Kaakook

Personnage - Rebekah Mikaelson

Rebekah Mikaelson apparaît dans :


Répliques de Rebekah Mikaelson (2)

- Je sais que tu me hais, mais on ne peut pas revenir sur ce qui a été fait.
- Rebekah, rien est irréversible. Tout dépend de nous, de l’histoire qu’on veut se raconter pour essayer de savoir qui on est : le père violent, le bâtard indigne et enfin la sœur déloyal. Il est peut-être temps de commencer une nouvelle histoire. Quels sont tes rêves, Rebekah ?
- Ils n’ont pas changés depuis que je suis enfant. Je veux une maison. Je veux une famille. Je veux pouvoir aimer. Et je veux vivre.
- Alors pars. Pars très loin et ne reviens jamais. Nous sommes bien trop abîmés pour rester ensemble. Cette famille est dangereuse, c’est un mélange explosif. Je récupérerai la Nouvelle-Orléans. Je veux élever mon enfant ici, dans la ville que tu m’as fait perdre. À mon avis Elijah choisira de rester. Mais si tu veux ma sœur, tu es libre.

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- Tu as loupé le cœur ?
- Il semblerait que oui, ou peut-être que je n’ai pas voulu te tuer. Peut-être que je voulais juste que tu ressentes une fraction de la terreur qui a été la mienne quand notre père a débarqué.
- Est-ce que tu sais où a été la vérité dans tout ça ?
- Voilà ce que je sais : tu m’as accusé d’être méchant, cruel et pourtant c’est toi qui a conspiré contre ta famille.
- Tu as fait de nos vies un enfer. Tu nous a tourmentés.
- J’ai toujours aimé ma famille. Toi, Elijah. J’aimais chacun d’entre vous. Je sais que je peux être difficile, mais ce n’est pas de ma faute si je suis devenu comme ça. C’est Mikael qui m’a détruit, c’est lui le responsable.
- J’ai été détruite moi aussi, tu devrais le savoir. C’était il y a des siècles et regarde nous, on est tous brisés. Toi avec ta colère, ta paranoïa. Moi, qui me bat contre ma peur de l’abandon. Et le pauvre Elijah, il a toujours cherché le bonheur des autres au détriment de son propre bonheur. Aucune créature sur terre n’a notre force et pourtant on est les plus vulnérables. Nos vies sont sans espoir et elles sont sans issues. On est la fatalité incarnée, pour toujours et à jamais.

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