Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1959

Il y a deux moyens pour se procurer de l’argent : en le barbotant ou en épousant une riche héritière. Et quand on veut l’avoir en se mariant, c’est comme à la chasse, il faut connaître les endroits où le gibier abonde.

#61
6.43 (4 votes)

- Ah, te voilà toi ! Alors, il suffit d’un devoir supplémentaire pour te rendre malade ! Et les parents tombent dans le panneau ! J’serai curieux de savoir ce que tu leur as soutiré comme excuse, moi. Fais voir ton mot.
- J’en ai pas, m’sieur.
- Ah, t’en as pas ! Et tu crois que ça va se passer comme ça ? Ça serait trop facile, mon ami !
- M’sieur, c’était… c’était ma mère, elle…
- Hé ben ta mère, ta mère, qu’est-ce qu’elle a ta mère ?
- Elle est morte !
- Ah… fichtre. Excuse-moi, petit, j’pouvais pas savoir ! Faut toujours se confier à ses maîtres. Allez, file !

#62
6.32 (9 votes)

Il est tellement fort qu’il n’essaye même plus de le prouver.

#63
6.15 (16 votes)

Y’a presque plus de chaussette autour de ma paire de trous !

#64
6.11 (8 votes)

In spite of everything, I still believe that people are really good at heart.

#65
6 (15 votes)

- Tes parents disent que tu mens tout le temps.
- Ben, je mens… je mens de temps en temps, quoi. Des fois je leur dirais des choses qui seraient la vérité ils me croiraient pas, alors je préfère dire des mensonges.

#66
6 (10 votes)

Ici souffrit injustement Antoine Doinel, puni injustement par Petite feuille pour une pin-up tombée du ciel. Entre nous ce sera dent pour dent, œil pour œil.

#67
5.71 (11 votes)

- Ils feraient mieux de nous parachuter un régiment de girls !
- Et qu’est-ce que tu en ferais ? Tu as les yeux plus grands que le bas-ventre !

#68
5.71 (4 votes)

Well, nobody is perfect!

#69
5.45 (1 vote)

Les vacances, on n’y pense jamais trop tôt.

#70
5 (8 votes)

J’ai bu parce que, certains soirs, je n’avais pas le courage de rentrer chez moi. C’est une maladie de boire, une maladie terrible ! Les tuberculeux apitoient, les infirmes bouleversent, les alcooliques font rire… Ils réclament la pitié, on les méprise… Ils quêtent l’amour, on les enferme au cabanon… C’est pratique… c’est discret… c’est surtout plus simple que de se pencher sur leur détresse et d’essayer de les comprendre… De comprendre qu’ils souffrent, oui, qu’ils souffrent, et qu’ils ne le font pas exprès. Je les connais, je suis des leurs… On parlent souvent de l’ivrognerie prolétarienne ou d’un alcoolisme bourgeois… Qu’est ce que les mots « prolétariat » et « bourgeoisie » ?… Qu’est ce que les mots, quels qu’ils soient, peuvent encore signifier à ce palier de l’enfer ?… L’alcoolique, un taré ?… Oh non !… Un mal payé parfois… un mal logé souvent… un mal aimé toujours !

#71
5 (0 vote)

Faire l’amour c’est faire la liberté. Aimer c’est la perdre.

#72
5 (0 vote)

Jeune homme, c’est pas le retour des cendres !! Les Hauffman girls, le bal nègre !! De la gambette et du rythme !!

#73
5 (0 vote)

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