tout le monde doit avoir un rêve… Même si y’a aucune chance qu’il se réalise.
- Juste par curiosité, quel moitié du corps on cherche ?
- … Euuumm… J’y avais même pas pensé.
- Et eu… Si le meurtrier de cette fille est toujours dans le coin, hein ?
- Eu… Ça non plus j’y avais pas pensé ?
- D’accord, c’est rassurant… De savoir que tu as tout prévu dans les moindres détails.

- Je sais que je suis sur la liste !
- Ouais, c’est vrai…
- Alors combien ?
- Quoi ?
- Combien je vaux ?
- Quatre… T’es sur que ça va ?
- Ouais ! Scott en vaut 25, Kira six, ils vont vous tuer bien avant moi !
- Il y a du progrès… je vous jure qu’il y a du progrès.

- N’hésitez pas à me dire en face ce que vous ressentez
- On t’aime pas. Ferme-la et aide-nous.
- Bien !

Un agent de police : On ne bouge plus !
Sherif Stilinski : C’est bon, on se calme, je connais ce petit voyou, il est à moi.
Stiles : [Stiles respire bruyamment] Salut papa, ça va ?
Sherif Stilinski : Si je comprends bien, t’écoutes tout les appels que je reçois ?
Stiles : Nan… J’écoute pas les plus chiants.
Sherif Stilinski : Et ou est ton complice habituel ?
Stiles : Qui ? Scott ? Il est chez lui, il voulait dormir, il a dit qu’il voulait être en forme pour la rentrée demain, y’a que moi… Dans les bois… Seul
Sherif Stilinski : Scott t’es là ? [Scott se planque derrière l’arbre] [En parlant à Stiles] Très bien jeune homme, je vais te raccompagner à ta voiture et ensuite toi et moi on va avoir une petit discussion sur ce qu’on appelle l’atteinte à la vie privée.

- Qu’est-ce que tu fais ?
- Je fais rien Danny ! Tu es simplement en train de rêver.
- Pourquoi est-ce-que tu fouilles dans mes affaires ?
- Oui, mais seulement dans le rêve OK ? Rêve ! Rêver !
- Pourquoi est-ce que je rêverais de toi en train de fouiller dans mes affaires ?
- Je ne sais pas, Danny, OK ? C’est TON rêve ! Prends-en les responsabilités ! Ferme-la et rendors-toi !

Si tu touches à un seul cheveux de cette parfaite crinière blond vénitien je t’arrache tous tes poils de loup-garou un par un et j’en fais un manteau de fourrure pour son anniversaire.

Pourquoi tu ne souris plus ? Quelqu’un pourrait tomber amoureux de ton sourire !

- Mais si il nous rattrape ?
- T’inquiète, j’ai un plan B.
- C’est quoi ?
- Tu pars d’un coté, moi je pars de l’autre et le premier qui se fait chopper, bah c’est dommage…

Si j’avais un pistolet et deux balles dedans, avec toi, Hitler et Ben Laden dans une pièce, je te tirerais deux fois dessus.

- Vous l’avez trouvé ? Elle va bien ? Lydia est vivante ?
- Oui… oui elle va bien… Heu j’y arrive pas… j’arrive pas à prendre ta douleur.
- C’est parce que j’ressens pas de douleur.
- Non…
- Faut pas t’en faire.
- Non Allison.
- C’est très bien comme ça… c’est très bien. Soit pas triste. C’est parfait Scott. Je suis dans les bras de mon premier amour. Tu es le premier que j’ai aimé comme ça et je t’aimerai toujours quoi qu’il arrive. Et je t’aime… je t’aime.
- Moi aussi.
- Scott. Scott McCall.
- Non s’il te plaît me fais pas ça. Allison je t’en supplie non !
- Il faut que tu le dises à mon père Scott. Il faut que tu le dises à mon père. Il faut que tu lui dises. Il, il faut…
- Noon…

- Allison ! Viens vite…
- Que se passe-t-il ?
- Rien je voulais juste te dire que Je t’aime.