Personnage - Bruce Wayne / Batman

- Oui, Bruce n’a jamais vu La Petite Fille aux Allumettes.
- Je préfère Le Joker aux oubliettes.

Je parie que tes parents t’ont raconté que tu as une mission a accomplir, que tu est un symbole pour les autres. Mes parents m’ont appris autre chose, en mourant dans le caniveau, pour rien sans raison.

Tu n’est pas courageux. C’est propre a l’homme.

- I heard about you… didn’t think you were real.
- I’m real when it’s useful.

Where are they?

There was a time above. A time before. There were perfect things, diamond absolutes. How things fall, things on Earth and what falls is fallen. In the dream, they took me to the light. A beautiful lie!

What were you trying to prove? That deep down, everyone’s as ugly like as you? You’re alone.

- Je veux que tu te rappelles de ça. Je veux te rappeler de rester hors de mon chemin. Dans toutes les années à venir, dans tes moments les plus intimes, je veux que tu te rappelles du seul homme qui t’a vaincu.
- Bruce… ton cœur…

We have a signal now, for when I’m needed. But when that light hits the sky, it’s not just a call, it’s a warning… to them. Fear is a tool.

- Joyeux Noël, Batman, je suis très touché que tu aies répondu à mon invitation.
- Qu’est-ce tu fais, Joker ?
- Oh, mais rien mon petit Batman, on est là pour rigoler, tu ne voudrais pas que les téléspectateurs s’ennuient, pas ce soir, pas pour une occasion pareille.

- J’arrive, j’arrive mais quand même le soir de Noël on aurait pu faire une exception.
- Le Joker s’est enfui de l’hôpital psychiatrique Robin !
- Oui, et alors, il doit être en train de préparer son réveillon comme tout le monde avec sa petite famille.
- Mais il n’a jamais eu de famille !
- Bon, très bien, je vais faire un marché avec toi, on va patrouiller ensemble dans Gotham City mais si on ne trouve pas de trace de criminels ou du Joker, alors on rentre, on réveillonne et on regardera la Petite Fille aux Allumettes.
- Tu sais Robin, je n’ai jamais vu ce film, je n’ai pas été plus loin que le générique.
- Alors, marché conclu ?
- Marché conclu !

- Méfiance Robin, il reste encore le Joker !
- Ta perspicacité m’étonnera toujours Batman. Allez, viens voir ce que le Père Noël t’a apporté ou ces chérubins seront transformés en homards.
- Relâche-les, Joker ! C’est moi que tu veux, me voici !
- Joyeux Noël, Batman, Joyeux Noël ! Dépêche-toi, est-ce que tu aurais peur ? Ouvre-le ou alors…

- Ha, ha, ha, ha, vole, roule, cours, fais ce que tu veux Batman mais tu ne m’attraperas jamais ! OUAH !
- Ah, j’allais oublier : Joyeux Noël, Joker !
- Ah, tu peux te les garder tes poreux !

- La justice triomphe toujours Joker !
- Je n’ai pas encore joué ma dernière carte !
- Les jeux sont faits, rien ne va plus Joker !
- Toujours aussi insensible à ce que je vois Batman ! Je sens que l’hilarité me gagne !

- Alors, on vient faire le ménage dans mon bateau poubelle ?
- C’est l’endroit rêvé pour un déchet de ton espèce !
- Oh j’ai toujours adoré me rouler dans la fente ! Trêve de plaisanteries, à vous de jouer Messieurs ! Oh, Batman, décidément tu vas un peu vite en besognes ! Quel rabat-joie tu fais ! Allez enlève ton masque et fais risette !
- J’en ai par-dessus la tête de tes pitreries Joker !

- Qu’est-ce que ça signifie Alfred ?
- Votre plan d’eau, je vous l’ai justement dessiné Monsieur ! Poisson d’Avril !
- Très drôle Alfred ! Tout compte fait, je préfère prendre une douche !
- Ce que j’apprécie chez lui c’est son sens de l’humour !

- Pour un uner Avril, il faut reconnaître que c’est un peu énorme !
- Non, il est signé Joker !

- Va la chercher toi-même, espèce de gros naze !
- Très amusant Alfred mais je n’ai pas le temps de plaisanter ! Alfred, Alfred !

- Cette douche m’a fait du bien ! Je n’ai jamais vu autant d’ordures de ma vie mais qu’est-ce qui se passe Alfred ? Y’a-t-il eu quelque chose de grave ?
- Ce qui se passe, Monsieur ! J’ai cassé un vase Ming d’une inestimable valeur et vous trouvez que c’est grave ?
- Ne vous en faites pas trop ! Je le retiendrai sur votre salaire pendant les dix prochaines années !
- Très bien Monsieur !
- Oh, Alfred ! Poisson d’Avril !

Que voulais-tu prouver ? Qu’au fond on est tous hideux comme toi ? Tu es seul.