Kaakook

Top - Citations de films de l'année 1970

C’est de la folie ! On doit attaquer à nouveau !

#41
7.22 (8 votes)

- Colonel, colonel ! Combien transportez-vous de barres d’or comme celle-ci dans votre convoi ?
- Vierzehn.
- Non, non, ne parlez pas allemand, colonel, allez, répondez.
- Ja, ja…
- Combien de barres comme celle-ci y’a t-il dans vos camions ?
- Quatorze.
- Quatorze quoi ?
- Mille !

#42
7.22 (8 votes)

- Comment y’s’débrouille pour piquer un yacht ? J’aimerais bien le savoir !
- C’est très simple, c’est le neveu du général !

#43
7.22 (8 votes)

- Attaquez ! Attaquez ! Attaquez ! Le voilà, le voilà cet esprit combatif dont je parlais hier, messieurs, ça c’est un soldat et s’il n’est que commandant, je le fais colonel !
- [La voix du mec du génie dans le poste radio]
- A-t-on jamais vu un pareil enthousiasme et une telle volonté de vaincre, ils sont même arrivés à mettre les fossoyeurs dans le coup ! Mais nom d’un chien, qu’est-ce que je fais ici ! Bernard [Il se lève dans son pyjama rouge et tend les bras dans un geste de victoire], donnez-moi mon uniforme !

#44
7.22 (8 votes)

Alors, toujours aussi con dans la police ?

#45
7.06 (7 votes)

Ma tête est pleine du plan de Genda. Même lorsque j’essaie d’élaborer un autre plan, je reviens chaque fois au plan de Genda. Les modifications de l’amiral Onishi le rendent moins efficace. C’est le meilleur. Il faut que nous suivions le plan de Genda !

#46
7.06 (7 votes)

Nous concevons notre mission dans un dessin purement défensif. Tandis que nos vaillantes divisions progressent à toute vitesse, que le moindre troufion s’évertue à se comporter en héros, nous nous tenons résolument en réserve au cas où les Allemands lanceraient une contre-offensive qui menacerait Paris ou… ou peut-être même New York afin d’intervenir et de les arrêter.

#47
7.06 (7 votes)

- Tu n’as pas fini de nous assommer avec tes ondes négatives ? Vise donc ce site, la magnificence de cette nature, qu’il sorte enfin de tes lèvres une parole vertueuse qui exprime un espoir de salut !
- Merde !

#48
6.84 (9 votes)

Si un homme n’est plus un homme, quelles raisons peut-il avoir d’exister ?

#49
6.82 (12 votes)

- Qui c’est lui ?
- Lui ? C’est la main du Diable.
- Lui aussi ?
- Oui… mais lui c’est la gauche.

#50
6.67 (8 votes)

- Tu es ma petite sœur, tu es ma fille, tu es ma mère.
- J’aurais bien voulu aussi être ta femme.

#51
6.67 (8 votes)

- J’ai une femme et quatre chevaux, hé hé !
- Et moi, j’ai un cheval et quatre femmes…

#52
6.67 (5 votes)

J’sais pas qui t’a donné tes renseignements à la con mais sur la route c’est pas trois blindés qui arrivent, c’est vingt-cinq !

#53
6.67 (8 votes)

- Tu es devenu très ambitieux ces derniers temps. Tu penses pouvoir dévaliser une banque sans te faire pincer ?
- La banque est aux mains des Chleuhs.
- La banque est aux mains des Chleuhs… Ouais… Un crime parfait comme je les aime !

#54
6.67 (8 votes)

- Qu’est-ce que t’en dis, le Cinglé ?
- On a perdu notre temps, mon mignon, personne ne m’avait dit que j’aurais à me frotter à trois Tigres !

#55
6.67 (8 votes)

L’Angleterre est un pays libre. On peut tout y faire, tout y dire, même en temps de guerre. Sauf y renverser du thé quand il est rationné !

#56
6.43 (4 votes)

Gazou, gazou.

#57
6.4 (15 votes)

C’est la guerre, Napoléon. On ne peut pas toujours gagner.

#58
6.25 (6 votes)

Je portais un taupé lilas, elle s’appelait Gertrude, elle avait dans les hanches ce balancement gracieux qu’ont les femmes qui ont beaucoup marché. On a failli se fixer là-bas, acheter du terrain. On pensait même à une maison… et puis, les intermittences du cœur… Finalement, la maison, c’est elle qui l’a ouverte, à Caracas.

#59
6.15 (3 votes)

C’était une ville tranquille avant que t’arrives, une ville de merde mais tranquille.

#60
6.15 (3 votes)

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