- Actarus ! - Regarde père, la Lune est encore rouge ! - Actarus, mon fils ! Tu passes la plupart de tes nuits à observer cet astre mort ! Si ces monstres ont décidé de nous attaquer encore une fois, ce n’est pas en te faisant du mauvais sang que tu parviendras à protéger la Terre ! - Je sais ! - Écoute-moi, Actarus ! Tout ce que nous pouvons faire pour l’instant c’est essayer d’éviter que se reproduise ici sur Terre la même tragédie que sur Euphor !
- Allo, Alcor, fais ce que je te conseille ! Ton appareil risque de se désintégrer et tu le sais ! - Ha ha ha ! Je serai de retour avant que tu n’aies acheté la couronne. - Je ne veux pas que tu te suicides.
Rigel : Décidément, il ne se passe pas grand chose par ici hein ? Vénusia, l’autocar vient d’arriver, dépêche-toi un peu voyons ! Vénusia : Inutile de crier comme ça papa, tu vas ameuter tout le quartier ! Rigel : Je te prie de ne pas me parler sur ce ton violent ! Vénusia : Actarus, j’y vais ! Veille bien sur le ranch pendant mon absence ! Actarus : Fais bon voyage et amuse-toi bien ! Vénusia : Oui, je vais en profiter ! Au revoir !
- Mange ! Cela te donnera des forces, tiens ! - Quelle merveille ! - Ne mange pas trop vite ! - C’est étrange, j’ignorais qu’un Prince de l’Espace pouvait aussi savoir faire cuire les poissons et les coquillages. - Plonge ta main dans le sable maintenant ! Tu vois, je sais aussi que le sable humide protège contre le soleil. - Mmhmh ! - Nous avions des plages semblables à celle-ci sur Euphor. - Et aussi des poissons et des coquillages ? - Mhmmh. Tu vois que nous ne sommes pas tellement différents. - Aviez-vous aussi cette étoile au coucher du soleil ? - Oui, comment l’appelles-tu ? - L’Étoile du Berger. - Quel joli nom ! - Aha ah Aille ouh ! Mon bras me fait encore un peu mal. Ahaa… oh !
- Je vais prendre la Route numéro sept ! - Bien reçu, ouvrez la route numéro sept ! Route numéro sept, sas ouvert !
Non ! Aphélie ! Aphélie ! Aphélie ! Aphélie, je te jure de vaincre le Grand Stratéguerre, je te jure de ne jamais le laisser occuper la planète bleue. Je te jure qu’il y aura des êtres qui pourront s’y aimer en paix comme on s’aimait sur Euphor.
- Alcor, il est inutile de risquer ta vie ! - Je suis un homme de la Terre et je la défendrai de mes propres mains. - Alcor, moi aussi, maintenant, je suis un homme de la Terre et c’est à moi surtout que Véga en veut. - Tu ne me feras pas changer d’idée. Laisse-moi passer. - Si tu veux aller te battre contre eux, il faudra d’abord te battre contre MOI. - Si tu y tiens, je n’ai rien contre toi mais tu ne m’empêcheras pas d’y aller. Hh ! Haaa ! Si tu es un homme de la Terre, bats-toi donc comme un homme de la Terre. - Pardonne-moi, mais je ne veux pas que tu meures. Je ne les laisserai pas détruire cette planète, quand bien même je devrais y laisser ma vie. Je ne les laisserai pas détruire mon pays une seconde fois. Métamorphose.
- Ahahahahah ! Je ne suis pas mécontent de t’avoir pris ! - Tu n’es qu’un larbin, Hydargos ! - Au nom de Véga, le Grand Stratéguerre des Galaxies, je te somme de te rendre, Actarus. Alors ? Que vas-tu faire ? Vas-tu oser me défier ? - MMMh. Tu as gagné, Hydargos. Je vais me rendre. Mais libère d’abord tout le monde ! - Il n’en est pas question ! Aragne, enchaîne-le ! Ha ha ha ha ha, Actarus, tu vas accompagner Goldorak en enfer ! Vous allez être détruits ensemble. Ha ha ha hahaha ! - Hydargos, tu me déçois ! - Ha ha ha ha ha ha !