- N’allez pas plus loin ! - Ah ! - Excusez-moi Rigel, je vous ai vu arriver, je voulais m’amuser un peu ! - GRRR, Procyon, à votre âge, vous n’avez pas honte de m’amuser à me faire peur espèce de vieux débris ? GRRR ! - Ne vous fâchez pas, on va tout de suite s’occuper de votre cheval, prenez l’escalier roulant et venez nous rejoindre Rigel !
- Attends, à moins que je l’aie rangé là. Ah c’est celui que j’utilisais dans la prairie. Hé hé aaah je savais qu’il m’en restait quelques gouttes hé hé hé hé hé. Ça c’est ce que je connais de mieux pour les blessures. - Tu es certain que c’est pas du whisky ? Parce que ce pauvre Alcor il a pas l’air en état de prendre un verre avec toi. - Je ne connais rien de plus efficace. Avec ça, on arriverait à faire sortir une momie de ses bandelettes. Mm hen hah ! - Tu nous prends pour des imbéciles, ma parole. C’est nous qui allons soigner Alcor ! - Pour bien soigner un malade, le médecin doit être en forme mm. - Hé bien côté forme c’est plutôt loupé si tu veux mon avis.
Alcor : Hah hah hah ! Vénusia : Ha ! Alcor ! Rigel : Ne t’approche pas, Vénusia ! Même endormi, un garçon reste un garçon. Mizar : Arrête de boire ! Rigel : Hh hh ! Alcor : Hahh hahh hahh !
Ce n’est pas entièrement de sa faute. Mon petit doigt me dit que Banta n’est pas tout blanc dans cette affaire.
- La la la la la la la la la la la… - Ne m’empêche pas d’entrer, je suis sure qu’ils ont tous les deux besoin de se rafraîchir la gorge. - Quand deux hommes discutent, seul un homme a le droit d’écouter. Donne-moi ce plateau. Voilà à boire ! Hein ? Où est-ce qu’ils sont ? Je n’y comprends rien, j’étais pourtant sûr de les avoir laissés là tous les deux. - Ils sont sortis par la fenêtre, regarde ! - À moins que ce ne soit des kidnappeurs qui sont entrés par la fenêtre.
- Dans le coin il n’est pas seul, je connais un autre fou ! - C’est moi hein ? Eh bien dans ce cas, je suis très content qu’Uranus vous ait embêté.
Rigel : Décidément, il ne se passe pas grand chose par ici hein ? Vénusia, l’autocar vient d’arriver, dépêche-toi un peu voyons ! Vénusia : Inutile de crier comme ça papa, tu vas ameuter tout le quartier ! Rigel : Je te prie de ne pas me parler sur ce ton violent ! Vénusia : Actarus, j’y vais ! Veille bien sur le ranch pendant mon absence ! Actarus : Fais bon voyage et amuse-toi bien ! Vénusia : Oui, je vais en profiter ! Au revoir !
Le professeur Procyon : Est-ce que vous êtes parvenus à réparer cette pompe ? Vénusia : Impossible, le poste de pilotage est presque inondé ! Rigel : Professeur, on ne peut pas les laisser mourir comme ça ! Mizar : Papa, tais-toi ! Rigel : Qu’est-ce que je pourrais bien faire ? Hop, allons-y ! Mon Dieu, je vous en prie, sauvez ma petite fille, elle est si bonne, je vous promet de faire tout ce que vous voudrez si vous me la sauvez !
Le professeur Procyon : Eh bien, si le cygne est blessé, je peux lui appliquer un traitement et le guérir mais s’il est malade, je suis impuissant. Rigel : Oh, je n’en crois rien, vous êtes un très grand savant, par pitié professeur, faites quelque chose je vous en prie, au nom de notre amitié ! Alcor : Oncle Rigel, tu sais bien que c’est impossible ! Rigel : Pourquoi ? Alcor : Le Professeur Procyon est un savant pas un ornithologue, il n’y connaît rien en oiseaux ! Rigel : Désolé mon pauvre Mizar, j’ai fait tout ce que j’ai pu !