Saga - OSS 117

Ça a un prix de jouer au malin.

Et elle gueule mon vieux, on dirait une poissonnière de Ménilmontant !

Joyeux Noël.

- Vous voyez le groupe de ces musiciens folkloriques ?
- Traditionnels.
- Je ne connais pas le terme arabe…

Einrich ? Un postiche ?!

Ne pas fumer me tue.

J’aime le bruit blanc de l’eau.

Je vais lui faire un courrier.

D’aucun ont des aventures… Je suis une aventure.

- Ils veulent faire l’amour, pas la guerre.
- Mais l’un n’empêche pas l’autre. J’ai toujours fait les deux et je n’ai eu aucune plainte.

Vous voyez cette voiture ? Elle est propre.

Wagon-lit !

Depuis quand la CIA s’intéresse à l’Amérique du sud ?

- Je suis ravi d’avoir une secrétaire aussi jolie !
- Pardon ?
- Non, je dis je suis ravi d’avoir une secrétaire aussi jolie.
- Je ne suis pas votre secrétaire !
- Ben, vous êtes la secrétaire de qui alors ?
- De personne. Je suis lieutenant-colonel de l’armée israélienne et l’idée est que nous travaillions ensemble. D’égal à égal.
- On en reparlera quand il faudra porter quelque-chose de lourd !

Moi je suis dans le poulet. Et je vois rien qu’au niveau du poulet c’est un bordel !

- Wahid, ithnan, thalatha, arba’a, khamsa.
- Très bien.
- Ça veut dire quoi ?
- Un, deux, trois, quatre, cinq.
- Ça ne sert à rien… Sauf si je dois compter jusqu’à cinq ! Et là en revanche, ça pourrait me servir. Il ne faut pas que je dépasse cinq car je ne connais pas six, je suis battu… Je crois qu’il faut tenter le coup. Le jeu en vaut la chandelle, Larmina. Oui, le jeu en vaut la chandelle…

- Mais vous n’êtes pas comme ces hommes Je suis comme eux !
- Je me bat pour qu’on me respecte.
- Dommage qu’eux ne soit pas comme vous. Si tous les hommes avait des formes aussi prodigieuses que les vôtres, je virerai sûrement ma cuti.
- Ne t’avise plus jamais de parler de mon corps.
- Si tous le hommes avaient ces seins rebondis, ce sillon mammaire impeccablement dessiné, ces tétons qui pointent a la moindre émotion, a la moindre brise, ces tétons que l’on a envie de mordiller ces mamelons roses de vies, gorgés d’envie.
- Vous êtes ridicule Lucien.
- Oui, mais je suis libre !

Je vois bien ce qui vous plaît dans la nazisme… À moi aussi il m’arrive de me fâcher…

Je m’habille mal ?!