Film - Kuroko’s Basket

Dans ce monde, seule la victoire prédomine. Les gagnants ont toujours raison et les perdants ont tort.

Mes ordres sont absolus.

Personne n’a le droit de s’opposer à moi, pas même mes propres parents.

J’ai toujours eu deux personnalités, l’une a simplement pris le dessus sur l’autre.

C’est quoi ces conneries, ils ont perdu l’envie de se battre ou quoi ? Tetsu, tu n’as pas l’habitude de raconter des histoires mais la réalité est bien là, je ne trouverai jamais d’adversaire à ma taille. Le seul qui puisse me battre, c’est moi-même.

J’ai toujours été une ombre qui fera briller sa lumière.

- Hé toi, tu ne m’as quand même pas oublié, j’espère ? J’avoue que je n’ai pas du tout apprécié ce que tu m’as fait l’autre jour. Je vais vous écraser Kise et toi.
- Bien sûr que je me souviens de toi Taiga Kagami mais il faut que je te prévienne d’une chose : je peux tolérer qu’un joueur de mon équipe peut s’adresser à moi sans baisser les yeux en revanche, je ne laisse jamais un adversaire me regarder de haut. À genoux insolent.
- Pourquoi il a fait ça ? Il n’a pas utilisé toutes ses forces.
- Quant à toi Tetsuya, si tu veux te mesurer à moi, prépare-toi à en baver car n’oublie pas que c’est moi qui ai fait révéler tes capacités hors-normes quand on était à Teiko.

Je joue toujours à fond, c’est tout.

Peu importe le club que je choisirai c’est moi le meilleur.

Si on admire une personne, on ne peut pas la surpasser.

Allez, Seirin ! On se bouge et on se bat jusqu’à la fin ! Battons-nous, Seirin !

Aimes-tu toujours le Basket ?

Je vais réfléchir mais à la base le volley-ball c’est pas trop mon truc.

Vivement qu’on gagne ce match pour que je puisse bouffer tranquillement.

On ne peut pas gagner avec une équipe qui ne tient pas la route.

- Nous allons les battre avec notre Basket.
- Tu as raison, devenons les numéro un du Japon.

Franchement mon petit Kuroko, tu aurais pu venir avec moi à Kaijo pourquoi tu as choisi ce bled pourri ?

Des filles ou des titres, je peux t’en céder autant que tu veux mais moi j’ai fait une promesse et je compte bien la tenir, c’est moi qui irait en demi-finale alors dégage de ma route !

Ta lumière est bien pâle comparée à la mienne.

Il n’y a pas de honte à tomber, la vraie honte c’est de ne pas se relever.