Top - Citations de films de l'année 2002

- It’s like she choose you.
- Yeah, and I don’t even know why.
- I do.

« Ohana » veut dire la famille, la famille veut dire que personne n'est abandonné.

- Je suis navré madame, votre fils fabrique de faux chèques.
- Ah ! très bien… Je travaille à mi-temps à l’église… Dites moi combien il vous doit, je vais vous rembourser.
- Jusque là, à peu près un million trois cent mille dollars.

Aaah !! J’crois que j’ai été touché ! Ah… Ah non.

… Et juste là, un petit géranium ! Ouais, ça va être bien. Ça va être très bien même.

- La forteresse est prise. Tout est fini.
- Vous avez dit que cette forteresse ne tomberait pas tant que vos hommes la défendront. Ils la défendent encore ! Ils sont morts en la défendant !

- Êtes-vous amoureuse de moi ?
- Vous pourriez tout aussi bien me demander si je respire.

Waooowww ! On dirait de la magie !

Je dois raccrocher ! Mon chien a trouvé la tronçonneuse !

T’es la honte de la nature, j’espère au moins que tu le sais…

Et bien, c’est plus gai dans un cimetière…

N’ayez aucune pitié, car ils n’en auront aucune !

Nous sommes ce que nous choisissons d’être.

T’es mal placé dans la chaîne alimentaire pour faire ta grande gueule !

Je serai le pire des parrains pour cette pauvre Imogène. Vous me connaissez, je la ferai tomber sur la tête le jour du baptême, j’oublierai tous ses anniversaires jusqu’à ses 18ans, je la sortirais, la ferai boire, et voyons les choses en face : j’essayerai de la sauter.

Les dodos n’ont jamais froid, la fin du monde ne passera pas !

- Écartez-vous derrière ! On sort !
- Ouais c’est ça ! Et en revenant si vous pouviez me ramener un paquet de… [blam !]
- Sont fous ces Égyptiens, on leur demande de s’écarter, puis eux ils restent derrière.

Deux petites souris tombent dans un seau de crème. La première souris abandonne très vite et se noie, la deuxième se débat tellement fort qu’elle change la crème en beurre. À partir de maintenant je suis cette deuxième souris.

T’a des beaux yeux tu sais ?

- Qu’on le couvre d’or.
- Ouais, c’est ça… qu’on me couvre d’or.