Film - Kuroko’s Basket

Peu importe si je dois y laisser des plumes mais je ne te permettrai pas de faire du mal à un seul de mes coéquipiers. Hanamiya, je vais te battre tu m’entends ? Quel que soit le prix à payer !

Des progrès constants apportent une avance rapide.

Kuroko et Kagami, deux sacrées perles dis-donc et je sais que Hyûga, Izuki, Mitobe, Koganei et Tsuchida font des gros progrès chaque jour. L’effectif de Seirin est complet désormais. Mais j’ai beaucoup réfléchi ces derniers temps à ce que je devais apporter à l’équipe quand je reviendrai. Si Seirin continue de progresser, elle tombera immanquablement face à des monstres comme la « Génération Miracles » ou affrontera des types dangereux comme Makoto Hanamiya qui n’hésiteront pas à utiliser des coups bas. Alors, j’ai pris une décision. Si les rookies traversent une crise de confiance, je serai le rocher sur lequel ils pourront se raccrocher. Si les Senpaïs voient leur intégrité physique menacée, je serai le bouclier derrière lequel ils pourront s’abriter. Et en toutes circonstances, je ferai rempart de mon corps, je protégerai Seirin ! Voilà pourquoi je suis revenu sur les parquets !

Un combat n’est pas intéressant que si on ne le gagne pas.

Au cours de sa glorieuse histoire, le club de basket du collège Teiko a vu évoluer cinq joueurs de génie qu’on voit d’ordinaire une fois tous les dix ans, c’était la « Génération Miracles » : Ryota Kise, Shintaro Midorima, Daiki Aomine, Atsushi Murasakibara et Seijuro Akashi. Mais face à eux se dressent deux menaces venues du lycée Seirin : l’Ombre et la Lumière.

C’est mon porte bonheur du jour, c’est ce qui est dit dans l’horoscope ce matin.

Franchement, vous ne trouvez pas qu’ils sont soûlants ces matchs ?

Quand un joueur ose me tenir tête, je n’hésite pas une seule seconde à l’écrabouiller.

On dirait que j’ai encore cassé un arceau, je crois que vous feriez mieux d’annuler l’entraînement pour aujourd’hui. Qu’est-ce que je disais déjà ? Ah oui ! Commencez donc par jouer mieux que moi avant de l’ouvrir ! Il y’a peu de chances que ça arrive mais bon.

Je crois qu’on va vraiment enfin s’amuser.

Avant la finale, je suis venu te prévenir Kagami : il y’a deux Seijuro Akashi.

C’est bon, je les prends !

Quand faut y’aller, faut y’aller.

Ah bon, tu avais un pote dans cette équipe, je ne le savais pas.

Hé, c’est quoi ces blagues d’avant-match ?

Une personne qui aime le basket ne peut pas être un mauvais gars.

Soyez vous-même parce qu’un original vaut plus qu’une copie.

L’homme propose, Dieu dispose.

Je conduirai mon équipe vers la victoire.

Désolé !