Top - Citations de films de l'année 1966

There are two kinds of people in the world, my friend: Those with a rope around the neck, and the people who have the job of doing the cutting.

J’critique pas le côté farce mais question fair-play y’ aurait beaucoup à redire.

- [Aux chiens] Arrêtez, arrêtez !
- Pourquoi voulez-vous les faire s’arrêter ?
- Bah pour vous descendre pardi !!
- Oh, on est très bien comme ça !
- Bah dites donc ! Vous ne croyez tout de même pas que je vais vous trimbaler sur mon dos.
- Allons allons, ne perdons pas de temps à bavarder ! Allez allez en avant, allons !
- Ça fait trois fois que vous me faites ça ! Mes souliers, mon vélo…
[Stanislas tape sur le casque d’Augustin]
- Oui qu’est-ce que c’est ?
- Allez un peu sur votre gauche, là-bas.
- Vous croyez que c’est par là ?
- Oui oui oui.
- Ah très bien.

You’re just not worth killing.

- Vous aimez bien tout ce qui est bon ?
- … [Il fait oui de la tête]
- C’est très mauvais !

Appelle la police ! Appelle le FBI ! Appelle Scotland Yard ! Appelle Batman !

We wanna be free! We wanna be free to do what we wanna do. We wanna be free to ride! We wanna be free to ride our machines without being hassled by The Man. And we wanna get loaded. And we wanna have a good time. And that’s what we’re gonna do. We are gonna have a good time. We are gonna have a party.

J’aimerais être grossier pendant trente secondes pour vous dire que vous êtes, mademoiselle Sophie, la plus foutue sacrée petite guenon que j’ai jamais rencontrée sur ma saloperie de route dans cette dégueulasserie d’existence de merde !

Mademoiselle, vous avez oublié quelque chose ! Vous avez oublié de me regarder ! Oh, mais regardez-moi, n’est-ce pas extraordinaire ? Votre visage et le mien de profil de camée, vous nous voyez côte à côte sur un médaillon ? Mais il faudrait, je ne sais pas, fonder un foyer pour que nos enfants nous ressemblent. Oui, un foyer, un grand feu, avec de grands chiens couchés devant la cheminée !

Tea for two and two for tea.

- Est-ce que vous pensez qu’on peut vivre tout seul ? Sans arrêt tout seul ?
- Non j’crois c’est pas possible, j’veux dire, on peut pas vivre, c’est ce que je disais, comme ça, sans tendresse. Il y a de quoi se flinguer.

Déjà recherché dans 14 comtés de cet État, a été reconnu coupable d’homicides volontaires, d’attaques à main armée, de vols de banques et de services postaux de l’État, de vols d’objets sacrés, d’incendie criminel d’une prison de l’État, de faux témoignages, bigamie, abandon de domicile conjugal, d’incitation à la prostitution, d’escroqueries et d’extorsions de fonds, de recèle, d’émission de fausse monnaie, d’usage de jeux de cartes et de dés truqués, d’agressions et de coups et blessures…

Vous prenez un suspect bien dodu, vous l’entourez de quatre inspecteurs bien en chair, vous faites mariner le tout 48H à l’étouffée, voilà de quoi délier les langues les plus rébarbatives !

- Tu ne veux pas que je prenne le volant ?
- Non non, quand je ne conduis pas, j’ai peur.

Le monde se divise en deux catégories : ceux qui passent par la porte… et ceux qui passent par la fenêtre !

Vous allez pas me faire croire que votre seule recette du bonheur se limite à la charlotte pomme en l’air et à la bécasse sur canapé !

- We’re going to see things no one has ever seen before. Just think about it.
- That’s the trouble. I am.