Personnage - Thomas Price

Un but ça suffit, c’est fini Landers tu ne passeras plus !

- Landers m’a marqué deux buts, c’est de ma faute si nous sommes dans cette situation, c’est à moi d’aller égaliser.
- Non mais il croit que je vais le laisser faire peut-être ?
- Attention Warner, prépare-toi !

Tu continues encore à croire au Père Noël Olivier mais tu sais bien que je suis le meilleur gardien du pays. Celle-là aussi je l’aurai.

Mark Landers : Voilà Thomas ! Dommage je n’ai pas réussi à te marquer un but de 30 mètres mais tu peux me croire la prochaine fois j’y arriverai.
Thomas Price : Tu sais Mark, tu es un adversaire très dangereux !
Olivier Atton : Toi aussi, tu nous félicites ?
Ed Warner : Je tenais à te dire que tu es le premier à m’avoir mis quatre beaux buts en un seul match.

Bruce Harper : Regarde c’est Thomas Price !
Thomas Price : Qui est-ce ? Je ne le connais pas !
Bruce Harper : Thomas, je te présente Olivier Atton, c’est lui qui t’a envoyé le message sur ce ballon alors tu acceptes le défi ?
Thomas Price : Quoi ? C’est ce môme qui a tiré ?
Freddy Marshall : C’est impossible, il est beaucoup trop petit, ça ne peut pas être lui !
Thomas Price : Tu plaisantes ou quoi Harper ? Ce n’est pas cette demi portion qui a envoyé ce ballon avec une telle puissance.

- Mais c’est pourtant bel et bien Olivier qui l’a envoyé, j’en suis témoin, je t’assure !
- On a assez perdu de temps, nous allons tout de suite savoir si ce petit champion est aussi fort que ça !
- Olivier, fais gaffe !
- C’est pas croyable, il a réussi à renvoyer le ballon, je n’en reviens pas ! Je suis fou de rage, non seulement il a réussi à me renvoyer le ballon mais en plus, il s’est arrangé pour le faire passer sous le bus comme si de rien n’était alors c’est vrai, c’est donc toi qui as envoyé ce message, c’est donc toi Olivier Atton !
- Tu vois Thomas que ce n’est pas toi le meilleur, je savais bien qu’un jour tu trouverais à qui parler !

Thomas Price : Ah vous voilà les gars ! Eh ben, vous tombez bien ! Vous voyez ce gamin devant vous ? Il a un tir super puissant, il m’a lancé un défi avec ce ballon que j’ai en main mais avant de pouvoir directement m’affronter, il devra tout seul et sans jamais perdre le ballon dribbler tous les dix autres joueurs de mon équipe.
Bruce Harper : Quoi ? Rien que ça hein ?
Thomas Price : Si ça ne te convient pas, tu peux toujours rentrer chez toi !
Bruce Harper : Ce n’est pas loyal !
Olivier Atton : J’accepte !
Bruce Harper : Ecoute, tu vas te retrouver tout seul contre toute une équipe entière, tu es fou ?

C’est moi le goal numéro un en Europe !

Si Ed se prend un deuxième but, ce sera la défaite assurée du Japon.

Réveillez vous les gars sinon vous ne serez plus dignes de représenter le Japon !

- Bon d’accord, je vais garder nos buts mais je vous préviens, si je joue, c’est pour gagner, pas question de perdre surtout en finale, comptez sur moi pour empêcher Schneider de me marquer le moindre but et nous serons les numéro un mondiaux, vous êtes tous d’accord avec moi ?
- Bien sûr !

Salut Olivier, j’ai appris que la Newteam s’était qualifiée une nouvelle fois pour le championnat national et je suis sûr que vous allez le gagner une troisième fois quoique imbattables comme vous êtes, il est plus facile de compter vos victoires que vos défaites. Bon blague à part, je vis en Allemagne depuis trois ans et je suis un entraînement quotidien de très haut niveau comme chez les pros, si j’ai pris la peine de t’écrire c’est parce qu’il m’est arrivé une chose incroyable : figure-toi que j’étais en train de faire du footing dans les bois avec mes coéquipiers et là devine sur qui je tombe : Ben. Eh oui, Ben venu exprès de France pour me voir.

- Comment Ed a-t-il pu se faire avoir de cette façon, je n’y comprends rien ?
- La seule erreur que Ed ait commise est d’avoir cru que Schneider ne changeait jamais sa façon de tirer : il l’a vu armer à bout portant du pied gauche et se tenait déjà prêt à plonger pour arrêter son tir mais l’autre avait anticipé son geste et du coup, il a changé son pied et donc d’angle de tir et il n’avait plus qu’à pousser tranquillement le ballon dans les buts, l’occasion était trop belle pour Schneider, je dois avouer que je me serais fait avoir de la même manière.

Thomas Price : Ce n’est pas un docteur qui va me donner des ordres ! Si vous n’êtes pas capable de me soigner correctement, j’irai voir un autre médecin. De toute façon, je fais ce que j’ai envie de faire. Salut Freddy !
Freddy Marshall : Ah, excuse-moi Thomas, je viens d’écouter mais je suis désolé tu ne joueras pas dans ce championnat. Ne te préoccupe pas pour tes amis, ils comprendront !
Thomas Price : Laisse-moi ! Attends il faut absolument que je joue, j’ai un compte à régler avec quelqu’un.
Mark Landers : Un gardien imbattable hein ? Eh bien on va voir s’il va réussir à arrêter ce ballon !
Thomas Price : Mark Landers de l’équipe des Muppet !

C’est Olivier et Allan !

- Allan, on n’aurait pas trouvé un meilleur remplaçant que toi !
- Au nom de tous, bienvenue dans l’équipe !

- Bonne chance à vous tous les gars, je reprendrai bientôt ma place dans l’équipe !
- Je tiendrai ma promesse Thomas, je gagnerai tous nos matchs durant ce championnat et comme ça je partirai au Brésil avec Roberto.

Freddy Marshall : J’ai l’impression que chaque joueur de ton équipe a enfin trouvé ses marques, tu n’es pas de mon avis Thomas ?
Thomas Price : C’est vrai !
Freddy Marshall : Pauvre Thomas, je sais ce que tu ressens, tu aurais tellement voulu jouer cette rencontre mais avec ta jambe, ce n’était pas possible !
Thomas Price : Olivier, Ben, Allan et les autres, je compte sur vous, vous pouvez y arriver !
Olivier Atton : C’est maintenant que le vrai match commence et je n’ai aucune intention de le perdre Mark Landers !

- Il fallait que j’arrête ce ballon sinon on perdait le match !
- Chapeau, tu es sorti au bon moment !

Thomas Price : Mais qu’est-ce qu’il fabrique ? Maintenant il s’effondre. Non mais tu vas te relever espèce de trouillard ?
Allan Crocker : J’ai trop peur, j’ai peur de la balle, je n’ose plus regarder le ballon, j’ai peur de le toucher. Ne m’en voulez pas les gars, j’ai la trouille !
Roberto Sedinho : Oh mais bien sûr c’est évident ! Depuis que Landers lui a marqué le but en lui tirant le ballon en pleine figure, Allan est terrorisé par toutes les balles que la Muppet lui envoie.