Top - Citations de films de l'année 1984

Usul, parle-moi de ton monde natal.

La prochaine fois qu’on te demande si tu es un Dieu, tu réponds oui !

Noodles… J’ai dérapé…

Tu vois cette gonzesse… Il n’y a que le train qui ne lui soit pas passé dessus… Et manque de bol, j’étais dedans !

- M. Miyagi, vous croyez que j’aurais pu gagner ?
- Perdre ou gagner, pas important.
- Non, c’est pas ce que je veux dire.
- Haï, tu avais chance gagner.

J’ai un faible pour les blondes et les femmes sans moustaches.

La vie n’est pas un mystère à résoudre. Elle est une expérience à vivre.

Excuse-moi de crever pendant que tu baises…

- J’ai pensé à un machin inoffensif… qui me venait du fond de mon enfance… Quelque chose de gentil de mignon qui ne pouvait pas nous détruire : Le Bibendum Chamallow…
- T’as des belles pensées tu sais.

Chez moi, c’est la Tour de Babel dans la Cour des Miracles !

- Ah c’est horrible ! Y a toute une ménagerie, là, prête à nous tomber dessus !
- Mais c’est pour cela que ça s’appelle la jungle, ma jolie !

- Alice, avez-vous vos règles en ce moment ?
- Mais enfin ça n’a aucun rapport !
- Mmm, toi tu te tires. C’est moi le chercheur.

Le reste n’est que reprise n’est-ce pas ?

C’est plus fort que toi hein ? chaque fois qu’un mec se mouche, faut que tu gardes la morve…

L’heure est venue de payer tes factures et elles sont chères.

Astounding! It was actually, it was beyond belief. These were first and only drafts of music. But they showed no corrections of any kind. Not one. He had simply written down music already finished in his head! Page after page of it as if he were just taking dictation. And music, finished as no music is ever finished. Displace one note and there would be diminishment. Displace one phrase and the structure would fall. It was clear to me that sound I had heard in the Archbishop’s palace had been no accident. Here again was the very voice of God! I was staring through the cage of those meticulous ink-strokes at an absolute beauty.

Écarte-toi, tu sens mauvais !

Nous avons une bonne chance, tout à fait infime, de nous en sortir !

Elles sont toutes magnifiques ! Pourquoi n’ai-je pas trois têtes ?

- Tu lui pètes la jambe.
- …
- Ça te pose un problème de conscience ?
- Non, Sensei !
- Sois sans pitié.