Film - Kuroko’s Basket

Vivement qu’on gagne ce match pour que je puisse bouffer tranquillement.

Non, je n’ai pas trouvé la réponse à la question mais il y’a une chose dont je suis certain c’est que je ne fuirai plus.

Ce mec, je le reconnais.

C’est moi, je suis là !

Ta lumière est bien pâle comparée à la mienne.

La Génération Miracles, c’est vraiment un ramassis de tarés.

Un combat n’est pas intéressant que si on ne le gagne pas.

Il n’y a pas de honte à tomber, la vraie honte c’est de ne pas se relever.

On pourrait être voués à perdre seulement dans les histoires et les fictions. C’est notre drama. C’est nous qui décidons de l’intrigue.

Le passé est indissociable du présent. Quoi qu’on fasse, où qu’on aille, le passé nous suivra toujours.

Votre travail acharné sera récompensé. Quel genre d’idiot a inventé ce non-sens ?

Quand vous en venez à détester quelque chose que vous aimez, c’est incroyablement douloureux.

Peu importe si on décroche la victoire ou si on perd, l’important c’est de ne jamais baisser les bras. C’est comme ça que l’on prend du plaisir.

Je ne baisserai pas les bras ! Abandonner, ça, jamais !

Je ne suis pas assez mature comme un adulte pour cacher mon instinct et jouer au basket avec logique.

Les douceurs sont la justice.

Si ça continue comme ça, je sens que je vais de moins en moins assister aux entraînements et moins m’investir durant les matches et au final, le Basket ne sera plus qu’un jeu pour moi.

Junpei Hyūga : Non, Kagami !
Taiga Kagami : Aie, tu m’as fait mal j’ai le nez bousillé !
Tetsuya Kuroko : Te rends-tu compte de ce que je viens de t’empêcher de faire ?
Taiga Kagami : Hein ?
Tetsuya Kuroko : Céder à la colère et tout foutre en l’air, c’est ça que tu veux ? Si ça peut te rassurer, ils m’énervent autant que toi mais il n’y a qu’une seule façon de les battre, c’est de jouer à la régulière avec notre propre Basket.
Taiga Kagami : Tu as raison ! Excusez-moi, j’ai mérité une punition ! Allez-y, frappez-moi !

Des progrès constants apportent une avance rapide.

Au cours de sa glorieuse histoire, le club de basket du collège Teiko a vu évoluer cinq joueurs de génie qu’on voit d’ordinaire une fois tous les dix ans, c’était la « Génération Miracles » : Ryota Kise, Shintaro Midorima, Daiki Aomine, Atsushi Murasakibara et Seijuro Akashi. Mais face à eux se dressent deux menaces venues du lycée Seirin : l’Ombre et la Lumière.