Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1959

- Mais tu ne comprends pas ! Je suis un homme.
- Et alors ? Personne n’est parfait.

#1
9.02 (122 votes)

- Là-haut, il y a quelqu’un qui marche. J’ai entendu des pas, des pas humains.
- Madame, depuis le commencement des temps, toutes les femmes entendent des pas, quelque part.
- J’ai l’ouïe particulièrement fine.
- Toutes les femmes ont l’ouïe particulièrement fine. La mienne entendait des rats dans le grenier. Généralement à la veille d’une de mes conférences importantes. J’allais dans les combles armé d’un balai…

#2
8.15 (17 votes)

Sextus, tu voulais savoir comment combattre une idée. Et bien, je vais te l’apprendre. Avec une autre idée.

#3
8.15 (17 votes)

- Cadence de combat, hortator.
- Cadence de combat !
- Cadence d’attaque.
- Cadence d’attaque !
- Cadence d’éperonnage.
- Cadence d’éperonnage !
- Repos.
- Repos ! Arrêtez ! Repos !

#4
8.15 (17 votes)

Garde… détache le 41.

#5
8.15 (17 votes)

- Si tu n’étais pas fiancée, je te donnerais un baiser d’adieu.
- Si je n’étais pas fiancée, nous n’aurions pas besoin de nous dire adieu.

#6
8.15 (17 votes)

C’est Judah Ben-Hur que j’aimais. Qu’a-t-il pu advenir de lui ? Tu ressembles maintenant à ce que tu t’étais juré de détruire. Tu rends le mal pour le mal. La haine change ton cœur en pierre. Ton visage est pour moi celui de Messala ! Je t’ai perdu, Judah…

#7
8.15 (17 votes)

Citoyens, je vous accueille à ces jeux au nom de Tibère, notre divin empereur. Nous les dédions à sa plus grande gloire et à la gloire éternelle de Rome qui pour vous est la seule patrie. Honorons ceux qui vont courir pour nous aujourd’hui. Ils sont venus ici d’Alexandrie, de Messine, de Carthage, de Chypre, de Rome, de Corinthe, d’Athènes, de Phrygie et de Judée. Pour le meilleur d’entre eux, le laurier de la victoire. La course commence. Ave César !

#8
8.15 (17 votes)

Partout où il y a grandeur, grandeur du souverain ou du pouvoir, et même de la pensée et des passions, l’erreur elle aussi est grande. L’homme progresse également par ses fautes.

#9
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- Judah, ou bien tu m’aides ou bien tu me combats, tu n’as pas d’autre choix. Tu es soit pour moi soit contre moi !
- S’il faut que je choisisse, alors je serai contre toi !

#10
8.08 (16 votes)

Bande de fainéants !

#11
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- Dites-moi jeune homme, qu’est-ce que c’est que ce déploiement, cette fantasia matinale ? Vous allez tout de même pas recommencer avec vos tremblements de terre ?
- J’vous emmerde. On pose le gaz.
- Le gaz ! Y’a six mois, c’était l’eau, demain ça s’ra l’téléphone. Vous n’pouvez pas grouper tout ça une fois pour toutes, non ?
- Bah c’est une question de crédits. C’est comme la guerre, ça, mon bonhomme.

#12
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La liberté, c’est d’faire c’qu’on veux, y compris d’aller en taule quand on en a envie !

#13
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- Ça m’a l’air d’une gentille personne, votre dame.
- Ah, ça pour être gentille, elle l’est. Elle l’est même un peu trop, ça. Elle est bien serviable. Tenez, monsieur, moi qui vous parle, j’l’ai pincée huit fois en flagrant-délit, m’sieur, huit fois, et encore c’étaient des coups de veine. En réalité, pour savoir où j’en étais, j’avais qu’à compter mes clients plus le barman et le garçon. Bah si vous totalisez, dans une affaire qui travaille bien, ça va chercher du monde. Traînée va ! Bah c’est ça qui m’amène chez les affreux. On a beau dire, la moralité, ça passe avant les bénéfices.

#14
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- Monsieur Félix, vous allez foutre le camp, je ne peux pas supporter votre tronche.
- Il ne faut pas se fier au physique des gens.
- Avec vous, si. Vous avez la gueule de travers et la mentalité biscornue. Vous êtes synchrone.

#15
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- Tant que nous serons victorieux, tu ne pourras pas t’évader. Si nous sommes vaincus, tu couleras avec ce navire, enchaîné à ton aviron.
- Je ne croirai jamais que Dieu m’a gardé vivant pendant ces trois années pour que je meure enchaîné.
- C’est vraiment une foi étrange et obstinée que celle qui permet à un homme de croire que notre existence a un but précis. Un homme normal aurait depuis longtemps perdu cette croyance.
- À ton exemple, qu’est-ce qui te l’a fait perdre ?

#16
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Messala : Regarde !
Drusus : C’est magnifique.
Messala : Et offert par quelqu’un que je n’ai jamais vu.
Ben-Hur : Tu te trompes, Messala.
Messala : Judah ? Par quelle magie est-ce que tu portes le nom glorieux d’un consul de Rome ?
Ben-Hur : C’est toi, le magicien, Messala. C’est toi qui m’a condamné aux galères.

#17
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- Je dois traiter Messala à ma façon.
- Et ta façon est de l’tuer. Je vois cette chose terrible dans ton regard, Judah Ben-Hur, mais quoi que Messala ait pu te faire autrefois, tu n’as pas le droit de lui ôter la vie, il sera inévitablement puni.

#18
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Tue-moi et ta mère et ta sœur mourront aujourd’hui crucifiées toutes les deux sous tes yeux ! Qu’attends-tu, Judah ? Tue-moi !

#19
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Eh toi ! J’ai dit « Pas d’eau pour cet homme ! »

#20
8.08 (16 votes)

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