- Allo, Rigel ? Ici le professeur Procyon. - Le monstre du Loch Ness a traversé la mer et il remonte notre rapide. - Vous l’avez vu ? - Comme je vous vois. Demandez à mon fils. - Notre rapide est un affluent de la rivière argentée. Et c’est au confluent des deux cours d’eau que l’aérostat a disparu. - Professeur, c’est vrai. Paroles d’ancien scout. - Merci. Vous avez bien fait de m’appeler Rigel.
Rigel : Pendant des années, j’ai cherché à devenir ami avec vous. Après ce que vous avez fait à ma fille, je vous considère comme des ennemis. Hydargos : Débarrassez-moi de ça. Emmenez-le et exécutez-le ! Le professeur Procyon : Non, ne faites pas ça. Ce vieil homme a perdu la tête parce que sa fille a été blessée. Il est inoffensif. Laissez-le en paix, je vous en prie. Hydargos : C’est bon. Mais qu’il se tienne tranquille sinon, je n’aurais aucune pitié. Débarrassez-moi de lui.
Rigel : Dis donc, est-ce que vous savez à qui vous parlez ? Je suis le … Le professeur Procyon : Rigel, n’essayez pas de faire le malin ! Rigel : Je suis le président du comité d’accueil des extra… Hydargos : Au cas où vous l’ignoreriez, professeur Procyon, nous sommes à la recherche du Prince d’Euphor. Le professeur Procyon : Tiens, le Prince d’Euphor ? Je ne connais pas.
Hydargos : N’essayez pas de jouer au plus fin. De toute manière, votre Centre de recherches est un danger pour nous. Rien que pour ça, vous méritez d’être exécuté. Le professeur Procyon : Notre travail a pour but le bien être de l’humanité. C’est pourquoi rien ne nous empêchera de continuer. Hydargos : Vous cachez le Prince d’Euphor dans votre maudit centre. Livrez-le-moi. Le professeur Procyon : Je vous ai dit que je ne le connaissais pas. Hydargos : Silence ! Alcor : Je vais vous apprendre… ouch !
- Actarus ! - Je dois les sauver, père ! - Actarus, attention à ce que tu vas faire ! - Je n’ai pas le droit de les laisser aux mains de Vega, je dois les sauver jusqu’au péril de ma vie. - Actarus, Actarus !
- Actarus, les Planitronks atomiques ! - Ils ne le sont pas. - Il y’a un petit bouton rouge sur le tableau de bord qui les rend atomiques. Attire le monstre dans l’espace et coupe ses antennes mais tu sais ce que vous risquez tous. - Nous n’avons plus le choix, père. - Ensuite, il faudra qu’Alcor propulse l’autocar et les voitures dans l’espace.
Actarus : Alcor, tu as entendu ? Alcor : J’ai compris ! Le professeur Procyon : Il vous faudra agir à la seconde près, bonne chance !
Le professeur Procyon : C’est grâce à vous deux que nous pouvons contempler ce spectacle. Alcor : Actarus, tu as encore une fois sauvé notre planète. Actarus : Parce qu’elle est devenue la mienne.
Alcor : Professeur, Vénusia est parmi les otages. Le professeur Procyon : Es tu bien sûr de ce que tu dis ? Comment peux-tu le savoir ? Alcor : Je l’ai vue sur mon écran, Banta est avec elle. Actarus : Il n’y a pas de temps à perdre, j’y vais !
- L’air va bientôt se raréfier dans leur soucoupe père. - Il n’existe malheureusement qu’une seule solution pour essayer de sauver les otages. - Laquelle père ? - Non, je m’y refuse c’est beaucoup trop dangereux. - Tu penses vraiment qu’il y ait du temps à perdre ? Il faut tenter l’impossible. Dis-moi ce qu’il faut faire, père.
- Tout ce qu’il nous reste à faire, c’est prier pour qu’il revienne vivant. - J’aurais tant aimé être avec lui.
Que je souhaiterais lui offrir une vie paisible et exempte de tout ceci. Si quelqu’un le mérite, c’est bien lui.