- Écoutez-moi messieurs les vertueux ! Je reconnais que mes méthodes sont un peu expéditives, et je comprends que cela vous choque, mais il faut voir les choses en face. Ce monde ne peut être gouverné que par le terreur et la force. Cette fille ne pourra jamais le protéger. Il faut être prêt à tout pour le défendre, sinon il sera détruit ! - Chevalier ! Si tu as raison, si ce monde ne connaît ni la justice, ni l’amour, s’il est uniquement gouverné par la force et la terreur, si le mal le ronge un peu plus chaque jour je pense qu’en effet… il mérite d’être détruit. - Quoi ? Qu’est-ce que tu viens de dire ? - À quoi cela sert de vivre dans un monde aussi laid ?
- Je suis sûr que tu ne sens plus aucune douleur, la mort sera une délivrance pour toi. - Athéna, Saori, est-elle sauvée, ai-je rempli ma tâche de Chevalier ?
- Que mon Armure vienne protéger mon corps et terrasse mon ennemi ! - Non, ce n’est pas possible, cette Armure est celle du Chevalier des Gémeaux ! Je commence à comprendre, cet homme n’est pas le véritable Grand Pope, c’est un des douze Chevaliers d’Or mais comment un Chevalier d’Or a-t-il pu être à la tête du Sanctuaire ? - Tu vas mourir, vermine, disparais dans une autre dimension !
Si jamais le combat dure trop longtemps, tout est perdu ! Je dois empêcher Seiya de réussir à prendre le bouclier d’Athéna à tout prix.
La dernière flamme de l’horloge s’est éteinte, la Bataille du Sanctuaire est gagnée, j’ai remporté la victoire.
- Encore toi ? - Je te l’ai déjà dit, même si je meurs plusieurs fois, je ne te laisserai jamais tuer mon ami Seiya ! - Pauvre fou !
Ô ma Princesse, pardonne-moi, pardonne-moi… Ah… Athéna… Je ne jamais voulu te nuire ! Accorde-moi ton pardon… Chevalier Seiya, pardonne-moi…