Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1959

- L’homme qui t’accompagne, Quintus Arrius, qui est-ce ?
- Celui qui a permis, divin empereur, que je revienne ici te servir.
- C’est tout ce que tu sais sur cet homme ?
- Non. On l’a accusé d’avoir attenté aux jours du procurateur de Judée mais il était innocent.
- Je l’espère. Ce serait une étrange incohérence chez cet homme d’essayer de tuer mon procurateur et de sauver la vie de mon consul.

#21
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- L’heure a sonné, Judah. C’est le moment de régler nos comptes.
- Tu as raison, l’heure a sonné.

#22
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Relâche les serviteurs.

#23
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- Viens.
- Où ?
- À Tyr.
- À Tyr ? Mais je n’ai même pas été jugé. Je mourrai aux galères sans seulement avoir été jugé ? On ne me laisse même pas m’expliquer ! Il n’y a pas un mot de vrai dans cette accusation ! Ma mère, ma sœur ? Que sont-elles devenues ? Où sont-elles ?
- Attachez-lui les mains.
- Attends. Au moins, dis-moi si elles sont en vie !
- Je ne peux rien te dire.

#24
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- Appuie pas sur la scie, là. Léger, léger… Devine depuis combien de jours on est sur ce tronc-là, le marquis et moi ? Y’a eu sept jours hier, et c’est pas fini !
- Tu as raison, va, pas d’excès de zèle. Non mais pour qui ils nous prennent ces gens-là ? C’est tout de même pas eux qui vont nous apprendre à rien foutre !

#25
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- Cette fois-ci, affiché, officiel, j’fous l’camp dans l’Midi !
- Dans l’Midi ? A Nice ?
- Non. Y’a trop d’Anglais. P’têt’e à Cannes ?
- À Cannes ?
- C’est comme ça.

#26
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- Merde, merde et merde !
- La France !

#27
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Je ne possède pas le don divin de transformer un affreux désastre en triomphe.

#28
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Oui, oui, c’est vrai, j’ai égaré une tarentule. Elle a disparu jeudi dernier, c’est pourquoi je suis terriblement inquiet depuis jeudi. C’est qu’elles sont dangereuses.

#29
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Judah ! Regarde ! Regarde, il conduit un char grec ! Judah, fais attention ! Ne le laisse pas approcher !

#30
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Tout continue, tout continue, Judah. La course… la course n’est pas achevée…

#31
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Ben-Hur : Je n’ai pas de femme.
Cheik Ilderim : Pas de femme du tout ?
Ben-Hur : Non.
Cheik Ilderim : Oh, j’en ai six, non j’en ai sept !
Balthazar : Haha, j’en ai compté huit. Et ça, c’est parce qu’il est en voyage. Chez lui, il en a plus.
Cheik Ilderim : Oui, mon ami, c’est un grand avantage d’avoir plusieurs épouses.
Ben-Hur : J’espère en avoir une un jour.
Cheik Ilderim : Une seule femme ? Oh oh, Un seul dieu, j’l’admets encore, mais une seule femme, ce n’est pas civilisé, héhéhé… Ce n’est pas généreux !

#32
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Monseigneur, c’est le mien !

#33
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Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Comment me serais-je doutée que cette ville était faite à la taille de l’amour ?
Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps même ?
Tu me plais. Quel événement. Tu me plais.
Quelle lenteur tout à coup.
Quelle douceur.
Tu ne peux pas savoir.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
J’ai le temps.
Je t’en prie.
Dévore-moi.
Déforme-moi jusqu’à la laideur.
Pourquoi pas toi ?
Pourquoi pas toi dans cette ville et dans cette nuit pareille aux autres au point de s’y méprendre ?
Je t’en prie…
(…)
Je te rencontre.
Je me souviens de toi.
Cette ville était faite à la taille de l’amour.
Tu étais fait à la taille de mon corps même.
Qui es-tu ?
Tu me tues.
J’avais faim. Faim d’infidélités, d’adultères, de mensonges et de mourir.
Depuis toujours.
Je me doutais bien qu’un jour tu me tomberais dessus.
Je t’attendais dans une impatience sans borne, calme.
Dévore-moi. Déforme-moi à ton image afin qu’aucun autre, après toi, ne comprenne plus du tout le pourquoi de tant de désir.
Nous allons rester seuls, mon amour.
La nuit ne va pas finir.
Le jour ne se lèvera plus sur personne.
Jamais. Jamais plus. Enfin
Tu me tues.
Tu me fais du bien.
Nous pleurerons le jour défunt avec conscience et bonne volonté.
Nous aurons plus rien d’autre à faire que, plus rien que pleurer le jour défunt.
Du temps passera. Du temps seulement.
Et du temps va venir.
Du temps viendra. Où nous ne saurons plus nommer ce qui nous unira. Le nom ne s’en effacera peu à peu de notre mémoire.
Puis, il disparaîtra tout à fait.

#34
7.92 (43 votes)

- Excusez-moi, messieurs, vous auriez pas de la glace, s’il vous plaît ?
- Bien sûr ! Vanille, chocolat, framboise, moka ?
- Non, appendicite. C’est pour un malade.

#35
7.92 (14 votes)

Avez-vous pu enfin savoir où était passé mon deuxième soulier ? J’ai déposé mes deux souliers devant la porte hier soir pour qu’ils soient cirés. Personne ne peut me dire où ils sont. Le portier, le valet de chambre, personne. Il n’y a personne dans l’hôtel qui sache où se trouve l’autre soulier. Vous, monsieur le directeur, vous aurez peut-être l’amabilité de me dire où passent tous les souliers de votre maison ?

#36
7.92 (14 votes)

Il n’y a rien de plus dangereux qu’un homme avec des idées !

#37
7.92 (14 votes)

- C’est quoi ces tâches de sang sur vos guêtres ?
- Je me suis coupé en me rasant ce matin.
- Vous vous rasez avec vos guêtres ?
- Je dors même avec mes guêtres.

#38
7.84 (41 votes)

Quand une fille a moins de vingt et un ans, elle est protégée par la loi. Et quand elle a passé soixante-cinq ans, elle est protégée par la nature.

#39
7.83 (13 votes)

- Ce que vous suggérez, lieutenant, ce sont des mesures de désespoir. Voyons, le plus vieux de mes cadets n’a que seize ans.
- Mais monsieur, je… pardon mon colonel, je veux dire mon révérend, je… écoutez, un des servants de ma batterie en a à peine quatorze et j’ai également un vieux de soixante-douze ans. Nous sommes en guerre !

#40
7.83 (13 votes)

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