Top - Citations de films de l'année 1966

Il me faut t’informer, avec tout le tact possible, que je ne suis pas Jésus-Christ.

- Sois le bienvenu, Gordon Pacha.
- Merci. C’est bon de revenir chez soi.

Réunissez votre état-major, Stewart, il va falloir recenser nos vivres. On va tenir jusqu’à ce qu’arrivent les renforts. J’ai servi dans le génie toute mon existence. Si je ne puis fortifier une ville avec des fleuves sur deux de ses côtés, je veux bien être cassé de mon grade !

Allons Gordon, Dieu soit avec vous ! Et je ne l’envie pas, Dieu !

Emportez-moi ça ! Où est Abdullah ! Je l’avais défendu ! Je ne voulais pas ça !

- Plutôt que de recevoir ma patrie de vos mains pleines de sang, je la verrai mourir. Tu as tué mon fils.
- Je l’ai exécuté.
- As-tu des fils, Gordon Pacha ? As-tu des fils ? Non. Tu as tué le mien.
- Dieu me pardonne, Zobeir, mais laissons les morts là où ils sont.
- Tu as tué ma chair, mon propre sang, mon Suleiman. Sors de ma maison tout de suite et puisses-tu mourir sans linceul dans le désert, puisse ton sang gaver les sables et ta chair les vautours.

Ich wiederhole : ein kilogramm kartoffeln, ein liter milch, drei eier, neunzig gramm butter, salz, und… und ? Muskat nuß ! Muskat nuß, Herr Müller !

J’ai envoyé le message. Il n’y a pas d’armée anglaise. Tu es tout seul. Absolument seul.

- Qu’est-ce que vous comptez faire à Khartoum quand on saura que nous sommes partis ?
- Qu’est-ce que vous comptez faire à Berber si Mohammed El Keïr a des pièces lourdes ?
- Couler.

Awan, tu as osé. Demain, première heure.

Attention s’il vous plait, le Proteus va entrer dans l’oreille interne. Vous ne devez ni marcher, parler, ni faire aucun bruit d’aucune sorte. Le plus grand silence est exigé tant qu’ils seront dans la zone dangereuse.

Holman, descends ! Holman, descends ! Holman, descends !

- Je vous dis que l’Egypte connaîtra des années terribles. Une grande menace pèse sur vous et votre état. Seules la vertu et la sagesse pourront détourner le péril. Et je vous avertis qu’il ne serait pas d’entreprise plus insensée que de faire la guerre aux Assyriens. Vous iriez au-devant de l’anéantissement et de la destruction totale. Les Assyriens sont un peuple cruel.
- Tes paroles, Béroès, nous remplissent de crainte. Dis-nous ce que nous devons faire.
- La paix avec l’Assyrie.

Peut-être les dieux pardonnent-ils le viol de leurs secrets, les prêtres, jamais !

C’est lourd nom de Dieu… oh pardon ma sœur !

J’suis la mascotte des tortionnaires…

- Combien t’a-t-il payé pour m’abattre ?
- Pas loin de mille dollars…
- Tiens, en voilà deux mille pour toi.
- Deux mille dollars… La moitié en or ! Plutôt intéressant. Mais… L’ennui, c’est que j’finis toujours l’travail pour l’quel on m’paie…

Mon vélo, mes chaussures… et puis quoi maintenant ?

Mais non, pas Franzoze, Français ! Tu peux donc pas parler comme tout le monde, eh pocheté !

Faut bien dire que de le flinguer comme ça de sang froid, euh, sans être tout à fait de l’assassinat, y’aurait quand même comme un cousinage…